Laure Grenadier, rédactrice en chef du magazine Plaisirs de table, part en reportage avec son photographe Paco Alvarez pour dresser l'inventaire des bouchons lyonnais.
Au coeur de la capitale des Gaules, tous deux envisagent de rendre hommage aux acteurs de l'excellence gastronomique: chefs illustres, adresses confidentielles, producteurs locaux...
Tout bascule lorsque le propriétaire d'un restaurant typique de la célèbre rue Saint-Jean est retrouvé assassiné au petit matin. La ville est en émoi et un vent de panique souffle sur les collines de Fourvière et de la Croix-Rousse quand, le lendemain, le tenancier d'un bouchon historique de la rue Mercière est à son tour tué selon le même procédé.
Laure Grenadier connaissait ces personnages et cherche à comprendre ce qui se cache derrière ces meurtres en série. Crimes crapuleux, jalousies corporatistes, vengeances sentimentales ?
Elle tente de lever le voile qui masque un milieu peu enclin à se livrer.
Nathalie a tout pour elle: un métier de journaliste qu'elle aime, des amis, une liberté qu'elle assume, et pourtant sa vie va basculer à l'occasion d'un banal reportage mondain lors des obsèques d'une vedette de la chanson, victime d'un accident de la route.
La voilà soudain plongée dans un monde trouble, au coeur d'une intrigue mêlant jet-set et milieux politico-financiers, où la vie n'a que peu de prix, face à l'énormité des enjeux.
Les concours précieux de son journal, du commissaire Ottaviani et de quelques amis ne seront pas de trop pour démêler l'écheveau de cette intrigue,
Des évènements dont la journaliste aura bien du mal à sortir indemne !
Ferdinand Drolone, banquier bien marié, la cinquantaine, à qui la vie sourit, se retrouve soudainement emporté par un tourbillon d'événements qu'il ne maîtrise plus...
Une journaliste enquêtrice décide d'aider Ferdinand dans sa quête de vérité afin de rétablir son honneur piétiné, tout en démasquant les financiers véreux.
Mais jusqu'où les accusés sont-ils prêts à aller pour les empêcher de faire éclater le scandale ?
Isabel Dalhousie connaît l’histoire de sa famille, de même que son fiancé Jamie. Mais tout le monde n’a pas cette chance – Jane, par exemple, une philosophe venue d’Australie pour retrouver la trace de ses parents biologiques.
Bien entendu, Isabel ne peut pas refuser de tendre la main à une amie dans le besoin. Elle fait jouer son réseau de relations dans le Tout-Édimbourg, mettant bientôt au jour d’inconfortables vérités.
Elle doit également consacrer un minimum de temps aux petits soucis d’une actualité quotidienne : son mariage, en l’occurrence. Les lointains tourments de la jeunesse ne sont décidément pas les seuls dont elle aura à se soucier !
Éditions Des Deux Terres
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« L’auteur nous entraîne dans les méandres des rapports humains et amoureux avec humour et finesse : succulent ! »
Carine Hayes, reporter au "New Hampton Chronicle", est venue à l'hôpital de New Hampton (U.S.A.) pour interviewer le célèbre explorateur Jefferson Wainwright, qui vient d'être grièvement blessé au cours d'un accident de la route.
Avec stupeur, la jeune fille a vu Richard Wainwright, oncle de Jefferson, verser de la poudre dans un verre d'eau destiné au jeune homme... qui meurt, sans doute empoisonné.
Certaine qu'elle a été le témoin d'un meurtre, Carine décide, avec l'accord de ses employeurs, de se faire passer pour l'épouse du défunt, afin de pouvoir mener son enquête personnelle. (Elle prétendra avoir épousé Jefferson) dans une lointaine mission.
Si le directeur du journal permet à Carine de se lancer dans une aussi périlleuse aventure, c'est qu'il a une bonne raison... Elle ne l'apprendra que plus tard ! La jeune journaliste se présente donc chez les Wainwright... et, tout de suite, des faits mystérieux vont se dérouler...
Un matin, Diane Harpmann reçoit un appel de sa collègue du Parisien Elsa Délos: son ami Dominique André, célèbre figure du journalisme d'investigation, semble s'être suicidé. Il laisse même une lettre pour expliquer son geste, où il se dit accablé par les poursuites judiciaires.
Pourtant, Dominique était un habitué des reportages chocs et des sujets brûlants, pas le genre d'homme à baisser les bras.
Épaulées par l'éditeur Richard Jaucourt, Diane et Elsa découvrent bientôt que Dominique enquêtait sur l'amiante...
Éditions Rivages
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Interdit en France en 1997, soit près d'un siècle après que son extrême toxicité eut été établie, l'amiante est aujourd'hui au coeur de l'un des pires scandales sanitaires de notre époque, un véritable crime à grande échelle rendu possible par la complicité de nombreux responsables politiques, industriels et médecins pendant des décennies.
Plus qu'un document, un thriller puissant et effrayant.
Le corps de Violetta Smith est retrouvé sur la côte. Ce "suicide" ressemble comme deux gouttes d'eau à un assassinat. C'est du moins ce qu'affirme une mystérieuses inconnue au journal local.
Mais le rédacteur en chef est bien ennuyé, car Violetta était l'épouse d'un richissime homme d'affaires propriétaire de l'hebdomadaire. C'est pourquoi il demande à Gonzo, dit "Mégot" de mener une enquête discrète. Pas de vagues, du doigté.
Mais le destin va en décider autrement. Les ennuis ne font que commencer...
Rien n'est jamais tout noir ou tout blanc dans la vie. Regarde Mégot ! L'amateur détective frise la correctionnelle, vu son passé un poil douteux et si le juge le blanchit, des zèbres lui font du "rentre dedans" en bagnole dès sa sortie du Palais de justice...
