Biographie
Yaël König (connue aussi sous le nom de Joëlle Kalfon) est née en 1950 en France. (selon certains sites elle serait de nationalité franco-israélienne). Elle vit aujourd'hui à Capbreton.
"Premier Prix de poésie de France" à 16 ans (et déjà "Prix d’Écriture" à neuf ans) Yaël König écrit depuis l’enfance, et publie depuis son retour en France en 1999. Son premier roman, "Fresca" paru en 2000 obtient le "Prix du Premier Roman des Bibliothécaires, cette passion pour la Littérature la mène au journalisme, elle devient productrice et animatrice radio d’émissions culturelles ("Au fil des Pages", "Textes Libres", "Musique et Moi"). Elle est la première journaliste à organiser une émission rassemblant des femmes chrétiennes, musulmanes et juives alors que c’était impensable sur une chaîne juive. Elle participe à diverses publications francophones, dirige des publications sociétales et culturelles. En 1999, elle devient directrice éditoriale aux Éditions Romillat, responsable de la collection de recherches historiques "Terra Hebraïca", et redresse les Éditions Raphaël de 2001 à 2003.
Dans le même temps, Yaël König enseigne la Littérature puis devient proviseur de Lycée << pour pouvoir faire de son établissement un exemple de modernité et de justice sociale >>. Passionnée d’innovations, d’expériences nouvelles, elle y installe une radio - qui émet encore aujourd'hui - avec des étudiants formés pour cela. Mais sa passion première reste l'écriture et s’y consacre totalement aujourd’hui, exception faite de ses engagements personnels : entre autres, lutte contre la désinformation et le révisionnisme, soutien aux survivants de la Shoa, Rédactrice en chef de "Golda", << magazine qui avance contre vents et marées, sans censure ni tabous.>>
La caractéristique de Yaël König est une lutte constante pour la Vérité, où que ce soit, et sans verbiage. Ainsi elle participe à la suppression de la séquence mensongère de la prétendue mort de Mohamed Al Dura sur le site de France 2, à l'origine d'un déchaînement de haine et d’affrontements. Elle offre les profits de la vente de son essai, "Ilan Halimi, un canari dans la mine"à l’école pour enfants sourds Hattie Friedland, à Jérusalem, qui rassemble des élèves juifs, musulmans et chrétiens et ainsi démontrer possible une harmonieuse cohabitation. Elle dénonce la pédophilie avec virulence et son ouvrage, "Enfance massacrée", est étudié dans certaines universités. Elle lutte contre les conditions exécrables faites aux femmes dans certains pays. Elle a reçu le concours et les félicitations du Ministère de la Culture en Israël pour son ouvrage "Les juifs de San Nicandro" qui a été sélectionné pour le "Prix Wizo -2018".
En 2011 elle publie son premier polar Pizzicato aux Éditions Yago, dans lequel parmi les personnages, apparaît celui d'un jeune inspecteur de police, Nathan Godfine, que l'on retrouve, commissaire à Nice en 2020 dans un second opus: Staccato, aux Éditions De Borée.
(Sources: www.yaelkonig.fr / ecla.aquitaine. / .aqui. / data.bnf. / data.bnf. / Éd. De Borée)
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Romans
Série « Nathan Godfine »
(commissaire de police)
- Pizzicato (Éd. Yago - 2011)
- Staccato (Éd. De Borée - 2020)