Certains l'aiment... refroidi
de J.J. Marric
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Il y a plusieurs façons d'accommoder le "poulet". Certains l'aiment chaud... Les mauvais garçons, eux, le préfèrent froid, ou tout au moins sérieusement "refroidi"
Quoi qu'il en soit, notre vieil ami Gideon, de Scotland Yard, qui n'a jamais été particulièrement porté sur le chaud-froid de volaille - et pour cause ! - s'est bien juré que, lui vivant, personne ne saignerait plus un poulet dans son secteur.
Son ambition la plus "chère" ? Que pas un seul monte-en-l'air de Soho ou de Whitechapel puisse faire deux pas dans la rue sans s'écrier, avec une moue d'enfant gâté : "Zut ! Encore du poulet !"
Mais pour que la Maison Poulaga puisse tenir le haut du pavé, il faut des crédits. Or chacun sait que le "poulet maison", de même que "l'hirondelle", sont des volatiles hors de prix... Encore une sombre histoire où Gideon sue... sang et eau, et risque à chaque pas d'y laisser... des plumes.
Éditions Presses de la Cité