de Michael Dibdin
À la veille de sa mort, le docteur Watson se sent le devoir de coucher sur le papier la dernière aventure de Sherlock Holmes.
"J'espérais parvenir, en empruntant ne serait-ce que son style à Arthur Conan Doyle, à rendre mon récit un peu plus convaincant. Mais je n'en suis même pas capable", avoue le vieil homme, qui ajoute: "Je suis médecin et soldat : je dois me contenter de rédiger un rapport."
Un rapport qui ne sera pas imprimé avant 1972. "Quel genre d'hommes peuplera la terre à cette date fabuleuse ?" se demande Watson. "À cette époque là, personne, peut-être, n'aura même entendu parler de Jack l'Eventreur, ni de Sherlock Holmes..."
Éditions RIVAGES
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Michael Dibdin n'est pas le premier à lancer le plus grand détective du monde sur les traces du plus grand criminel de l'histoire (voir ne serait-ce que Sherlock Holmes contre Jack l'Eventreur d'Ellery Queen). Mais la solution qu'il apporte à l'énigme de Whitechapel est, de loin, la plus originale et la plus forte.
Comme l'a écrit Michel Lebrun : "Soyez attentifs à la prophétie solennelle de polaramus : ce Michael Dibdin n'a pas fini de nous étonner."
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