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30 décembre 2011

Meurtre au Stade d'Arsenal

de Leonard Gribble

meurtre au stade d'arsenalOn apporta une civière. Les joueurs s'attroupèrent autour de Doyce. Quand les infirmiers s'éloignèrent avec le blessé, une vague d'applaudissements monta des tribunes. La foule saluait sportivement l'homme qui avait fait une partie très forte en première mi-temps et qui avait marqué pour les amateurs.

Un coup de sifflet éparpilla les joueurs sur le terrain. La balle reprit son vol. Mais dans la foule, les têtes se penchaient les unes vers les autres, les mentons s'agitaient. Que s'était-il passé ?

Doyce se trouvait isolé au moment de sa chute. Il s'était simplement plié en deux comme un canif, avant de se laisser glisser sur la pelouse.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

-

Édition originale: Éd. Librairie des Champs-Élysées (1953)

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30 décembre 2011

Le quatrième visiteur

de Leonard Gribble

le quatrieme visiteurUn détective exceptionnel...une véritable machine humaine à détecter le crime !

C'est ce que pensait du superintendant Anthony Stade, son adjoint, l'inspecteur Harry Marshall qui ne cessait de se féliciter de travailler avec lui.

Pourtant l'enquête n'était pas facile: une demi-douzaine de morts violentes, une affaire de chantage, une autre de trafic de diamants... une organisation criminelle qui écumait la région...

N'y avait-il pas là de quoi perdre la tête ? Non, puisque Slade était là...

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

30 décembre 2011

Le bois du coucou

de Leonard Gribble

le bois du coucou « Quant à vous, Slade, de toute cette affaire, vous ne retirez qu'une belle peur: celle que vous avez éprouvée en voyant ce visage collé à la vitre du pavillon, dans la nuit...

— Mais j'ai beaucoup plus peur encore quand je pense à ce qui ce serait produit si, me jetant à sa poursuite, j'étais parvenu à m'assurer de sa personne... »

À qui appartenait ce visage ? Pourquoi le mort portait-il un pistolet dans sa poche ? Qui perdait un mouchoir taché de sang ? Qui, un pendant d'oreille ?

Et pourquoi, certains jours, laissait-on flotter un foulard à certaine porte ?

Le lecteur tout comme le commissaire butera sur ces questions qui en appellent tant d'autres dans ce roman passionnant au dénouement inattendu et pourtant logique. Qui a tué Lavesty ?

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

-

Édition originale: Éd. Librairie des Champs-Élysées(1957)

30 décembre 2011

Champagne brut pour Slade

de Leonard Gribble

champagne brutMarseille la nuit, le vieux port endormi, un rapt tout près de la Canebière, un cadavre dans un verger, le visage brûlé à la lampe à souder, un va-et-vient de péniches mystérieuses, une belle brune directrice d'un institut de beauté... voilà bien de quoi faire perdre l'esprit à quelqu'un de moins avisé que le superintendant Anthony Slade de Scotland Yard.

Avec l'aide de son collègue français, Jean Carlier, il ne tarde pas à découvrir bientôt ce que ce puzzle quasi indéchiffrable cache en définitive... une sordide affaire de drogue ! Malheureusement pour lui, il tombe bientôt dans un piège et ne doit son salut qu'à la découverte in extremis d'une galerie d'égouts.

Le sort s'acharne sur lui ; il se retrouve au petit matin ligoté et voué à la mort la plus atroce... Carlier arrivera-t-il à temps ?

C'est ce que le lecteur apprendra en suivant cette nouvelle enquête dans laquelle Anthony Slade se couvre à nouveau de gloire.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

30 décembre 2011

L'appartement "E"

de Leonard Gribble

appartement eL'inspecteur Anthony Slade était soucieux.

_ Du travail pour nous, Clinton, hâtons-nous!

_ Descente de police dans un club ?

_ Non. Une femme vient d'appeler au téléphone criant: « Au secours...Venez tout de suite...Je suis...» Puis une syllabe: « pell » et plus rien. On nous dit au bureau téléphonique que la communication n'a pas été interrompue et que l'abonné reste branché sur nous. Sans doute, il se passe quelque chose de sérieux. II faut y aller voir.

