de Elmore Leonard

Quand on a été rat d'hôtel et qu'on a passé trois ans en prison, le métier de croque-mort, ça fait un sacré changement...  Mais Jack Delaney travaille avec son beau-frère, et le boulot est tranquille: jamais de réclamations de la part du client, jamais d'ennuis.

Sauf le jour où le cadavre dont il faut s'occuper est en fait une jeune Nicaraguayenne bien vivante qu'il faut tirer des pattes d'un affreux trio de "contras" venus à la Nouvelle-Orléans collecter des fonds pour faire la guerre aux "sandinistes" .

Du coup, Delaney se retrouve - pour une fois - dans le camp des bons, avec une ancienne religieuse, un ex-braqueur de banques et un flic reconverti en barman... Et, l'avantage de servir une bonne cause, c'est qu'il peut y avoir des à-côtés intéressants... Par exemple, deux millions de dollars.

Éditions Rivages

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Rivages/Noir poursuit la réédition des romans qu' Elmore Leonard a écrits dans les années 80... 

Un constat s'impose: son oeuvre ne vieillit pas, elle se bonifie même avec le temps, et son style, parfois copié, reste inégalé.

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de Rolo Diez

« Là où tant d'autres avaient cru pouvoir accommoder la politique en de petites historiettes criminelles (ne citons aucun nom, une chronique entière n'y suffirait pas), Diez, authentique poète de la prose, visionnaire donc, traitait la dictature des généraux argentins à la manière d'une fable désopilante et tragique. »   -   Gérard Guégan   -

Éditions Gallimard

de Rolo Diez

Carlos Hernandez n'est pas une crapule: cultivé, prévenant pour ses femmes, ses enfants et ses prostituées, correct avec ses associés, il va même jusqu'à payer de sa poche les frais des enquêtes qu'on lui confie.

Car s'il pratique le chantage, le proxénétisme, le trafic de fausse monnaie, l'extorsion de fonds et l'association de malfaiteurs, c'est qu'il est flic à Mexico, et qu'à Mexico, il faut bien trouver l'argent de la justice quelque part.

Éditions Gallimard

de Rolo Diez

L'Argentine à la fin des années 80. La crise économique atteint des sommets.

Des hordes de gueux envahissent les rues, se battent pour l'exclusivité d'une poubelle, braquent et trucident les passants, de respectables ménagères participent au pillage des magasins.

Quand il devient plus rentable de faire la manche que d'assurer des cours à l'université, quand on s'emploie à combattre l'impérialisme yankee en volant les commerçants d'une main et en pelotant les clientes de l'autre, il est assez logique qu'un massacre puisse engendrer une rédemption, celle du commissaire Aguirre qui cherchera à réparer le mal commis quatorze ans plus tôt.

Éditions Gallimard

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Le pas du tigre restitue son sens primordial au mot "anecdote" (du grec : les choses inédites) à travers les destins de personnages pleins d'humanité tels Samuel "Zizi Raccourci", qui a troqué sa condition de juif pour celle d'ex-communiste, ou Maria Cristina, "candide papillon" voletant de bordel brésilien en trottoir mexicain. Ce sont ces destins qui tissent la trame invisible de l'Histoire et dont Rolo Díez ne tire d'autre leçon qu'un pessimisme furieusement vital.

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de Rolo Diez

Dans son deux-pièces en plein cœur de Mexico, Scarlett est fin prête à devenir princesse. Dès le berceau, sa mère s'est brûlé les yeux à lui lire les chroniques mondaines et à lui confectionner des robes à la hauteur de ses ambitions. Mais le prince charmant tarde à se déclarer. En l'attendant, Scarlett est bien obligée de travailler et d'user de ses charmes pour arrondir ses fins de mois.

De son côté, poursuivi par la malchance, Julio César brûle ses amis sous les ponts, erre de prison en prison, écoute les délires d'ivrogne d'un émule de Bukowski, partage sa vie avec une clocharde, quand il ne travaille pas pour la police ou ne pousse pas les gamins sous les roues des camions dans son rôle de défenseur de la loi.