Résultat: On le récupère dans les vapes à l'hosto. Ça pourrait être banal si, ramassé à Évreux, il émergeait à Trouville pour une prétendue cure de repos. De quoi en perdre son latin... et même son hébreu ! car une voisine de chambre, une petite mamie juive, le prend pour Moïse et lui joue les aventurières de l'hôtel perdu.
Un papelard du siècle de Louis XIV en pogne, une captation d'héritage non datée mais une menace de mort bien actuelle... ça suffira à remettre notre enquêteur sur pied avec sa logeuse comme acolyte providentiel. Pour la petite mémé, par contre, ça ne va pas fort. Il faut dire qu'elle prétend se prénommer Marguerite et venir de Navarre.
Du coup, tout le monde la croit foldingue et pourtant son château-fantôme est loin d'être une auberge espagnole ! Encore que...
Jacques l’Éventreur, tu connais ! Tu te dis, peinard, que c'est un vieil obsédé sauce anglaise qui a sévi, down town, dans le temps, et qu'on s'en fout un poil à Caen vu que c'était à London..... Ben faut aviser, mon pote ! le ton du polar est donné, un savoureux mélange d'intrigues et d'argot au parfum un peu nostalgique cher à Audiard !
Allons-donc ! J'ai eu le même réflexe que toi mais quand la poule caennaise s'est mise à alpaguer mon Mégot pour lui demander s'il ne serait pas de la jaquette flottante et du surin aventureux, j'ai braillé comme un âne:
- Il y a gourance quelque part, monsieur l'inspecteur ! Vous vous emmêlez les pinceaux dans vos recettes et la tripe à l'air, ce n'est pas le genre de la maison...
Ils ne m'ont pas pris vraiment au sérieux au départ les mecs et par conséquent, il a fallu tout leur expliquer... par le menu.
Avec un titre comme celui-là, tu te dis: Mégot, anar comme je le connais, il va bouffer du curé et traiter le clergé local d'oiseaux de mauvaise augure. Eh bien tu te goures !
Non seulement, le mégot ne se laisse pas aller à l'anticléricalisme primaire mais il vient à la rescousse d'un de ses potes, curé de profession... ça te la coupe, hein ?
Quant aux corbacs, ils flinguent comme des nases. Pas besoin de pétoires ou de flingots, ils défouraillent à la perverse, font dans la lettre pas recommandée, dans le chantage bas de gamme et quant à leur littérature, mon pote... ce n'est pas du Corneille !
Est-ce un coup de pied du cheval Bingo qui a tué Mathilde, l'héritière du haras des Mesnillets, près d'Alençon ?
Tout le laisse supposer, jusqu'à ce que Marc-Éric Gonzo, dit "Mégot ", trouve une faille dans le scénario d'un pseudo-accident où juge d'instruction et gendarmes ne voient que la trace de la fatalité.
Bien sûr, ses soupçons mal venus vont déranger du " beau linge ", à commencer par la mère de la victime.
Où notre journaliste est-il encore allé mettre son nez ? Le voilà, une fois de plus, empêtré dans un sacré sac d'embrouilles.
Quand tu te traînes un surnom comme Mégot, tu as plutôt tendance à t'écraser et aller flamber au champ de courses de Cabourg "by night" plutôt que de te fader l'intégrale de Proust.
C'est ce qu'il fait, figure-toi !... Seulement quand on lui flingue, sous le nez, le bourrin qu'il a joué gagnant, qu'une poulette made in Japan lui colle au train, qu'un pandore se met à la faute, qu'on trucide un deuxième canasson et son lad en plus... il s'enflamme, le Mégot !
D'autant que le style "malencontreux accident" ou "regrettable concours de circonstances", l'ex-journaleux, il n'y croit pas trop... même à l'attelé ! Voilà qu'il prend le mors (avec un "s") aux dents et va fouiner dans des trucs pas clairs... jusqu'en Irlande !
Ce que je peux te dire, c'est que les bourrins trinquent un max dans ce bouquin. C'est le festival gore, côté assassin, et heureusement qu'il y a de la môme, côté fesses, et un peu d'émotion côté cœur, autrement c'en était fini du romantisme côte normande !
À la demande d’une amie, Isabel Dalhousie, philosophe et directrice à Édimbourg de la "Revue d’éthique appliquée", enquête sur un pensionnat où l’on doit nommer un nouveau directeur.
Une lettre anonyme laisse entendre qu’un des candidats au poste a un passé compromettant, mais duquel s’agit-il ? Isabel prépare son mariage avec Jamie, mais il se trouve que son fiancé a quelque chose à cacher, lui aussi.
Entre-temps, un vieil ennemi d’Isabel, le professeur Lettuce, resurgit et entend s’imposer dans la "Revue". Une fois de plus, Isabel s’interroge sur le comportement de ses semblables et sur les charmants travers qui les caractérisent.
Maggie MacKinnan, journaliste au "Montreal Tribune", couvre le procès de jeunes gens accusés d'avoir laissé mourir leur enfant par négligence.
Au fil des jours passés en cour, les certitudes de Maggie sont ébranlées: Nick, orphelin trimballé d'un foyer d'accueil à un autre, est-il le monstre que dépeint sa femme et complice, Eileen, une jeune strip-teaseuse elle-même issue d'un milieu difficile ?
La quête qu'amorce Maggie l'entraîne bien loin du bourdonnement rassurant de la salle de presse. Cette fille d'un pasteur de l'Église presbytérienne découvre bientôt les recoins secrets de la cité où se cachent la misère et les vains espoirs.
De quoi réveiller les fantômes lovés dans ses propres souvenirs...