_ Quelle adresse ?  demande Clinton au moment de monter dans l'auto de police.

_ Raxton Court. Raxton Street. Téléphone n° 50 164, Mayfair. Branché sur l'appartement "E".

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

-

Édition originale: Éd. Librairie des Champs-Élysées (1952)

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30 décembre 2011

À vous de chanter, Excellence

de Leonard Gribble

a vous de chanterSir Stephen Melworth, l'ancien chef de l'Intelligence Service, venait de se suicider. Le Yard, alerté, ne pouvait que dépêcher l'un des as, le superintendant Anthony Slade.

Son arrivée ne fut guère appréciée, tant par la police locale, qui ne voyait vraiment pas la raison d'un tel déplacement, que par les membres d'une bande de malfaiteurs qui n'en connaissaient que trop la cause.

Slade comprit très vite que le suicide du diplomate n'était qu'une mise en scène et après bien des péripéties qui faillirent lui coûter la vie et au cours desquelles il rencontra successivement des faux-monnayeurs, des trafiquants de drogue, des maîtres chanteurs et, indirectement, la Mafia, il termina avec succès l'une des enquêtes les plus difficiles de sa carrière.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

30 décembre 2011

Leonard GRIBBLE

1908 - 1985

Biographie

Leonard Reginald Gribble est né en 1908 dans le Devon, en Angleterre. Il a servi dans le service Presse et censure au ministère de l'information à Londres, pendant la Seconde Guerre Mondiale. (C'est tout ce qu'on peut trouver sur lui avant sa première publication d'écrivain.)

C'est en 1929 avec "The case of the Marsden Rubies", qu'il fait son entrée dans la littérature policière, s'affirmant comme un auteur éclectique et prolifique tout au long de sa carrière. On dénombre quelques 45 romans policiers sous la signature de Leonard Gribble, avec pour personnage principal, le superintendant Anthony Slade. Il utilise jusqu'à sept pseudonymes dont celui de Leo Grex pour une trentaine de romans policiers entre 1931 et 1983, dans lesquels apparaissent les personnages de Paul Irving et Phil Sanderson; il signe aussi Louis Grey, Dexter Muir, Sterry Browning, quand il produit plusieurs romans dans la même année. Il reste un auteur très actif pratiquement jusqu'à son décès en 1985.

Outre ses romans policiers, il écrit aussi dans le genre western et des livres généralistes sur des sujets très variés (comme la criminologie, la guerre...) qu'il signe alors d'autres pseudonymes. Mais c'est surtout le nom de Leonard Gribble qui marque l'histoire du roman policier, il est un des membres fondateurs de "The Crime Writers' Association" et nombre de ses romans ont été traduits en France principalement aux Éditions Librairie des Champs Élysées dans la collection du Masque; un seul roman signé Léo Grex semble avoir été publié en France "La mort volée", paru en 1940, mais reste introuvable, tout comme une partie de l'oeuvre de Leonard Gribble.

(Sources: Wikipedia/EN / )

Elleon

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Résumés

  1. Mirage dangereux (Éd. Gallimard - 1963)
  2. Tuez, mais payez !(Éd. Le Masque - 1972)  

~

Autres titres

  • Chien truqué
  • Trois balles pour Rosemary

~

Série Anthony Slade

  1. Appartement "E" (Éd. Le Masque - 1974)
  2. À vous de chanter, Excellence (Éd. Le Masque - 1970)
  3. Champagne brut pour Slade (Éd. Le Masque - 1966)
  4. Le bois du coucou (Éd. Le Masque - 1974)
  5. Le quatrième visiteur (Éd. Le Masque - 1968)
  6. Meurtre au Stade Arsenal (Éd. Le Masque - 1974)
  7. On ne badine pas avec la mort (Éd. Le Masque - 1974)
  8. Que craignez-vous, Stella ? (Éd. Le Masque - 1962)
  9. Que vient faire ce chien ? (Éd. Le Masque - 1964)

