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23 mars 2008

Armadale

de Wilkie Collins

https://storage.canalblog.com/29/32/365364/128538878.jpegLes inconditionnels de l'œuvre de Collins (l'inventeur du thriller), et Borges entre autres, considèrent généralement "Armadale" comme son chef-d'œuvre.

De tous ses romans en tout cas, c'est celui où l'innocent lecteur se perdra avec le plus de trouble - et de délices, l'un n'allant pas ici sans l'autre. Huit cents pages de frissons et d'égarements garantis.

Et la mise en œuvre de toutes les diaboliques recettes qu'exploitera plus tard au cinéma l'admirable Alfred Hitchcock.

Éditions PHÉBUS

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Édition originale en français: Éd. J. Hetzel & Lacroix (1864)

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23 mars 2008

L'hôtel hanté

de Wilkie Collins

https://products-images.di-static.com/image/wilkie-collins-l-hotel-hante/9782843620560-475x500-1.jpgContemporain et ami de Dickens, avec lequel il écrivit plusieurs nouvelles, cet écrivain prolifique et généreux est aussi un maître des atmosphères mystérieuses.

Coïncidences tragiques, pressentiments et prémonitions jouent souvent un rôle primordial dans les intrigues tortueuses de ses romans. Aux côtés d'Armadale, de La Femme en blanc et de La Pierre de Lune, ses œuvres les plus connues, L'Hôtel hanté, publié pour la première fois en 1879, est un modèle du genre.

La comtesse Narona, héroïne à la fois maléfique et pitoyable - une combinaison familière à Collins, créateur des personnages de " méchants " les plus complexes de la littérature victorienne - épouse en des circonstances douteuses un lord anglais. L'Hôtel hanté raconte, avec l'ironie et le brio habituels de l'auteur, le mystérieux destin de ce mariage contre nature, depuis un cabinet médical de Harley jusqu'aux chambres trop hâtivement rénovées d'un hôtel de Venise...

Apparitions, alchimies maléfiques, fièvre et folie habitent jusqu'à son tragique dénouement ce roman.

Éditions TERRE DE BRUME

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Édition originale en français: Éd. Hachette (1884)

23 mars 2008

Seule contre la loi

de Wilkie Collins

http://www.editionsphebus.fr/local/cache-vignettes/L250xH374/9782859405946-0dd4b.jpgIl restait donc trois ou quatre "grands" Wilkie Collins à traduire encore, et d'abord celui-ci : le premier roman de la littérature où le rôle - fortement symbolique - du détective se trouve confié à une femme.

Le lendemain de ses noces avec Eustace Woodville, la jeune Valeria découvre qu'elle a épousé un homme dont le vrai nom est Macallan.

Cette découverte pique sa curiosité. Contre l'avis de tous, et bientôt en opposition violente avec tous ou presque, elle va s'employer, dans une angoissante solitude, à lever l'un après l'autre les masques supposés protéger une société (celle du meilleur monde) qui n'existe dirait-on que pour dissimuler ses propres turpitudes - assassinat, chantage, extorsion -, la Loi elle-même n'étant destinée, à fort peu près, qu'à fournir à cette société des alibis sur mesure.

On comprend ici, comme jamais peut-être, les raisons de l'admiration conjointe de Borges et de Hitchcock pour Collins : l'enquête de l'intraitable Valeria (qui n'est elle-même qu'un alibi littéraire) est avant tout pour le lecteur l'occasion de s'égarer quatre cents pages durant dans un labyrinthe aux mille miroirs trompeurs.

Occasion aussi pour l'auteur de graver en creux l'un des plus beaux portraits de femme " libre " de sa collection.

Éditions PHÉBUS

23 mars 2008

Sans nom

de Wilkie Collins

http://www.editionsphebus.fr/local/cache-vignettes/L250xH375/9782859404345-1d1f6.jpgNul doute que Wilkie Collins n'ait donné, avec Sans nom (1862) l'un de ses plus intraitables chefs-d'œuvre : celui en tout cas qui privera le mieux de sommeil le lecteur assez téméraire pour s'y plonger, pour s'y perdre.

