Et Jimmy se rendit à l'arc-en-ciel

de Johannes Mario Simmel

Vienne, 1969. Dans un cimetière enneigé, deux jeunes gens, Manuel et Irène, et un tueur, embusqué derrière une tombe. La tante d’Irène, paisible libraire, a empoisonné au cyanure le père de Manuel, doux savant argentin. Elle a bu du cognac, beaucoup de cognac, a téléphoné à la police et s’est fait justice.

Pourquoi, mais pourquoi ?

Menée par Manuel avec une sombre fureur, l’enquête s’enfonce dans le labyrinthe de l’espionnage international, provoquant d’incontrôlables remous alors que la clé du mystère tient dans un vers de Kipling : « Et Jimmy se rendit à l’arc-en-ciel ».

L’histoire est vraie, elle s’est passée en Allemagne entre 1934 et 1965, de la montée à la résurgence du nazisme. Elle fascine, elle émeut, elle terrifie, on ne peut s’en détacher avant la fin.

Éditions ALBIN MICHEL