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23 avril 2008

La poudre aux yeux

de E.V. Cunningham

https://www.bibliopoche.com/thumb/La_poudre_aux_yeux_de_Elaine_V_Cunningham/200/0178541.jpgQuand Al Body, agent de presse, reçoit un coup de fil d'un camarade d'université perdu de vue depuis vingt-cinq ans, il s'étonne, ce qui se conçoit.

Quand cet ami lui apprend qu'il est en train d'agoniser, il s'inquiète et se précipite chez lui, ce qui est la moindre des choses.

Quand l'ami en question meurt à l'issue de son transfert à l'hôpital, Brody décide de se charger de ses funérailles, ce qui est tout à son honneur.

Mais lorsqu'on signale la présence du défunt en pleine jungle rhodésienne et que, rentrant chez lui, Drody le retrouve installé devant son bureau, l'agent de presse entre de plain-pied dans un monde qui n'a rien à voir avec celui du show-business ou des "mass-media": celui du cauchemar, où Madame l'Épouvante règne en maîtresse absolue, souveraine et despotique...

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

-

Réédition sous le titre "Millie", signé Howard Fast: Éd. Néo (1985)

etoile Grand Prix de Littérature policière /roman étranger (1973)

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23 avril 2008

Cynthia

de E.V. Cunningham

https://www.bibliopoche.com/thumb/Cynthia_de_Elaine_V_Cunningham/200/0178528.jpgQuand la jolie Cynthia, fille de milliardaire assurée contre toute espèce d'enlèvement disparut, à qui croyez-vous que la compagnie d'assurances confia le soin de la retrouver?

À moi bien sûr, mais si j'avais su où la piste de cette donzelle allait m'entraîner, soyez certains que je n'aurais pas laissé le fils de Maman Krim se faire appâter par une prime de cent mille dollars. 

Se retrouver en sandwich entre une bande de cow-boys déchaînés et quelques représentants de la Mafia n'est pas exactement la meilleure façon que je connaisse de passer le week-end!

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

-

Réédition sous le nom de Howard Fast : Éd. Néo (1985)

23 avril 2008

Les morts s'affranchissent

de E.V. Cunningham

http://www.gallimard.fr/var/storage/images/product/450/product_9782070461110_195x320.jpgMasao Masuto, sergent de police à Beverly Hills, est japonais d'origine, bouddhiste de confession, humoriste par goût et intelligent par nature.

Quand il découvre qu'un certain marchand de timbres rares, assassiné dans sa boutique, est un ancien capitaine de S.S., que plusieurs meurtres s'ensuivent, qu'il manque lui-même d'être massacré par trois voyous en moto, qu'enfin un certain timbre de l'Ile Maurice, d'une valeur fabuleuse, est à l'origine de toute l'affaire, il y applique sa subtilité orientale et son réalisme américain et parvient au cœur du mystère, où l'attendent la passion, le lucre et la vengeance.

Éditions GALLIMARD

23 avril 2008

Quatre dames damnées

de E.V. Cunningham

http://www.gallimard.fr/var/storage/images/product/cab/product_9782070487974_195x320.jpgBeverly Hills est un petit paradis, même pour les flics, qui ne sont jamais débordés. Jusqu'au jour où il faut qu'un dingue trouble la paisible cité. Il envoie des gâteaux empoisonnés à un quatuor de joyeuses et riches divorcées qui trompent leur ennui en jouant innocemment au bridge.

Pourquoi ? Mystère.

Mais le tueur joue aussi du revolver, et très bien. Masuto, un policier d'origine japonaise, mène son enquête avec le flegme d'un samouraï et l'humour d'un petit Jaune de la côte Ouest.

Éditions GALLIMARD

23 avril 2008

La piscine baladeuse

de E.V. Cunningham

http://www.gallimard.fr/var/storage/images/product/6fd/product_9782070488674_195x320.jpgÀ Beverly Hills, découvrir des cadavres flottant dans une piscine, c'est assez courant, mais dans ses fondations, ça l'est moins. À la suite d'un effondrement de terrain, on retrouve un mort, enterré là depuis trente ans, date de la construction.