~

Autres titres

  • Alibi fragile
  • Appel au Bureau Central
  • Bill aime Amy
  • Ce que femme veut
  • L'homme au bec-de-lièvre
  • L'inspecteur Slade est dans le noir
  • Morte en riant
  • Slade marque les coups
  • Station N°4

~

Série Sally & Howard Digburn

  1. Sally revient (Éd. Le Masque - 1965)

~

Autres titres

  • Amour et espionnage
  • Sally de Scotland Yard
  • Sally et la brigade fantôme
  • Sally n'y comprend rien

Bonne lecture

30 décembre 2011

La nuit éternelle

de Chuck Hogan & Guillermo Del Toro

la nuit eternelleLe sort de l'Humanité repose désormais entre les mains d'un seul individu.

Une nuit sans fin s'est abattue sur la Terre depuis l'apocalypse nucléaire déclenchée par le Maître. Les vampires, qui ont proliféréà un rythme vertigineux, ont réduit les humains à l'état de bétail, car, à leurs yeux, seul leur sang a encore de la valeur.

Un groupe de survivants résiste encore. Mais Ephraïm Goodweather, leur leader, n'est plus que l'ombre de lui-même : il ne s'est jamais remis de l'enlèvement de son fils et de la liaison entre sa petite amie, Nora, et son allié, Fet. Profitant de son désespoir, le Maître lui propose d'épargner son fils en échange del'Occido Lumen.

Dans ce très ancien manuscrit, préservé au prix du sacrifice du professeur Setrakian, se trouve la clé pour détruire le Maître.

Ephraïm fera-t-il passer la vie de son fils avant le salut de l'humanité ?

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

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Mené à un rythme infernal, ce dernier volet offre à la trilogie « La Lignée » un finale magistral.

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30 décembre 2011

Environnement mortel

de Pascal Vatinel

Pascal Vatinel - Environnement mortel.Thomas Kessler enquête sur le scandale du lait contaminé en Chine lorsqu’un fonctionnaire qui a des informations essentielles à lui divulguer se suicide.
 
Alors qu’il cherche à en savoir plus sur cette mort suspecte, la maîtresse du défunt disparaît mystérieusement.
 
De fil en aiguille, de la rencontre d’un écologiste chinois à la dégaine d’avocat à celle d’un journaliste à lunettes Ray-Ban, Kessler se trouve sur la piste d’un scandale plus sombre encore : sous couvert d’un programme humanitaire, une fondation américaine se livre à des essais de riz OGM sur des écoliers chinois, violant le code de Nuremberg.
 
Éditions du ROUERGUE
30 décembre 2011

Jusque là, tout allait bien...

de Sylvain Pettinotti

jusque la tout allait bien«Si j’ai bien compris : un, j’ai un grand-père qui m’a surveillé à mon insu toute ma vie et qui vient de clamser. Deux, j’ai une frangine, une jumelle qui crèche près de Paris. Trois, je viens d’hériter d’un demi-million de francs. Quatre, pour toucher mon blé, il faut que je mette la main sur la jumelle.»

Voilà ce que se dit Jef en regardant d’un œil vide, la bouteille étoilée aux deux tiers vide. On ne peut être tranquille nulle part, clame-t-il enfin à l’adresse de quelques passants qui feignent ne pas l’entendre, ne pas le voir. Jef s’en fout, d’ailleurs. Il vit peinard sur les bords de l’Isère, à deux pas du coeur de Grenoble depuis un bail et les «autres », sauf lorsqu’ils laissent tomber quelque cent dans la paume sale de sa main tendue, il les voit à peine également.

SDF, poivrot impénitent, il se la coule douce et ne se soucie pas du reste du monde qui le lui rend bien. Tout baigne jusqu’au jour où deux vieux en costume débarquent dans sa vie. Associés de son grand-père dans les FTP de la main-d'oeuvre immigrée sous l’Occupation, les deux anciens maquisards sèment le doute dans la vie calamiteuse de Jef.

Sa vie va dès lors prendre un tournant dont il se serait bien passé, et qu’il aura du mal à négocier...

Éditions du POLAR

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