7 septembre 2008
Le tortillard des pauvres
de Carter Brown
À Santa Bahia, il faut au moins posséder son poids en or et quelques diamants, gros comme des rahat-loukoums pour ne pas passer pour un indigent. Ce pauvre Broderick faisait partie de la classe au-dessus.
Danny Boyd le découvre perché sur un énorme lustre rustique, la gorge tranchée, ce qui l'empêche de sourire. C'est ça, le monde des affaires...
On sait faire des coups en bourse, mais surtout des coups... en vache!
Éditions GALLIMARD
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