Que l'on poursuive un rêve absurde ou que l'on dérive de hasards en crimes, on est fichu si on ne sait pas déchiffrer les messages de la lune, une lune ensanglantée par les exactions d'une bande de flics aussi sadiques que pervers.

Éditions Gallimard

de Rolo Diez

En quelques années, des centaines de femmes ont disparu à Ciudad Juarez, ville frontalière du Nord du Mexique. Ces disparitions défrayent la chronique du monde entier, mais la police laisse faire. Après tout, il s'agit de pauvres filles.

Flic polygame, macho et corrompu, l'inspecteur Carlos Hernandez n'en est pas moins épris de justice, généreux et courageux. Membre des « Relations Opérationnelles », services chargés de missions délicates, il doit enquêter sur un meurtre qui n'a rien à voir avec cette série sanglante. En remontant le fil d'un sinistre réseau criminel, il met au jour des liens étroits entre l'industrie textile, le monde politique et le narcotrafic.

Selon lui, quand on est honnête, au Mexique, on crève de faim. Alors, sans jamais pactiser avec la mafia ou les politiciens véreux, il profite des circonstances pour s'arroger quelques avantages tout en sauvant l'honneur et, surtout, les innocents.

Éditions Fayard

Biographie

Rolando Aurelio Diez Suarez est né en 1940 à General Viamonte, dans la province de Buenos Aires.

Après avoir amorcé des études universitaires en Droit à Buenos Aires, il bifurque vers la Psychologie et le Cinéma. Pendant ce temps, il milite dans un groupuscule politique proche des péronistes visant à la libération du pays par les armes. En novembre 1971, il est arrêté et incarcéré pendant plusieurs années dans un centre de détention de Villa Devoto, un quartier du nord-ouest de Buenos Aires, puis successivement dans les provinces de Chaco et de Chubut. En prison, il se radicalise et adhère au "Parti révolutionnaire des Travailleurs", fondé par Mario Roberto Santuch. En mai 1973, il est libéré grâce à l'amnistie décrétée par le président Héctor José Cámpora et reprend ses activités politiques qui le contraignent à l'exil en 1977.

Il se rend en Europe avec sa famille et survit en France, en Italie et en Espagne grâce à une série de petits emplois mal rémunérés. Il s'installe à Mexico en 1980 et travaille comme scénariste d'émissions de télévision et de BD. Il devient ensuite responsable des pages de politique internationale du quotidien mexicain "El Dia".

Il aborde le roman policier, auquel il infuse une bonne dose d'ironie, avec Vladimir Ilitch contre les uniformes ("Vladimir Ilič contra los uniformados" - 1989), où plusieurs meurtres et enlèvements sont perpétrés sous le régime de la dictature militaire dans le Buenos Aires de 1977. Avec la crise économique de 1989 en toile de fond, Le Pas du tigre ("Paseo del tigre" - 1992) évoque la corruption des hauts dirigeants de la police impliqués dans un trafic de prostituées. Une galerie de personnages aussi désenchantés que cocasses brosse dans ce récit choral une fresque impitoyable de la société argentine de l'époque.

Dans L'Effet tequila ("Mato y voy" - 1992) apparaît le policier « CARLOS HERNANDEZ », qui revient dans Poussière du désert ("La vida que me doy" - 2001). Bigame, proxénète, maître-chanteur et ami des truands, c'est un bon père de famille et un agent de l'ordre qui, ironiquement, est soucieux de bien faire son métier. Ainsi n'hésite-t-il pas à payer de sa poche des collaborateurs pour faire toute la lumière sur une série d'assassinats visant des pornographes.