Masuto, l'impavide inspecteur d'origine japonaise, est sûr que le meurtrier est toujours de ce monde, car, au cours de son enquête, plusieurs personnes, en rapport avec cette affaire, meurent bizarrement.

Quant aux rapports des familles nippones, c'est très chinois...

Éditions GALLIMARD

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23 avril 2008

On m'a volé mon ange

de E.V. Cunningham

http://www.gallimard.fr/var/storage/images/product/e4e/product_9782070489534_195x320.jpgRe-voici Masuto, le policier japonais de Beverly Hills.

On a kidnappé l'adorable épouse d'une grande vedette qui ne veut absolument pas que les flics s'en mêlent. Et Masuto, le sage bouddhiste, va s'occuper d'une histoire très californienne de gros fric, de chantage, de fraude fiscale et de scandale sexuel. Il est gâté !

Éditions GALLIMARD

23 avril 2008

Le Jap se débride

de E.V. Cunningham

http://www.gallimard.fr/var/storage/images/product/a8f/product_9782070489985_195x320.jpgMasuto, le déjà célèbre flic japonais de Beverly Hills, n'aura cette fois pas trop de toutes les ressources de sa nature subtile et méditative pour essayer de comprendre pourquoi une dame accepte de passer en jugement pour le meurtre de son mari, alors qu'en fait le mort n'est pas son mari et qu'elle n'a tué personne.

Sans compter que Washington et les zèbres de la C.I.A. s'en mêlent...

Éditions GALLIMARD

23 avril 2008

E. V. CUNNINGHAM

Biographie

Elaine.V. Cunningham est un pseudonyme utilisé par Howard Melvin Fast, auteur américain, qu'il inaugure en 1960 avec son roman "Sylvia" premier d'une série de douze romans policiers ayant pour titre des prénoms féminins, pour la plupart réédités sous le vrai nom de l'auteur aux Éditions NéO ou Rivages, plus récemment. 

E.V. Cunningham signe également la série Masao Masuto, sept romans publiés entre 1968 et 1985, pour six d'entre eux chez Gallimard dans la Série Noire.

(Sources: Wikipedia / fantasticfiction.List of British Crime Writers )

Elleon

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Résumés

  1. Alice (Éd. Presses de la Cité - 1965)
  2. Cynthia (Éd. Presses de la Cité - 1969)
  3. La poudre aux yeux (Éd. Presses de la Cité - 1973) etoileou Millie
  4. Le facteur Crésus (Éd. Gallimard - 1987)
  5. Oh ! Lydia... (Éd. Gallimard - 1966)
  6. Sally (Éd. Presses de la Cité - 1968)
  7. Tu peux crever ! (Éd. Gallimard - 1965)
  8. Un tueur récalcitrant (Éd. Presses de la Cité - 1970)ou L'assassin qui rendit son arme

~

Autres titres

  • L'enquête (ou Sylvia, rééditée sous le nom de Howard Fast )
  • Pénélope (Rééd. sous le nom de Howard Fast )

~

Série Masao Masuto

  1. La piscine baladeuse (T-5)(Éd. Gallimard - 1982)
  2. Le Jap se débride (T-7)(Éd. Gallimard - 1985)
  3. Le noyé de Beverly Hills (T-3)(Éd. Gallimard - 1978)
  4. Les morts s'affranchissent (T-2)(Éd. Gallimard - 1978)
  5. On m'a volé mon ange (T-6)(Éd. Gallimard - 1984)
  6. Quatre dames damnées (T-4)(Éd. Gallimard - 1980)

~

Autre titre

Bonne lecture

23 avril 2008

Le sourire de Lisa

de Anne Cuneo

https://http://localhost//images/I/516HBSR0NKL.jpgDans le taxi, j'ai sorti les photos: elles avaient été agrandies au format A4. J'ai reconnu le paysage, le village avec la place et sa fontaine, les immanquables enfants autour, les vignes, une vue d'ensemble de la maison que louaient les Boissellier, avec ses deux portes d'accès. Il y avait une photo avec les parents Boissellier sur le pas de leur porte (faciles à repérer parce que Yves était le portrait craché de son père, bien qu'il eût aussi quelque chose de sa très jolie maman), et une autre dans l'encadrement de l'autre porte, avec un homme carré, début quarantaine, le regard intense et arrogant, un bras protecteur entourant la taille d'une femme d'une trentaine d'années, genre fatal, avec des cheveux et des yeux noirs. J'en ai déduit qu'il s'agissait du peintre et de sa femme.

