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29 novembre 2008

Le portrait défiguré

de Ngaio Marsh

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- Madame Alleyn ! Réveillez-vous, je vous en supplie !

Troy ouvrit les yeux. Fenella, habillée de pied en cap, se tenait devant son lit. Dans la lumière blafarde de l'aube, son visage paraissait froid et blême. Ses mains se crispaient convulsivement.

- Pour l'amour du ciel, qu'y a-t-il encore ? s'écria Troy.

- C'est horrible... Quand Barker lui a monté son plateau de thé, il l'a trouvé dans la chambre. Mort.

Éditions ÉDIMAIL S.A.

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Réédition sous le titre "Le rideau tombe": Éd. 10/18 (1994)

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29 novembre 2008

Le château des maléfices

de Ngaio Marsh

le_chateau_des_malefices

Au plus haut des montagnes se dresse la splendide forteresse de la Chèvre d'Argent, demeure du mystérieux Mr Oberon, le chef d'une communauté de sorciers.

Ce n'est pourtant pas le château historique qui éveille la curiosité de Roderick Alleyn, en vacances dans la région avec sa famille, mais le soupçon que ces vieux murs dissimulent un énorme trafic de drogues, et peut-être bien plus encore.

D'autant que dans le train qui les amenait à Roqueville, Alleyn a été le spectateur horrifié du meurtre d'une femme... Et voilà que son fils est à son tour kidnappé !

Éditions 10/18

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Édition originale: Éd. Presses de la Cité (1979)

29 novembre 2008

Le cercueil de Noël

de Ngaio Marsh

le_cercueil_de_Noel

Le maître du manoir de Halberds voulait que la fête fût grandiose: un druide tiendrait le rôle du père Noël, - il y aurait un traîneau débordant de cadeaux, des carillons, un sapin doré... Et un cadavre, hélas. Les suspects ne manquent pas.

D'abord les domestiques, tous des assassins libérés pour bonne conduite, sans oublier les invités qui semblent plutôt farfelus.

Pour l'inspecteur Alleyn, chargé de démasquer le coupable, la partie s'annonce difficile...

Éditions 10/18

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Édition originale: Éd. Presses de la Cité (1990)

29 novembre 2008

La mort en habit noir

de Ngaio Marsh

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La saison commence à Londres. La nièce de Roderick Alleyn, inspecteur de Scotland Yard va faire ses débuts dans le monde, chaperonnée par sa grand-mère.

De bals en réception, le champagne coule à flots. Pourtant Lord Robert Gospell dit Doudou, un vieux monsieur rond et volubile, révèle à Alleyn, qu'un maître chanteur sévit dans la haute société. Alleyn lui demande de l'aider à démasquer le coupable. Le vieux monsieur est assassiné peu après.

L'inspecteur Alleyn, élégant et courtois se promet de le venger et de trouver le meurtrier. Il va devoir agir avec doigté...

Éditions 10/18

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Édition originale sous le titre "La mort en gants blancs": Éd. Presses de la Cité (1985)

29 novembre 2008

La mort en gants blancs

de Ngaio Marsh

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"Ma parole, c'est pire qu'un meurtre. Si ça se trouve, il verse du poison dans ses maudits breuvage. Dire qu'il travaille avec..."

Trop tard. Lord Robert a été interrompu et l'inspecteur Alleyn, à l'autre bout du fil, n'en sait pas plus. Etait-ce une bonne idée, après tout, de charger lord Robert de démasquer le maître chanteur qui sévit parmi la société Londonienne ?

Une idée astucieuse, peut-être, mais terriblement dangereuse...

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

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Réédition sous le titre "La mort en habit noir": Éd. 10/18 (1994)

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29 novembre 2008

La mort en embuscade

de Ngaio Marsh

la_mort_en_embuscade

Réunir, dans le huis clos de son vieux manoir enneigé, sept personnes qui se détestent cordialement, tisser une subtile toile de rancœurs inexprimées et de secrets morbides, Jonathan Roayl trouve l'idée amusante.

Mais lorsque sa mise en scène tourne au drame, il n'a de cesse que de faire arrêter le coupable. Il sait exactement lequel de ses invités a commis l'ignoble crime.

Arrivé sur place, l'inspecteur Alleyn procède pourtant à la redistribution des rôles…

Éditions 10/18

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Édition originale sous le titre "Le valet dansant": Éd. Presses de la Cité (1947)

29 novembre 2008

La clinique du crime

de Ngaio Marsh

la_clinique_du_crime

Une ouverture d'enquête !Faut-il que Lady O'Callaghan émette de sérieux soupçons pour la demander.

Certes, son mari, le ministre de l'Intérieur, est mort subitement à la suite d'une banale opération. Mais après tout, ce sont des choses qui arrivent.

L'inspecteur Alleyn, lui, flaire déjà une sombre machination. Les ennemis politiques du défunt ? On ne les compte plus. L'équipe chirurgicale ?

Un étrange huis-clos où les protagonistes, masqués et gantés de blanc, ont de bonnes raisons d'être des assassins en puissance.

Éditions 10/18

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Édition originale: Éd. Edimail S.A. (1984)

29 novembre 2008

L'assassin entre en scène

de Ngaio Marsh

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Lorsque Arthur Surbonadier s'écroule sur la scène, tué par une balle à bout portant, les spectateurs retiennent leur souffle. Quel talent! Jamais des acteurs de théâtre n'ont atteint une telle intensité dramatique.

Rien d'étonnant, puisque cette fois, les cartouches ne sont pas à blanc. Le mobile du crime? Facile, à première vue, d'en trouver plusieurs. Cette crapule de Surbonadier était détestée par toute la troupe.

Vengeance, règlement de compte, jalousie ?

Ngaio Marsh donne à l'inspecteur Roderick Alleyn – ce parfait représentant de l'aristocratie britannique – l'occasion de faire une fois encore la preuve de sa perspicacité, comme de son élégance.

Éditions 10/18

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Édition originale sous le titre "Et l'assassin entra" : Éd. Presses de la Cité (1946)

29 novembre 2008

L'assassin aux fleurs

de Ngaio Marsh

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La robe espagnole tombait en cascades mousseuses de chaque côté de la chaise longue, dans laquelle gisait langoureusement une silhouette. Ses mains gantées frôlaient le plancher. Sa tête était tordue d'une manière invraisemblable par-dessus son épaule gauche.Le visage était partiellement recouvert par la mantille, qu'on avait abaissée à la façon d'un rideau.La langue pendait, la gorge replète était déjà colorée. Les perles provenant d'un collier cassé étaient éparpillées sur le décolleté dans lequel on avait planté une jacinthe blanche...

Éditions 10/18

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Édition originale: Éd. Edimail S.A. (1984)

29 novembre 2008

Et vous êtes priés d'assister au meurtre de...

de Ngaio Marsh

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"Si on jouait au jeu de l'assassin ?"

Le principe est simple: un faux meurtrier désigné à l'insu des autres participants, une fausse victime, un faux procès... Bref, les potes de Sir Hubert Handesley sont terriblement excités.

Oui, mais quand Charles Rankin est retrouvé poignardé dans le dos, le week-end tourne au cauchemar. Qui donc avait intérêt à le tuer ? Tous, sans exception...

Impossible dans ces conditions, de mettre la main sur le coupable !

Pourtant l'inspecteur Alleyn n'a pas dit son dernier mot...

Éditions 10/18

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Édition originale: Éd. Edimail S.A. (1984)

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