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29 juillet 2008

Les morts ne parlent pas

de Bénédicte des Mazery

https://http://localhost//images/I/41PAqadPO2L._SX322_BO1,204,203,200_.jpgFabio Jacovetti, commandant à la brigade criminelle de Paris, est fatigué. Il a arrêté de boire, de fumer, il s'est même remis au jogging, mais cela ne suffit pas à faire revenir Claire.

Lorsqu'il arrive sur les lieux du crime, il tombe sur un assassin pas comme les autres. Le tueur a poignardé sa victime sur son lieu de travail, un homme d'une cinquantaine d'années nommé Marsini, patron d'un GIE, puis il lui a cousu les lèvres au point de croix.

Commence alors la traque de celui que Fabio et son groupe de cinq enquêteurs appellent «le couturier». Fabio compte sur chacun : Virgile, dit Virge, son adjoint et ami, flanqué de son chien Jojo et grand amateur de la gent féminine; Marquet, dérouté par la première grossesse de sa femme; Morand, toujours à lancer des paris; Tanguy (Louise pour l'état civil), qui a réussi tant bien que mal à se faire une place parmi les hommes; et même Geffraud, le petit nouveau, moins sensible qu'il n'en a l'air.

« Ils ont du souci à se faire » : voilà ce que pense le tueur en les regardant de loin s'agiter sur la scène du crime. Beaucoup de souci, car la victime n'est que la première d'une longue série. L'assassin est bien décidé à s'attaquer aux tyrans, aux patrons qui abusent de leur pouvoir sur leur petit personnel.

Les meurtres se succèdent alors selon un mode opératoire sensiblement identique, avec toujours cette même signature, la couture des lèvres...

À la longue, une piste se dessine. Les noms des victimes figurent sur Internet dans un certain réseau Denys, créé par un ancien salarié ayant été le jouet de harcèlement dans l'entreprise...

Éditions ANNE CARRIÈRE

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