Il obtient notamment le "Prix espagnol Dashiell Hammett" en 1995, avec son roman "Luna de escarlata" (Lune d’écarlate), selon Claude Mesplède, le chef-d'œuvre de Rolo Diez et le "Prix Semena Negra". Si ses premiers romans, Vladimir Ilitch contre les Uniformes, Le Pas du Tigre, s’inspirent essentiellement de ses souvenirs de jeunesse et de militantisme, ses livres suivants sont davantage ancrés dans l’actualité, et plus particulièrement celle, violente et contrastée, du Mexique.

Rolo Diez est aussi lauréat du "Prix National du Roman José Rubén Romero - 1999" pour "La vida que me doy" (Poussière du désert) et "Prix Gran Angular - 2004" pour "La carabina de Zapata", roman pour la jeunesse.

En France, il est un auteur culte dans la Série Noire aux Éditions Gallimard ou dans la collection La Noire; ses ouvrages sont également publiés en Angleterre, Italie, Allemagne et Grèce.

(Sources: Éditeur / Wikipedia / new spanish books )

Elleon

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Romans

1. Chats de gouttière (Éd. Gallimard - 1998)
2. Gambit de dame suivi par Le refuge (Éd. Gallimard - 2005)
3. In domino veritas (Éd. Gallimard - 2003)
4. Les 2001 nuits (Éd. Rivages - 2010)
5. Le pas du tigre (Éd. Gallimard - 1994)
6. Lune d'écarlate (Éd. Gallimard - 1998) 
7. Vladimir Ilitch contre les uniformes (Éd. Gallimard - 1992)

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Les enquêtes de Carlos Hernandez

(policier)

1. Éclipse de lune (Éd. Fayard - 2007)
2. L'effet tequila (Éd. Gallimard - 1996)
3. Poussière du désert (Éd. Gallimard - 2001)

de Frédéric Dard

Dans la boutique d’un énigmatique antiquaire, le jeune peintre Hubert Spage découvre une main de cire étonnante de réalisme. Il la trouve si belle qu’il l’achète.

Dès le lendemain, il constate avec stupeur que des taches de peinture maculent les doigts de cette main et que le tableau qu’il avait commencé quelques jours plus tôt est achevé. Un trait comme il n’en avait jamais réussi de semblable !

Les événements étranges et inexplicables se succèdent. Chaque matin, il reçoit une enveloppe dans laquelle se trouve une feuille blanche marquée de la lettre « M ». Seul l’antiquaire pourrait donner un sens à ces phénomènes, mais il est retrouvé mort dans son pavillon.

Pour résoudre les énigmes qui menacent de le rendre fou, Hubert s’appuie sur la délicieuse Claude Molin, écrivain et voisine de l’antiquaire, à laquelle il raconte tout, depuis l’achat de la main de cire jusqu’aux manifestations inquiétantes qui ont eu lieu chez lui.

Ensemble ils essaieront de conjurer la fatalité.

Éditions FAYARD

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Édition originale sous le pseudonyme Frédéric Charles: Éd. Jacquier (1953)

de François Caradec

Le commissaire Pauquet, dont la devise est « in the pocket », est chargé en haut lieu d’enquêter sur la disparition partielle d’un individu de sexe féminin.

Les suspects qu’il est appelé à rencontrer, homme ou femme, aveugle ou clair-voyant, chien ou chienne, ont tous dans leur passé quelque chose qui ne passe pas.

L’enquête se retourne alors comme un gant (ou comme une peau de lapin) et mène Pauquet dans une direction qu’il n’avait pas prévue: deux récits se croisaient, il est seul à s’en rendre compte, mais trop tard pour arrêter le train.

Tout ça pour un doigt coupé ramassé rue du Bison.

Éditions FAYARD

1924 - 2008  

Biographie

François Caradec est né en 1924 à Quimper. Membre de "l'Oulipo" depuis 1983, spécialiste de la bande dessinée, il cultive les pastiches et mystifications de tout ordre. Culminant régent du "Collège de Pataphysique"(chaire de Celtipelticulture, Colombophilie et d'alcoolisme éthique), il suit de près la création de "l’Ouvroir de Bande dessinée Potentielle" (Oubapo). Il également l’un des « Papous dans la tête » de France-Culture.

