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16 novembre 2007

Il manquait une preuve

de Nicholas Blake

il_manquait_une_preuveÀ l'école de Scadeley Hall, les jeunes gens des meilleures familles se préparent à entrer dans les universités les plus prestigieuses du pays. 

Un environnement protégé, des professeurs à l'enseignement soigneusement édulcoré, bref, un endroit très comme il faut... où la mort violente n'a absolument pas sa place.

N'aurait pas sa place. Car il faut bien se résoudre à reconnaître que le jeune Algernum Wemyns n'a pas pu s'étrangler tout seul. Et l'assassinat de cet élève plutôt brillant brouille tout à coup l'image lisse du collège: rancoeurs, haines, vengeances et adultères ne demandent plus qu'à éclore au grand jour. 

Des baisers dont, semble-t-il, Wemyns paraît avoir fait les frais...

Et l'arrivée du détective Nigel à Scadeley Hall ne va pas contribuer à calmer les esprits... ni le meurtrier.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

-

Édition originale: Éd. Nouvelle Revue Critique (1935)

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16 novembre 2007

Fin de chapitre

de Nicholas Blake

fin_de_chapitre

Des fins de chapitre compromettantes, une autobiographie inachevée pour cause de meurtre...

Décidément, la respectable maison d'édition londonienne Wenham et Gerald connaît bien des déboires avec ses auteurs!  Une main malveillante a trafiqué des épreuves de manière à ce que les révélations explosives du général Wended soient publiées.

Nigel Strangeways, un brillant détective amateur, est chargé de découvrir le coupable.  Mais à peine a-t-il commencé son enquête que miss Millicent Miles, l'un des auteurs à succès de la firme, est retrouvée égorgée...

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

-

Édition originale: Éd. de Trévise (1960)

16 novembre 2007

Que la bête meure

de Nicholas Blake

que_la_bete_meureEt vive mon droit !...

Ceci est l'histoire d'un homme dont le fils unique est renversé et tué par un automobiliste qui prend la fuite. La police se révélant incapable de retrouver la piste du chauffard, le père de l'enfant tué, décide d'agir seul... 

Puisque la police ne parvient pas à punir le coupable, c'est lui qui se chargera de ce rôle: il tuera lui-même l'assassin de son fils...

Il rédige le journal de son enquête, et c'est ce journal que nous commençons par lire...

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

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Édition originale: Éd. Nouvelle Revue Critique (1938)

Adapté en France au cinéma par Claude Chabrol en 1969.

16 novembre 2007

Vaine carcasse

de Nicholas Blake

vaines_carcasses"À la santé de nos amis absents et de nos ennemis présents !" Tel est le toast ironique que porte pour Noël, le célèbre aviateur Fergus O'Brien. Il faut dire que les lettres anonymes lui ont annoncé sa mort pour le lendemain...

Au matin, Nigel Strangeways, appelé par Scotland Yard pour veiller sur l'aviateur, découvre celui-ci dans la cabane qui lui sert de refuge... 

Chantage, assassinat, suicide, vengeance ?  Qui était au juste Fergus O'Brien ? Et qui sont ses invités qui ne semblent avoir en commun que mépris et haines sournoises ?

Une exploratrice extravagante qui fut la maîtresse de l'aviateur, un homme d'affaires pétrifié d'angoisse, un surprenant propriétaire de boîte de nuit, un non moins surprenant professeur d'université, et enfin une blonde reine de beauté que ces messieurs ne manquent pas de se disputer âprement ?

Joyeux Noël, Mr Strangeways !

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

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Édition originale sous le titre "Rendez-vous avec la mort" : Éd. Nouvelle Revue Critique (1936)

16 novembre 2007

Le squelette en habit

de Nicholas Blake

le_squelette_en_habitEustache Bunnett, le brasseur de Maiden Astbury, dans le Dorset, est unanimement détesté.

Mais lorsque Nigel Strangeways, le neveu du directeur-adjoint de Scotland Yard et détective amateur le rencontre, le détestable Eustache lui fait une bien étrange proposition: découvrir "l'assassin" de son chien Truffles retrouvé bouilli dans une chaudière de la brasserie... 

Mais  en dépit d'une enquête musclée, Eustache n'a pas pu faire la lumière sur cette affaire...

Et peut-il raisonnablement espérer que "l'assassin" de Truffles s'en tiendra là ?

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

-

Édition originale: Éd. Nouvelle Revue Critique (1937)

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11 novembre 2007

Hyacinthe et Narcisse Roquebère enquêtent - vol.2

de G.J. Arnaud

Hyacinthe_et_Narcisse_enquetent_vol2

27 juillet 1830. L'insurrection éclate. Dans le Paris des Trois Glorieuses, voici les jumeaux Roquebère, avoués rue Vivienne, aux prises avec une nouvelle enquête. La jeune Séraphine, leur saute-ruisseau, ne cache pas ses sympathies révolutionnaires...

