de Erle Stanley Gardner

Certains avocats gagnent leur vie avec des affaires banales. D'autres défraient la chronique. Perry Mason est de ceux-là, avec un don pour s'attirer les foudres de la pègre et de la police...

Lorsqu'il passe la main sur les plaques mitées du superbe vison, il sent que ce geste va l'amener dans une affaire dangereuse. Sinon pourquoi la serveuse aurait-elle abandonné ainsi son manteau et sa paie et disparu sans laisser de traces ?

Pourquoi y aurait-il ce renflement qui fait penser à un document cousu ? Pourquoi la brigade mondaine mettrait-elle tant de hargne à le poursuivre ?

Éditions J'AI LU

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Édition originale: Éd. Presses de la Cité (1954)

de Erle Stanley Gardner

Le 6 septembre, F.C. Sabin, milliardaire excentrique, regagne sa retraite favorite: une cabane perdue dans la montagne. Le 11 septembre, des pêcheurs le découvrent assassiné d'une balle en plein coeur.

Son inséparable perroquet hurle des insanités à qui veut bien l'entendre ! Casanova était pourtant un oiseau bien élevé. Que s'est-il passé ? Le choc émotionnel ?

Perry Mason, le célèbre avocat, découvre bien vite le pot aux roses: un deuxième perroquet. Bien poli celui-là, mais qui répète à qui veut l'entendre: "Pose ce revolver, Helen ! Ne tire pas ! Grand Dieu ! Tu m'as tué !" La légitime épouse de F.C. Sabin se prénomme Helen.

L'affaire est simple. L'ennui, c'est que F.C. Sabin avait une double vie. Et une autre femme dans sa vie. Une certaine Mlle Monteith. Helen de son prénom…

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "Faux témoin":  Éd. Presses de la Cité (1951)

de Erle Stanley Gardner

Qui a abattu de trois balles à bout portant Walter Prescott, courtier d'assurances ?

Ils sont trois à avoir défilé dans la maison du crime. Trois à soutenir qu'ils ignoraient que gisait, au premier étage, le cadavre ensanglanté de Prescott. Trois qui avaient d'excellentes raisons de vouloir le décès du gêneur…

Rosalind d'abord, l'épouse déçue, en partie ruinée par Walter et qui voulait divorcer. Jimmy Driscoll ensuite, l'ex-fiancé éconduit, le fidèle confident de Rosalind qui rêvait toujours de l'épouser. Rita enfin, la sœur de Rosalind, qui en savait trop et qui a peut-être agi pour se défendre. Alors, qui ment ?

Comme fil conducteur, l'avocat-détective Perry Mason n'a qu'une piste, elle est bien fragile: c'est un petit canari boiteux…

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "Perry mason et le canari boiteux": Éd. Gallimard (1940)

de Erle Stanley Gardner

Ce n'est pas un crime d'être somnambule. Mais se promener les nuits de pleine lune en brandissant couteau à découper, ça fait tout de même mauvais effet. Surtout si vous en menacez votre femme, qui justement refuse de divorcer et veut vous faire passer pour fou...

Dans ce cas, somnambule ou pas, vous avez intérêt à consulter un bon avocat.

C'est ce que fait Peter B. Kent, sur les conseils de sa jolie nièce Edna. Et Perry Mason, le célèbre maître du barreau, aura fort à faire pour défendre son richissime client. Car si ce n'est pas un crime d'être somnambule, ce n'est pas non plus une excuse.

Surtout quand on découvre le couteau à découper sous votre traversin, du sang sur le couteau, et un cadavre encore frais dans la chambre d'ami…

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "Perry Mason et la nièce du somnambule": Éd. Gallimard (1937)

Réédition sous le titre "La nièce du somnambule": Éd. Presses de la Cité (1949)

de Erle Stanley Gardner

Elle entre dans la salle d'attente, avec une moue blasée, s'installe dans le grand fauteuil, croise les jambes, s'accoude avec aisance, et secoue ses cheveux dorés pour mieux les mettre en valeur. Elle a vingt ans, un teint de pêche, des yeux de velours, des bijoux, des fourrures, et des millions de dollars… d'espérances !

Menteuse, rageuse, boudeuse, radieuse, Frances Calone voudrait mener le jeu à sa guise, dans la dure partie qu'elle a entreprise pour toucher enfin l'héritage de son père.

Mais Perry Mason, l'avocat séduisant, plein d'originalité et de mordant, forcera un à un tous ses secrets, toutes ses ruses, et s'acharnera à la sauver en dépit d'elle-même.

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "Perry mason et la jeune fille boudeuse": Éd. Gallimard (1936)

Réédition sous le titre "La blonde boudeuse": Éd. Presses de la Cité (1964) et "Perry Mason et la blonde boudeuse": Éd. Librairie des Champs-Élysées (1998)

de Erle Stanley Gardner

Perry Mason, le grand spécialiste des affaires criminelles, était dans une bien étrange situation. Une jolie femme masquée, que personne ne devait connaître, faisait danser devant lui la moitié d'un billet de dix mille dollars.