François Caradec est l'auteur de plusieurs essais et biographies, notamment, "Le Café-concert: 1848-1914" (Fayard - 2007), "Dictionnaire du français argotique et populaire" (Larousse - 2006), "Dictionnaire des gestes" (Fayard - 2005), "Willy : Le père des Claudine" (Fayard - 2004) ou encore "Jane Avril" (Fayard - 2001).

François Caradec est décédé en 2008, laissant derrière lui un seul roman, Le Doigt coupé de la rue du Bison.

(Sources: Wikipedia avec une bibliographie complète / liberation.fr/livres )

Elleon

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Roman

1. Le doigt coupé de la rue du Bison (Éd. Fayard - 2008)

de Alain Brézault

Un certain vendredi, sur la piste qui relie Bangala, la capitale du Bangali, à Niamkadougou, la Mercedes du secrétaire national du PUB, le Parti unique bangalais, est la cible d’un dramatique attentat...

L’homme était chargé de mettre de l’ordre à Tortuga, une ville fantôme où des milliers de clandestins travaillent encore à l’extraction des diamants d’une mine prétendument abandonnée...

Sur les lieux, parmi les carcasses des zébus fauchés par la voiture, l’inspecteur Colombo et son adjoint Shériff, deux inénarrables flics bangalais, découvrent que sa main droite a été tranchée d’un coup de machette.

Qu’a-t-on ainsi voulu lui dérober ?

Éditions FAYARD

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Avec ce polar picaresque, l'auteur rend  un hommage à peine déguisé à Chester Himes, chantre de la condition noire  américaine, dont le Harlem des années 50 est remplacé ici par le Bangali,  un petit pays imaginaire d'Afrique de l'Ouest dans les années 80, symbole d'un continent livré à la rapacité d'escrocs noirs et blancs venus de tous les horizons.

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Menée tambour battant, cette enquête déjantée, à laquelle vient s’ajouter une noce dérisoire de "Blancs cassés", réunit tous les ingrédients de la réalité sociale africaine contemporaine. Celle que doivent subir les populations soumises aux  diktats des puissants: politique véreuse, corruption, détournements de fonds,  banditisme,  prostitution,  sectes,  pillage économique...

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1944 - 2019

Biographie

Alain Brézault est né en 1944 à Lamagistère, Tarn et Garonne. Il passe son enfance à Pointe-Noire au Congo, son adolescence à Tahiti et suit des études de Sociologie à Paris. Depuis, il a voyagé dans nombre de pays, parfois, s'y est arrêté pendant plusieurs années, surtout sur le continent africain où il retourne régulièrement; il a travaillé comme consultant en Communication Multi-média et en Coopération socio-culturelle avec les pays du Sud.

Il réside actuellement à Bruxelles, où il travaille à la défense acharnée du cinéma africain dans le monde et collabore, via la BD, avec de nombreux artistes d'origine africaine.

Avec Gérard Clavreul, il est co-auteur de "Conversations Congolaises" paru aux Éditions de L'Harmattan et sous le pseudonyme de Bréal et Karul, le duo signe "Quand les flamboyants fleurissent, les Blancs dépérissent", aux Éditions Rochevignes en 1985, roman adapté en BD en 1985 (dessins signés Salia); les deux héros en sont l'inspecteur Jean bedel Yapo, surnommé "Colombo" et son adjoint "shériff" Bakayoko, deux policiers ripoux et désabusés.

Deux personnages hauts en couleurs qui reviennent dans le roman La noce des Blancs cassés, publié chez Fayard en 2009, << roman noir à l'humour décalé >> (cf. article de Christophe Cassiau-Haurie sur le site en lien ci-dessous), écrit  d'abord  sous forme de BD sous le titre "Les Corruptibles" avec Jean-Denis Pendanx au dessin, trois tomes édités entre 2002 et 2004 aux Éditions Glénat: "Bonne arrivée patron !", "Zig Zag" et "Looping".