Éditions L'ATALANTE

11 novembre 2007

Hyacinthe et Narcisse Roquebère enquêtent - vol.1

de G.J. Arnaud

Hyacinthe_et_Narcisse_enquetent_vol1

Hiver 1829-1830. La neige tombe sur Paris. Rue Vivienne se tient l'étude des frères Roquebère, jumeaux et avoués : Hyacinthe, sérieux et réservé, parfois gauche ; Narcisse, mondain, gastronome et quelque peu insouciant.

Avec le concours de Séraphine, leur jeune saute-ruisseau délurée, et l'aide intéressée du policier Parturon, tous deux n'hésitent pas à s'impliquer dans des enquêtes souvent dangereuses.

Éditions L'ATALANTE

11 novembre 2007

Dernier battement de cil

de Mark Billingham

dernier battement de cil

Un tueur retors, probablement médecin, sévit à Londres.

Chez trois jeunes femmes décédées d'une attaque cérébrale, le légiste a décelé une thrombose de l'artère basilaire causée par une rupture de l'artère vertébrale, et de la benzodiazépine dans le sang.

Moins chanceuse, Alison Willetts gît comme un légume à l'hôpital, victime d'un Locked-in syndrome. 

Anne Coburn, médecin, décide de l'aider, et communique avec elle comme dans "Le Scaphandre et le papillon", un battement de cil pour oui, deux pour non. L'inspecteur Thorne, ayant reçu des lettres du meurtrier, comprend que celui-ci a raté les trois premières: c'est Alison qu'il a réussie.

Très attiré par Anne, il se convainc de la culpabilité d'un proche de cette dernière, l'anesthésiste Jeremy Bishop. Cette certitude tourne à l'obsession, au risque de fausser l'enquête.

Sont développés parallèlement: le discours intérieur(en italiques) d'Alison, qui commente sa situation avec un humour grinçant, certes, mais ravageur. Et celui du tueur, qui se croit investi d'une mission: libérer les corps des mouvements gauches, les délivrer du train-train, des écoulements intempestifs.

Au fur et à mesure que les indices, mais pas les preuves, s'accumulent, la piste Jeremy vacille...

Éditions DU MASQUE

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« Mark Billingham a apporté au genre une humanité, une ampleur et une excitation d'une qualité rare et bienvenue. Il a gagné immédiatement un siège à la table d'honneur des auteurs de polar. Un début exceptionnel. »   George P. Pelecanos

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11 novembre 2007

Peur de son ombre

de Mark Billingham

peur de son ombre

Londres, juste avant Noël. Un homme suit sa proie dans le métro et l'étrangle sauvagement chez elle. Quelques stations plus loin, une autre jeune femme est étranglée, mais en douceur, si l'on peut dire...

Cinq mois plus tôt, deux femmes ont été poignardées dans des circonstances analogues. L'inspecteur Thorne découvre qu'il n'a pas affaire à un serial killer, mais à un tandem de tueurs peu banal. L'un sadique, dominateur, est le cerveau; l'autre soumis, mort de peur, culpabilise au point de verser des larmes sur le corps de ses victimes.

Face à un manipulateur aussi retors qu'Hannibal Lecter, en butte à l'hostilité de la plupart de ses collègues, Thorne va mettre au point un plan audacieux qui peut lui coûter sa carrière.

Mais une image alimente sa hargne: le regard traumatisé à jamais de Charlie, 5 ans, témoin du meurtre de sa mère.

Éditions DU MASQUE

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Dans cette deuxième enquête de l'inspecteur Thorne, Mark Billingham explore avec virtuosité le mécanisme pervers du pouvoir et de la soumission.

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10 novembre 2007

Charlie Chan à la rescousse

de Earl Derr Biggers

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Dix-sept personnes toutes soupçonnées du meurtre d'un industriel américain alors qu'elles effectuaient ensemble un voyage autour du monde, un sachet contenant des cailloux sans valeur et la clef d'un coffre-fort trouvés près du cadavre, Scotland Yard en émoi, il n'en faut pas davantage pour appeler Charlie Chan à la rescousse et pour le pousser irrésistiblement à dégrossir point par point les mailles de cette ténébreuse affaire.

Sans doute le coupable avait-il prononcé un mot de trop...

« Deux oreilles, une seule bouche. Ne dites que la moitié ce ce que vous entendez », déclare la sagesse chinoise que Charlie Chan ne manquera pas d'invoquer...

Éditions MARABOUT

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Édition originale sous le titre "Un policier chinois":  Éd. Nouvelle Revue critique (1932)

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