Aya vit en Seine-Maritime (France). Elle s'est lancé sur la plateforme d'écriture en ligne Wattpad en septembre 2022, avec son premier roman The South Girl.
Parfois, ce n'est pas le loup qui gagne, mais le chien de berger.
Un jour, Rizzo, truand de son état, voulut « protéger » Caster, propriétaire de bar. Mais le chien se défendit, si bien, si férocement, que le loup, stupéfait, éperdu, dut battre en retraite.
Le chien était devenu un loup, et il s'en aperçut trop tard.
Charles Elgin Alverson est né en octobre 1935 à Los Angeles (USA). En 1963 il obtient son diplôme en journalisme de l'université Columbia.
En 1960, il devient assistant d'Harvey Kurtzman pour le magazine "Help!". Sous son influence le nombre de bandes dessinées publiées augmente. Par la suite, il travaille comme reporter au "Wall Street Journal". En 1969, il déménage en Angleterre et travaille pour le journal "Rolling Stone" et d'autres journaux.
En 1980, il est responsable éditorial du magazine écologiste "Vole". Il participe à la création de "Insight" and "GIS Europe".
(Source: Wikipedia)
Charles Alverson est mortdans le village de Parage en Serbie
Luke Allan est né en 1877 en Angleterre. Il a vécu une grande partie de sa vie au Canada. Journaliste de formation, il entre au "Medecine Hat Times", avant d'en devenir le rédacteur en chef, puis propriétaire.
En marge de ses activités professionnelles, il publie de nombreuses oeuvres de littérature populaire. Il est surtout connu pour la série qui tient à la fois du roman western et du roman policier et qui a pour héros « BLUE PETE », un officier de la police montée royale du Canada dont les exploits se déroulent dans les Prairies canadiennes.
Entre 1930 et 1938, il fait paraître sept "whodunits" situés en Angleterre où enquête « GORDON MULDREW » de la police de Londres.
(Source: Wikipedia)
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Romans
(résumés non disponibles)
La maison déserte (Librairie des Champs-Élysées - 1940)
Le tiroir ouvert (Librairie des Champs-Élysées - 1939)
Après avoir enquêté sur l'un des plus grands parrains de la mafia japonaise dans Tokyo vice, le journaliste américain revient sur la catastrophe de Fukushima survenue le 11 mars 2011.
En tentant de lever le voile sur cet accident nucléaire, il découvre entre autres un monde corrompu.
En 2014, Jake Adelstein découvre les monnaies virtuelles en même temps que l'effondrement de Mt. Gox, la plus grande plateforme d'échange de bitcoins au monde, basée à Tokyo. Celle-ci annonce la disparition de 850 000 bitcoins, l'équivalent de 500 millions de dollars.
Contre toute attente, c'est son créateur et dirigeant qui est le principal suspect de la police japonaise : Mark Karpelès, un jeune Français qui n'a pas encore 30 ans. Mark devient alors le centre de la plus grande affaire criminelle de l'ère numérique.
Tout le monde veut sa peau : la police japonaise, le FBI et les milliers de particuliers qui ont perdu leurs économies. Au cours de son enquête, Jake Adelstein rencontre les pionniers du Bitcoin : idéalistes, geeks, libertariens, profiteurs ou spéculateurs, et tente de répondre à ces deux questions : qui a fait le coup ? Et où sont passés les bitcoins ?
Jake Adelstein en a bien conscience : il ne s'en sortira pas vivant sans aide.
Après avoir écrit un article sur Tadamasa Goto, il a tout le Yamaguchi-gumi à ses trousses. Partant du vieux principe selon lequel « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », Jake Adelstein engage un ancien yakuza, Saigo, qui appartenait à la branche ennemie de Goto. En échange ? Jake doit écrire la biographie de son protecteur.
À partir de la vie de cet homme qui a connu l'âge d'or des yakuzas, Jake Adelstein dresse une fresque épique de la mafia japonaise, des années 1960 à nos jours. C'est Le Parrain au pays du Soleil-Levant, cela commence sur fond de tatouages sophistiqués et se termine dans les milieux de la finance. Entre-temps, les yakuzas ont perdu leur sens de l'honneur.
Quand Jake Adelstein intègre en 1993 le service Police-Justice du plus grand quotidien japonais, le Yomiuri Shinbun, il n'a que 24 ans et il est loin de maîtriser les codes de ce pays bien différent de son Missouri natal.
À Tokyo, il couvre en étroite collaboration avec la police les affaires liées à la prostitution et au crime organisé. Pour cela, il n'hésite pas à s'enfoncer dans les quartiers rouges de la capitale, dans les entrailles du vice et de la décadence.
Approché par les yakuzas, il devient leur interlocuteur favori tout en restant un informateur précieux pour la police. Une position dangereuse, inédite et ambivalente, aux frontières du crime, qui incite Jake Adelstein à entrer dans un jeu dont il ne maîtrise pas les règles.