De tous ses romans, celui que préférait Dickens. C'est aussi le plus noir : portrait d'une femme dépossédée de toutes ses espérances (et même de son identité) à la suite d'un complot fomenté par des gens du meilleur monde. Elle se battra, se salira les mains, fera le terrible apprentissage de la liberté... et nous tiendra en haleine huit cents pages durant au fil d'une intrigue qui ne nous épargne rien.

Prétexte, pour l'auteur, à décorseter la bonne société victorienne avec un sadisme tout hitchcockien. On comprend que Borges ait pu voir dans les romans de Collins la première expression de la fiction " moderne ", dont l'enjeu, selon lui se résumait à peu près à ceci : dire et montrer ce qu'il est convenu de taire et de cacher.

Éditions PHÉBUS

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Édition originale en français: Éd. Dentu (1861)

23 mars 2008

Pierre de Lune

de Wilkie Collins

https://ec56229aec51f1baff1d-185c3068e22352c56024573e929788ff.ssl.cf1.rackcdn.com/attachments/medium/0/0/7/006145007.jpg« La Pierre de Lune se vengera ! »

Mais que veut dire le Brahmane mourant qui lance cet anathème sur la famille Verinder ?

Vous le saurez en pénétrant dans le monde à tiroirs de ce roman dont l’héroïne, Rachel, est une intrépide jeune fille de 18 ans. Il y sera question d’un diamant baptisé Pierre de Lunequi attise les convoitises et sème le malheur sur son passage et d’un policier de Scotland Yard, le Sergent Cuff, aux manies surprenantes, qui aura pour mission de démêler l’écheveau serré d’une intrigue complexe comme Collins en a le secret.

Au cours de l’enquête, vous croiserez aussi le très étrange Gabriel Betteredge et la non moins excentrique Miss Clack…

Éditions PHÉBUS

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luniere

« Précisons que la présente édition de Pierre de Lune est la seule en français à n'avoir été ni censurée ni abrégée. »

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23 mars 2008

Histoires regrettables

de Wilkie Collins

http://www.editionsphebus.fr/local/cache-vignettes/L250xH372/9782859405113-a1563.jpgUne étrange tristesse, mêlée au célèbre humour cher à Collins, plane sur ces huit récits (livrés ici dans une traduction nouvelle) où l'écrivain se fait un malin plaisir de soulever, avec toute l'inconvenance souhaitable, le voile pudique où se drape la société victorienne de son temps, si prompte à cacher ses turpitudes sous les apparences de la vertu.

Éditions PHÉBUS

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« On peut lire ces histoires comme autant de condensés des romans qui ont fait la gloire de Wilkie Collins.

Leur ambition n'est pas moindre, ni leur incroyable force de persuasion, ainsi que le notait justement Borges : " A vrai dire le genre policier se prête moins au roman qu'à la nouvelle ; Chesterton et Poe, son inventeur, ont toujours préféré la seconde. Collins, soucieux que ses personnages ne soient pas les simples rouages d'un jeu ou d'un mécanisme, nous les présente comme des types humains parfaitement "crédibles". Si crédibles qu'ils en viennent bientôt à compromettre le lecteur.

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23 mars 2008

La Dame en blanc

de Wilkie Collins

http://www.editionsphebus.fr/local/cache-vignettes/L250xH374/9782859403799-2029d.jpgWalter Hartright, peintre de son état, porte secours une nuit à une mystérieuse "dame en blanc" que semble poursuivre une obscure menace. Cette rencontre est-elle le fruit du hasard ?

La jeune femme, parmi des propos incohérents, laisse entendre qu'elle est familière d'un lieu où il doit prochainement se rendre : le manoir de Limmeridge, perdu dans les brumes du nord...

On ne saurait raconter la suite, sous peine de crime, à des lecteurs qui ont la chance d'avoir encore à découvrir La Dame en blanc. Disons simplement que Walter sent se nouer autour de celle qu'il aime un implacable complot. 

