Nathalie a tout pour elle: un métier de journaliste qu'elle aime, des amis, une liberté qu'elle assume, et pourtant sa vie va basculer à l'occasion d'un banal reportage mondain lors des obsèques d'une vedette de la chanson, victime d'un accident de la route.
La voilà soudain plongée dans un monde trouble, au coeur d'une intrigue mêlant jet-set et milieux politico-financiers, où la vie n'a que peu de prix, face à l'énormité des enjeux.
Les concours précieux de son journal, du commissaire Ottaviani et de quelques amis ne seront pas de trop pour démêler l'écheveau de cette intrigue,
Des évènements dont la journaliste aura bien du mal à sortir indemne !
Ferdinand Drolone, banquier bien marié, la cinquantaine, à qui la vie sourit, se retrouve soudainement emporté par un tourbillon d'événements qu'il ne maîtrise plus...
Une journaliste enquêtrice décide d'aider Ferdinand dans sa quête de vérité afin de rétablir son honneur piétiné, tout en démasquant les financiers véreux.
Mais jusqu'où les accusés sont-ils prêts à aller pour les empêcher de faire éclater le scandale ?
Isabel Dalhousie connaît l’histoire de sa famille, de même que son fiancé Jamie. Mais tout le monde n’a pas cette chance – Jane, par exemple, une philosophe venue d’Australie pour retrouver la trace de ses parents biologiques.
Bien entendu, Isabel ne peut pas refuser de tendre la main à une amie dans le besoin. Elle fait jouer son réseau de relations dans le Tout-Édimbourg, mettant bientôt au jour d’inconfortables vérités.
Elle doit également consacrer un minimum de temps aux petits soucis d’une actualité quotidienne : son mariage, en l’occurrence. Les lointains tourments de la jeunesse ne sont décidément pas les seuls dont elle aura à se soucier !
Éditions Des Deux Terres
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« L’auteur nous entraîne dans les méandres des rapports humains et amoureux avec humour et finesse : succulent ! »
Carine Hayes, reporter au "New Hampton Chronicle", est venue à l'hôpital de New Hampton (U.S.A.) pour interviewer le célèbre explorateur Jefferson Wainwright, qui vient d'être grièvement blessé au cours d'un accident de la route.
Avec stupeur, la jeune fille a vu Richard Wainwright, oncle de Jefferson, verser de la poudre dans un verre d'eau destiné au jeune homme... qui meurt, sans doute empoisonné.
Certaine qu'elle a été le témoin d'un meurtre, Carine décide, avec l'accord de ses employeurs, de se faire passer pour l'épouse du défunt, afin de pouvoir mener son enquête personnelle. (Elle prétendra avoir épousé Jefferson) dans une lointaine mission.
Si le directeur du journal permet à Carine de se lancer dans une aussi périlleuse aventure, c'est qu'il a une bonne raison... Elle ne l'apprendra que plus tard ! La jeune journaliste se présente donc chez les Wainwright... et, tout de suite, des faits mystérieux vont se dérouler...
Le corps de Violetta Smith est retrouvé sur la côte. Ce "suicide" ressemble comme deux gouttes d'eau à un assassinat. C'est du moins ce qu'affirme une mystérieuses inconnue au journal local.
Mais le rédacteur en chef est bien ennuyé, car Violetta était l'épouse d'un richissime homme d'affaires propriétaire de l'hebdomadaire. C'est pourquoi il demande à Gonzo, dit "Mégot" de mener une enquête discrète. Pas de vagues, du doigté.
Mais le destin va en décider autrement. Les ennuis ne font que commencer...
Rien n'est jamais tout noir ou tout blanc dans la vie. Regarde Mégot ! L'amateur détective frise la correctionnelle, vu son passé un poil douteux et si le juge le blanchit, des zèbres lui font du "rentre dedans" en bagnole dès sa sortie du Palais de justice...
Résultat: On le récupère dans les vapes à l'hosto. Ça pourrait être banal si, ramassé à Évreux, il émergeait à Trouville pour une prétendue cure de repos. De quoi en perdre son latin... et même son hébreu ! car une voisine de chambre, une petite mamie juive, le prend pour Moïse et lui joue les aventurières de l'hôtel perdu.
Un papelard du siècle de Louis XIV en pogne, une captation d'héritage non datée mais une menace de mort bien actuelle... ça suffira à remettre notre enquêteur sur pied avec sa logeuse comme acolyte providentiel. Pour la petite mémé, par contre, ça ne va pas fort. Il faut dire qu'elle prétend se prénommer Marguerite et venir de Navarre.