II ne pouvait rien savoir d'elle. Pourtant il se saisit de l'appât durant une nuit pluvieuse, et, dès le lendemain matin, le crime était commis, crime auquel était mêlée la belle femme masquée.

Avant de découvrir qui avait la seconde moitié du billet, qui avait tiré le coup de feu meurtrier, Perry Mason était déjà si compromis aux yeux de la police qu'un mandat d'arrêt fut lancé contre lui.

La solution de cette histoire est certainement la réussite la plus complète de E. S. Gardner, et cette fois encore Perry Mason l'échappa belle, pour sauver son client.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

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Édition originale: Éd. Presses de la Cité (1949)

de Erle Stanley Gardner

Qui pouvait en vouloir assez à John Callender pour le tuer ?

Aussitôt les soupçons se portent sur Loïs Fenton, son ex-femme. N'est-elle pas la dernière à l'avoir vu vivant ? N'a-t-elle pas fait disparaître la principale pièce à conviction un éventail taché du sang de la victime ?

Mais un détail chiffonne Perry Mason, l'avocat détective: ne sont-elles pas deux danseuses à l'éventail qui portent le même nom de scène ? Ne se ressemblent-elles pas comme deux gouttes d'eau ? N'avaient-elles pas toutes deux de bonnes raisons de tuer Callender ?

Lois Fenton pour faire cesser l'odieux chantage qu'exerçait sur elle son ex-mari ? Irène Kilby pour récupérer un papier compromettant ?

Alors, qui, de Loïs ou d'Irène, a rendu visite à Callender la fameuse nuit du crime ? Qui ment ?

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "La danseuse et le cheval": Éd. Presses de la Cité (1951)

de Erle Stanley Gardner

S'il est bien fait, un oeil de verre ne se remarque pas... sauf si on le retrouve dans la main crispée d'un homme qui vient de se suicider et qui, lui, a ses deux yeux ! Étrange suicide, d'ailleurs: quand on veut se tuer, a-t-on vraiment besoin de trois revolvers ?

De là à conclure que Hartley Bassett a été assassiné et que son meurtrier est borgne, il n'y a qu'un pas, que franchit allègrement le sergent Holcomb. Voilà qui ne facilite pas la tâche du célèbre avocat Perry Mason. Car son client, Peter Brunold, a justement un oeil de verre. Il en possède même plusieurs, qu'il a une fâcheuse tendance à laisser traîner…

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "L'homme à l'oeil de verre": Éd. Arthaud (1948)

Réédition sous le titre "Le borgne bizarre": Éd. Presses de la Cité (1956)

de Erle Stanley Gardner

Qu'un mari, disparu depuis sept ans, reparaisse au moment où sa femme épouse un milliardaire, et voilà Rhoda accusée de polyandrie... si le revenant vend la mèche.

Que celui-ci, pour garder le silence, réclame une somme astronomique, et voilà un beau chantage.

Que le maître chanteur soit retrouvé assassiné dans son appartement, et voilà Rhoda en fort mauvaise posture. En effet, qui d'autre qu'elle aurait eu intérêt à supprimer le gêneur ? Toutes les pistes concordent.

Pourtant Perry Mason, l'avocat détective, ne peut croire à cette version des faits: les preuves sont trop évidentes pour être le fait du seul hasard. Mais qui donc, dans l'ombre, tire les ficelles de cette sombre intrigue ? Et pour quelles raisons ?

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "L'étrange épouse": Éd. Arthaud (1948), réédité sous le titre "L'épouse épouvantée": Éd. Presses de la Cité (1956)

de Erle Stanley Gardner

Imaginez qu'un homme au bord de la crise de nerfs surgisse dans votre bureau. Que cet individu vous annonce qu'il désire porter plainte contre le chien de son voisin. Qu'il profère des menaces à l'encontre dudit voisin et vous implore de faire quelque chose, vite, très vite !

Comme Perry Mason, le célèbre avocat détective, vous auriez sûrement quelques doutes sur l'état mental de votre client. Mais quelle serait votre réaction si, après enquête, à la place d'un voisin bien vivant et d'un chien qui hurle à la mort, vous découvriez deux cadavres ? Vous auriez tendance à soupçonner votre visiteur de la veille, n'est-ce pas ? Mais auriez-vous tout à fait raison ?

C'est justement la question que se pose Perry Mason, qui s'est toujours méfié de l'évidence…

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "Perry Mason, avocat du diable": Éd. Gallimard (1935), réédité sous le titre "L'avocat du diable": Éd. Gallimard (1951)

Réédition sous le titre "Coups de crocs": Éd. Presses de la Cité (1963)