4 juillet 2012
Catch aux Canaries
Michel Averlant
Éditions Ditis
1958
Coïncé, Ludovic est coïncé !
Intelligemment, patiemment, on a monté la cruelle machine dont il est maintenant prisonnier. Il va, il vient, Paris, Tanger, les Canaries, apparemment libre de ses mouvements et cependant, on le tient plus sûrement que s'il était derrière les grilles d'une cage. Un chantage efficace est plus solide en effet que les meilleurs barreaux.
Mais au catch, tous les coups sont permis et puisque Jo l'Amérique a truqué le match au départ, Ludovic n'hésitera pus à répondre aux coups bas par des coups défendus. Et malgré Jo, malgré le Syndicat, malgré la police, Ludovic feinte et frappe sans remords, car ce n'est pas pour trois cents millions de bijoux qu'il sacrifiera la vie d'un enfant.
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