Et si je vous empoisonnais pour la Saint-Valentin ?
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Une Saint‑Valentin chez les Borgia…
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Oui, je sais ce que vous allez dire, cela fait un moment que nous ne nous sommes pas parlés… Je suis d’accord avec vous, mais le monde de la culture a connu quelques vicissitudes et notre troupe de théâtre, j’ai nommé les « Shakespeare en pire », a suivi le mouvement. Nous avons donc tous été obligés de reprendre un emploi à mi‑temps, les cachets de la troupe ne suffisant plus à subvenir à nos besoins…
Pour ma part, j’ai trouvé un emploi de vendeuse‑pâtissière‑chocolatière‑esclave au salon de thé de « Madame Alice », dirigé ‑ je vous le donne en mille ‑ par Madame Alice… La patronne a eu l’idée saugrenue d’organiser une soirée « spécial célibataires » pour la Saint‑Valentin… Devinez qui est en train de se cramer les doigts sur d’ignobles petites fleurs roses en sucre ?
Ah, la Saint‑Valentin, ses amoureux, ses bisous, ses angelots, ses jalousies, ses frustrations, ses envies de meurtres… Heu, c’est moi ou ça a dérapé ?
J’ai l’impression que tout ne va pas se passer comme prévu… Oh, punaise…
Éditions Belle Époque
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Bienvenue dans cette quatrième enquête de notre Miss Marple en mini‑jupe, dont les petites cellules grises n’ont rien à envier à celles d’Hercule Poirot !
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