Ils fixaient tous deux l'objectif d'un air particulièrement sérieux. Comment Yves avait-il dit qu'elle s'appelait? Sa beauté devait avoir ému même le petit garçon qu'il avait été, puisqu'il se souvenait d'elle nommément, alors que le nom de famille du peintre lui échappait. Et, enfin, les deux dernières photos, les plus sensationnelles au fond, montraient la victime, photographiée, si cela se trouvait, quelques minutes avant sa mort. C'étaient en tout cas les deux derniers négatifs exposés de la pellicule. Une des photos était floue, l'autre nette.

Pas de doute sur le lieu: le coin de la villa fermée était parfaitement identifiable. Lisa May ressemblait vaguement à sa cousine Jacqueline. Elle faisait penser à Elizabeth Taylor à dix-huit ans, on devinait au-delà du noir et blanc que ses yeux avaient dû être gris. Un garçon de neuf ans peut-il avoir tué accidentellement, sans s'en apercevoir ? Oui, ont répondu les juges, les avocats, la famille de l'enfant autant que celle de la victime, Lisa May, jeune fille destinée à une grande carrière de danseuse.

Lorsque, vingt ans plus tard, le petit garçon devenu adulte demande à Marie Machiavelli de le libérer de ce qui est pour lui un cauchemar - s'il a tué une fois puis bloqué le souvenir de l'acte, ne risque-t-il pas de récidiver un jour dans les mêmes conditions ? -, elle commence par lui rire au nez. Mais finalement elle accepte l'impossible : refaire une enquête criminelle à vingt ans de distance. Ce qu'elle découvre petit à petit avec l'aide de la fidèle Sophie, sa secrétaire, et le soutien de l'inspecteur Léon, de la police criminelle, la glace.

De Lausanne à Soleure et à Bâle, Le Sourire de Lisa nous entraîne avec Marie dans les milieux les plus divers : marchands d'art, forains, musées, bistrots... dans la quête d'une terrible vérité.

Éditions BERNARD CAMPICHE 

23 avril 2008

Lacunes de la mémoire

de Anne Cuneo

https://bibliows.payot.ch/api/image/5DD2242E194A22A6A1AC9AB1ADF7335BA7EC07B4/front/0/resized/mob_detailSur internet, j'ai cherché l'horaire pour Davos. En partant un peu après huit heures, j'arriverais peu avant deux heures de l'après-midi. Pas la porte d'à côté, vraiment. Puis, comme on approchait de sept heures, j'ai appelé chez Denis Joly, juste pour voir. Aurait-il eu une femme ? Je ne lui en avais jamais vu, mais enfin, pour avoir une chance de séduire le jupon qui passe, ces gens-là cachent peut-être la leur.

Il n'y avait pas si longtemps, je vivais encore moi-même avec un type dont j'avais la sensation que c'était un roc de solidité et de fidélité, et qui avait trouvé le moyen de se marier avec une autre pratiquement sous mon nez : lorsque j'avais découvert son double jeu, les bans étaient déjà publiés et je n'y avais vu que du feu. Il s'était de même arrangé pour que sa future épouse ignore mon existence. J'avais donc meilleur temps de m'abstenir de faire des suppositions. Mais enfin, marié ou pas, et en dépit de l'heure matinale, chez Denis Joly j'ai été accueillie par un répondeur : laissez votre message... Ou sa femme dormait, ou, plus probablement, il était célibataire. Ca m'a tout de même fait une drôle de sensation d'entendre la voix de Joly en sachant qu'il était mort.

Éditions BERNARD CAMPICHE 

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