Des gentlemen irréprochables épouseront de tendres jeunes filles dans l'espoir de les déposséder de leur fortune - et peut-être de les assassiner... Un mystérieux comte italien invite chez lui une belle qui meurt fort opportunément d'un arrêt de cœur... Un asile d'aliénés accueille avec complaisance des "patient " internés de force par d'honorables familles soucieuses d'écarter des témoins gênants...

Deux femmes assez téméraires pour chercher à débusquer la vérité derrière le mensonge des puissants vont se retrouver séquestrées de la plus sournoise façon... Une morte s'offre le luxe rare de ressusciter, et jette le trouble dans quelques âmes qui ont de vilaines choses à se reprocher... Trois innocents s'enfuient à travers les bas quartiers de Londres, poursuivis par des tueurs sans visage... Une société secrète fait poignarder sans bruit les traîtres à sa cause... 

Et la vérité finit par se faire jour - mais en laissant beaucoup de cadavres derrière elle... et bien des ombres insistantes.

Éditions PHÉBUS

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Édition originale en français sous le titre "La femme en blanc" : Éd. Dentu (1858)

Traduit en français sous forme de roman-feuilleton, le tout premier publié par le nouveau journal "Le Temps" du 25 avril au 21 août 1961.

23 mars 2008

Pauvre Miss Finch

de Wilkie Collins

http://www.editionsphebus.fr/local/cache-vignettes/L250xH374/9782752901224-c8789.jpgLucilla, une jeune fille du meilleur monde, aveugle depuis la petite enfance, est amoureuse d’Oscar, un brave garçon dont la beauté et les vertus se résument pour elle au son d’une voix… et à la ferveur de quelques caresses.

Opérée de la cataracte, elle va recouvrer la vue… sans se douter qu’à la faveur d’un complot, un autre va prendre la place d’Oscar en se faisant passer pour lui.

Éditions PHÉBUS

23 mars 2008

Quand la nuit tombe

de Wilkie Collins

http://www.editionsphebus.fr/local/cache-vignettes/L250xH367/9782752909350-5b7e4.jpgWilkie Collins réunit les six nouvelles qui composent ce recueil, presque toutes parues dans "Household Words", avec l'autorisation de Charles Dickens, leur donnant pour fil conducteur le journal de Leah.

Celle-ci est l'épouse de Mr Kirby, un peintre qu'une maladie des yeux oblige à gagner sa vie en écrivant des contes, qu'il dicte à sa femme à la tombée de la nuit…

Vengeances, complots, machinations, amours contrariées, le lecteur retrouve ici tout l'art de la démesure de Wilkie Collins. Mais dans les deux récits les plus longs, La sœur Rose et Le Masque jaune, qui forment les deux tiers de l'ouvrage, il y adjoint l'arrière-plan et les décors propices à ces aventures échevelées : l'Italie et ses bals masqués, la France de la Terreur révolutionnaire…

Éditions PHÉBUS

23 mars 2008

La reine de coeur

de Wilkie Collins

https://storage.canalblog.com/55/13/365364/128539139.jpegDans leur demeure du pays de Galles, trois frères passent leurs vieux jours loin du monde et de ses frasques. Mais l'arrivée de la charmante Jessie Yelverton les inquiète quelque peu : habituée aux distractions de la ville, la jeune fille ne va-t-elle pas dépérir d'ennui à Glen Tower ?

Afin qu'elle prolonge son séjour jusqu'au retour de leur neveu et fils, amoureux de cette 'reine de coeur', ils lui offrent des contes chers à leur imagination...

Le bizarre, le drôle, le ténébreux, le fantastique alternent, soir après soir, et la jeune fille patientera jusqu'au retour de son soupirant, charmée, tel le sultan, par ces trois insolites Shéhérazades.

Éditions TERRE DE BRUME

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« Un magnifique hommage de Wilkie Collins aux Mille et Une nuits et au bel art de la narration. »

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