Du coup, tout le monde la croit foldingue et pourtant son château-fantôme est loin d'être une auberge espagnole ! Encore que...
Jacques l’Éventreur, tu connais ! Tu te dis, peinard, que c'est un vieil obsédé sauce anglaise qui a sévi, down town, dans le temps, et qu'on s'en fout un poil à Caen vu que c'était à London..... Ben faut aviser, mon pote ! le ton du polar est donné, un savoureux mélange d'intrigues et d'argot au parfum un peu nostalgique cher à Audiard !
Allons-donc ! J'ai eu le même réflexe que toi mais quand la poule caennaise s'est mise à alpaguer mon Mégot pour lui demander s'il ne serait pas de la jaquette flottante et du surin aventureux, j'ai braillé comme un âne:
- Il y a gourance quelque part, monsieur l'inspecteur ! Vous vous emmêlez les pinceaux dans vos recettes et la tripe à l'air, ce n'est pas le genre de la maison...
Ils ne m'ont pas pris vraiment au sérieux au départ les mecs et par conséquent, il a fallu tout leur expliquer... par le menu.
Avec un titre comme celui-là, tu te dis: Mégot, anar comme je le connais, il va bouffer du curé et traiter le clergé local d'oiseaux de mauvaise augure. Eh bien tu te goures !
Non seulement, le mégot ne se laisse pas aller à l'anticléricalisme primaire mais il vient à la rescousse d'un de ses potes, curé de profession... ça te la coupe, hein ?
Quant aux corbacs, ils flinguent comme des nases. Pas besoin de pétoires ou de flingots, ils défouraillent à la perverse, font dans la lettre pas recommandée, dans le chantage bas de gamme et quant à leur littérature, mon pote... ce n'est pas du Corneille !
Est-ce un coup de pied du cheval Bingo qui a tué Mathilde, l'héritière du haras des Mesnillets, près d'Alençon ?
Tout le laisse supposer, jusqu'à ce que Marc-Éric Gonzo, dit "Mégot ", trouve une faille dans le scénario d'un pseudo-accident où juge d'instruction et gendarmes ne voient que la trace de la fatalité.
Bien sûr, ses soupçons mal venus vont déranger du " beau linge ", à commencer par la mère de la victime.
Où notre journaliste est-il encore allé mettre son nez ? Le voilà, une fois de plus, empêtré dans un sacré sac d'embrouilles.
Quand tu te traînes un surnom comme Mégot, tu as plutôt tendance à t'écraser et aller flamber au champ de courses de Cabourg "by night" plutôt que de te fader l'intégrale de Proust.
C'est ce qu'il fait, figure-toi !... Seulement quand on lui flingue, sous le nez, le bourrin qu'il a joué gagnant, qu'une poulette made in Japan lui colle au train, qu'un pandore se met à la faute, qu'on trucide un deuxième canasson et son lad en plus... il s'enflamme, le Mégot !
D'autant que le style "malencontreux accident" ou "regrettable concours de circonstances", l'ex-journaleux, il n'y croit pas trop... même à l'attelé ! Voilà qu'il prend le mors (avec un "s") aux dents et va fouiner dans des trucs pas clairs... jusqu'en Irlande !
Ce que je peux te dire, c'est que les bourrins trinquent un max dans ce bouquin. C'est le festival gore, côté assassin, et heureusement qu'il y a de la môme, côté fesses, et un peu d'émotion côté cœur, autrement c'en était fini du romantisme côte normande !
À la demande d’une amie, Isabel Dalhousie, philosophe et directrice à Édimbourg de la "Revue d’éthique appliquée", enquête sur un pensionnat où l’on doit nommer un nouveau directeur.
Une lettre anonyme laisse entendre qu’un des candidats au poste a un passé compromettant, mais duquel s’agit-il ? Isabel prépare son mariage avec Jamie, mais il se trouve que son fiancé a quelque chose à cacher, lui aussi.
Entre-temps, un vieil ennemi d’Isabel, le professeur Lettuce, resurgit et entend s’imposer dans la "Revue". Une fois de plus, Isabel s’interroge sur le comportement de ses semblables et sur les charmants travers qui les caractérisent.
Maggie MacKinnan, journaliste au "Montreal Tribune", couvre le procès de jeunes gens accusés d'avoir laissé mourir leur enfant par négligence.