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(Sources : africultures. )

Elleon

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Roman

1. La noce des Blancs cassés (Éd. Fayard - 2009)

de Christian Soleil

La séduisante reporter londonienne Dalila Monteverdi, est envoyée à Lyon pour réaliser un reportage sur un serial-killer qui défraie la chronique surnommé « Le charcutier de Lyon ».

Elle parvient à convaincre la dernière victime rescapée du tueur de lui accorder une interview. Cette piste lui permettra-telle de faire avancer l’enquête ?

Éditions ÉDILIVRE

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Une narration palpitante oscillant entre sensualité, art, et cruauté. Ce roman à l’écriture cinématographique entraîne le lecteur dans une histoire exaltante cristallisée autour du syndrome de stockholm. L’intensité des dialogues et du récit venant parfaire l’esthétisme général du roman. Une réussite !

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de Max Gerny

C’est les vacances, et la transhumance, pour le commissaire Addamah et son adjointe, la jeune et jolie Marie-Christine Manset. Destination: la mer et le soleil des îles Canaries; et ils ont bien l’intention de prendre du bon temps !

Mais le repos sera de courte durée: quelques jours après leur arrivée, deux enfants de touristes français sont victimes d’un rapt presque sous leurs yeux... Qui a enlevé Clémence et Rosalie ? Comment ? Pourquoi ?

Névrosé en mal d’enfants ? Pédophile tueur ? Réseau mafieux, proxénètes ?

Qu’est-il advenu des petites victimes ? Pourra-t-on arrêter les ravisseurs avant qu’ils ne commettent l’irréparable ?

Les policiers français reprennent du collier auprès de leurs homologues espagnols.

Face à eux, un ennemi insaisissable qui ne recule devant rien pour garder ses secrets. Menaces, intimidation, agressions: rien ne leur sera épargné… Et bientôt, l’enquête change complètement de dimension, entraînant Gilles Addamah et Marie-Christine Manset sur des pistes insoupçonnées…

Mais à vouloir découvrir à tout prix l’épouvantable vérité, les enquêteurs ne risquent-ils pas de se perdre eux-mêmes ?

Éditions ÉDILIVRE

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Réédition sous le titre L'île des hommes-chiens signé Bernard Domeyne : Éd. Édilivre (2011)

de Max Gerny

Jean-Bertrand Mortigeaud, chef de service à la Direction Régionale du Budget, est retrouvé mort à son bureau, une balle en plein front. Meurtre ? Suicide ?

Bientôt, les décès en cascade ne laissent plus planer de doute: un serial killer est à l’œuvre, qui signe ses forfaits de bien étrange manière...

Qui est le coupable: Dombert, l’aigri ? Noyer, le jouisseur ? Flamand, le néo-fasciste ? Mahaut, la parisienne exilée en province ? Fauvette, l’avare pathologique ? Horstmeyer, la trotskiste au rancart ? L’insipide Estelle Dupieu ? Ou bien Al Chebli, le fondé de pouvoir, la beauté du diable ? Ou bien encore le Directeur Régional lui-même, De Beaumont ?

Cette série de meurtres et la mort dans des conditions tragiques d’une jeune contrôleuse de la DRB un an plus tôt seraient-ils liés ?

L’enquête ne sera pas facile: il faudra au commissaire Addamah et à son adjointe, la jeune et jolie Marie-Christine Manset, plonger dans l’univers fermé des Finances, démêler l’écheveau des passions et des rancoeurs et percer à jour des mystères ou le sexe et l’ésotérisme se mêlent pour découvrir la vérité: une vérité qui dérange...

Éditions ÉDILIVRE

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Réédition sous le titre "Petits meurtres entre énarques" signé Bernard Domeyne: Éd. Édilivre (2011)