9 décembre 2008
Tatouage
« Quand il n'était encore qu'un poète admirateur d'Ezra Pound et de T. S. Eliot, Manuel Vásquez Montalbán fit un jour le pari d'écrire en quinze jours un polar à l'américaine. Pari gagné: la première aventure de Pepe Carvalho venait de naître. C'est aussi la plus simple et la plus belle. Parce qu'il tire son nom d'une vieille complainte de marin et qu'il nous parle d'un jeune homme mort d'avoir tatoué sur son dos "Né pour révolutionner l'enfer", Tatouage fait planer un peu de Stevenson sur Barcelone, Superbe ». Patrick Raynal, "Le Monde"
Éditions 10/18
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Édition originale: Éd. Christian Bourgois (1990)
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