Au fil des jours passés en cour, les certitudes de Maggie sont ébranlées: Nick, orphelin trimballé d'un foyer d'accueil à un autre, est-il le monstre que dépeint sa femme et complice, Eileen, une jeune strip-teaseuse elle-même issue d'un milieu difficile ?
La quête qu'amorce Maggie l'entraîne bien loin du bourdonnement rassurant de la salle de presse. Cette fille d'un pasteur de l'Église presbytérienne découvre bientôt les recoins secrets de la cité où se cachent la misère et les vains espoirs.
De quoi réveiller les fantômes lovés dans ses propres souvenirs...
La journaliste Isabelle Legrand prépare une émission de télévision sur un retentissant fait-divers qui a défié la chronique quelques années auparavant.
Pour se faire, elle a besoin du témoignage de l’homme qui a dirigé les investigations jusqu’à ces funestes dénouements.
Mais le commandant de police Simon Carrière voit arriver l’ouverture du procès avec une angoisse grandissante. Trop de souvenirs douloureux le rattachent à cette enquête, trop de drames qui ont fait de lui l’homme brisé qu’il est devenu.
Il sait pourtant qu’il va devoir se livrer, une fois pour toutes, revenir sur toute l’affaire sans rien oublier et, ensuite, peut-être, passer à autre chose.
Éditions Krakoen
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Avec ce polar aux aspects de thriller, Marie Vindy nous entraîne dans le tréfonds d'une histoire criminelle donnant la chair de poule. Suspense et frissons garantis.
Léonards et bigoudens partagent le même goût pour les expressions savoureuses. Celle-ci, typiquement finistérienne, désigne la capacité à encaisser les petits inconvénients d'une grande consommation d'alcool. Autrement dit, "tient la marée" celui qui arrive à se relever du comptoir et à marcher sans tomber jusqu'à la sortie. Et la trouve, la sortie du bar. Et dit au revoir la compagnie, encore.
Pour Léo-Alistair Tanguy, journaliste d'investigation d'un mètre quatre-vingt-dix aux cheveux roux et au penchant affirmé pour le beau sexe, certains impératifs ne se déclinent pas. Aussi, quand son pote Pierrot, bistrotier, est injustement impliqué dans la mort d'un mineur en coma éthylique dépassé, vient-il à la rescousse.
Cela lui permettra de moissonner quelques renseignements sur les us et coutumes des environs de Kerity et de Pouldreuzic, au premier rang desquels ce monde fermé qu'est la tribu surfeur, et aussi ce monde cruel qu'est la concurrence des hypermarchés, et enfin ce monde sombre qu'est celui de l'adolescence en cette année 2017. Quelques jolies dames raviront le coeur et les sens du tendre rouquin au passage ; et quelques pauvres bougres ou vilains individus s'emploieront à casser cette belle énergie glanée dans les bras accueillants des belles.
Qu'à cela ne tienne, Léo Tanguy ne se laissera pas détourner de sa mission : la vérité et son exposition au grand jour, surtout si elle indispose riches, puissants et institutions broyeuses de liberté.
Et si, demain, l'or perdait soudain toute valeur ?
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Lorsque de mystérieux émissaires proposent à des banquiers du monde entier de leur livrer trois cents kilos d'or à un prix très bas, le petit monde de la finance et des affaires s'inquiète. Ils reçoivent peu après un message signé des Compagnons d'Éleusis : " Êtes-vous prêts à consacrer votre vie à d'autres valeurs que l'or ? "
Sophie, fille d'un de ces banquiers, en parle à son ami Vincent, un jeune journaliste qui décide d'enquêter. Qui sont ces mystérieux Compagnons d'Éleusis, qui semblent chercher à débarrasser le monde des valeurs matérielles au profit de valeurs morales et spirituelles ? Une secte d'illuminés ? Un instrument au service d'un fou assoiffé de pouvoir ? Et quel rapport tout cet or surgi de nulle part peut-il avoir avec le fameux trésor des Templiers ?
Vincent va devoir explorer le Paris souterrain et historique, de la demeure de l'alchimiste Nicolas Flamel à la tour Saint-Jacques, pour exhumer des secrets très anciens et découvrir qui se cache vraiment sous le masque des Compagnons d'Éleusis...
Éditions du Rocher
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Alain Page signe ici un grand roman aux accents fantastiques, qui revisite le mystère de l'alchimie et des Templiers. Une première version du Secret des Compagnons d'Éleusis a donné lieu en 1975 à une série télévisée réalisée par Claude Grinberg.