2 décembre 2011
Morphine à discrétion
Lorsqu'une malade incurable souhaite en finir... Lorsque les souffrances deviennent intolérables... Une trop forte dose de morphine peut hâter une délivrance tant espérée.
Et comment en vouloir à l'auteur d'un geste de pitié ?
Mais lorsqu'une malade incurable souhaite — avant d'en finir — rédiger une lettre, porter une accusation ou modifier les dispositions de son testament, une trop forte dose de morphine peut apporter le soulagement. À son assassin !
Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
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Édition originale: Éd. Ditis (1950)
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