À mi-chemin entre le polar mafieux et l'enquête journalistique, Tokyo Vice est le roman initiatique d'un jeune journaliste américain à Tokyo qui nous livre, avec beaucoup d'humour, un témoignage nerveux sur l'envers de la société nippone.
Jake Adelstein est né en mars 1969 à Columbia (USA). A 19 ans il s'installe au Japon pour étudier à l'université Sophia.
En 1993 il intègre la rédaction du "Yomiuri Shinbun" (première fois pour un étranger). Il y reste 12 ans. Il commence par couvrir des affaires mineures: du vol de sac à main aux vendeurs à la sauvette. Il est ensuite affecté au press club du département de la Police métropolitaine de Tokyo, et y couvre les affaires d'homicides, suicides et disparitions mystérieuses. Quelques années plus tard, il est muté à la brigade des moeurs et commence à suivre les affaires liées au crime organisé.
Après avoir quitté le "Yomiuri Shinbun", Jake Adelstein enquête sur le circuit de blanchiment d'argent de la mafia japonaise dans les casinos de Las Vegas. Il publie alors les résultats de son enquête dans le "Washington Post" et le "Los Angeles Times", où il montre comment Tadamasa Goto a pu rentrer sur le territoire américain pour bénéficier d'une greffe du foie à l'hôpital universitaire de UCLA. Tadamasa Goto menace de mort ouvertement Jake Adelstein et son entourage. Sa femme et ses deux enfants sont rapatriés aux États-Unis et placés sous protection du FBI pendant plusieurs années. Le journaliste, quant à lui, reste au Japon sous protection policière et d'un garde du corps, pour poursuivre son travail d'enquête sur la mafia. En 2009, il publie aux États-Unis, le fruit de ses enquêtes.
« Tu finiras sur la chaise électrique », lui avait prédit sa sœur quand il était tout enfant ; mais Dutch Schultz avait le bras si long que, malgré ses crimes et ses exactions, les tribunaux l'acquittaient le plus souvent.
Il mourut comme il avait vécu : abattu dans les wc d'une taverne par un tueur à la solde de ses « collègues » du Syndicat du crime qui, par pusillanimité, tenaient à empêcher Schultz d'assassiner leur plus grand ennemi à tous : Tom Dewey, procureur général de l'État de New York.
Ted Addy est le pseudonyme de Russell Robert Winterbotham (utilisé pour ses romans policiers), il est né en août 1904 à Salina au Kansas (USA). Il a écrit Bière à la pression en 1962, l'histoire légèrement romancée de Dutch Schultz, mafieux américain ayant fait fortune dans le trafic d'alcool pendant la prohibition et qui fut assassiné par des tueurs commandités par Lucky Luciano. Il utilise aussi les pseudonymes de J. Harvey Bond et Franklin Hadley dont les romans ne sont pas traduits.
La balle avait pénétré exactement à l'endroit prévu, faisant un petit trou bien net. Trop net. L'espace d'un instant, la panique s'empara de moi : il n'y avait pas de sang autour du trou... il fallait que ça saigne... J'ouvris sa chemise pour regarder à l'intérieur. Il y avait du sang, pas des tas, mais suffisamment.
Je le dépouillai rapidement de sa chemise, desserrai sa ceinture, hésitant à poursuivre ma macabre besogne. Tout cela ne demanda que quelques minutes, mais elles me parurent fort désagréables. Surtout quand il me fallut toucher sa virilité inerte, set peau d'homme... Je l'allongeai enfin et reculai d'un pas et, pour la première fois depuis que je l'avais tué, je le regardai, tout nu, à mes pieds, On pensant que l'homme qui gisait là était le mari, l'époux feu l'époux... d'Anna.
Je ramassai la pelle et me mis à creuser rapidement, méthodiquement, puis, après l'avoir traîné jusqu'au trou, je me mis en devoir de l'y enfoncer le plus profondément possible... Contre l'humus sombre, son corps semblait d'une blancheur marmoréenne. Je le recouvris de terre, dégageai les cales, et laissai retomber le troncs.
Quand, d'ici à vingt Ou trente années, le tronc pourrissant ne serait plus qu'une masse spongieuse et moussue, plus rien n'indiquerait que, à quelques centimètres à peine sous la surface, gisait un squelette...
(2025)Maudit, Modigliani ?
Derrière les tableaux les plus célèbres se cachent parfois les intentions les plus meurtrières.
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Un faussaire de renom tout juste sorti de prison est retrouvé pendu dans une décharge en périphérie parisienne. Quelques jours plus tard, c’est le corps d’une spécialiste du peintre Modigliani qui est repêché dans la Marne. Rien n’unit les victimes, si ce n’est leur passion pour l’art. Coïncidence ou sombre machination ?
S’engage alors pour le commandant Frédéric Vicaux, de la Brigade criminelle, et Anne, sa compagne historienne de l’art, une enquête qui les plongera près d’un siècle plus tôt. Quand un certain Amedeo Modigliani écumait les bistrots parisiens dans une quête furieuse du modèle parfait…