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Les séries sont des romans écrits par différents auteurs avec le même personnage ou le même thème.

 

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15 décembre 2007

Arsenic et boutons de manchette

de John Dickson Carr

 

Arsenic et boutons de manchette de John Dickson Carr
(1993)

Bigre ! La situation se corse. Cambrioler - sur ordre de Sir Henry Merrivale - la demeure d'un savant fou mâtiné d'espion allemand, c'est une chose. Découvrir ledit savant fou raide mort pour avoir forcé sur la strychnine, c'est une autre. Surtout quand on a la maréchaussée aux trousses.

 

Voilà pourquoi Ken Blake aimerait en rester là. Mais c'est sans compter sur Merrivale, qui le charge aussi sec d'un autre cambriolage. Chez un autre savant, ami du précédent.

 

C'est ce qu'on appelle avoir de la suite dans les idées... Ken Blake n'a plus qu'à croiser les doigts. Pourvu qu'il ne tombe pas sur un second cadavre.

 

Librairie des Champs-Élysées

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15 décembre 2007

Le naufragé du Titanic

de John Dickson Carr

 

Le naufragé du Titanic de John Dickson Carr
(1987)

Bigre ! Voilà une histoire plutôt ébouriffante.

 

En 1912, en plein naufrage du Titanic, l'héritier des Farnleigh aurait échangé ses aristocratiques papiers contre ceux d'un roturier de son âge. Depuis lors, chacun aurait vécu sous l'identité de l'autre, sans que personne n'en sache rien. Amusant, non ?

 

Mais, c'était fatal, après des lustres de silence, le vrai, l'unique héritier des Farnleigh revient au bercail, avec l'intention de bouter hors de ses pantoufles le vil imposteur.

 

De plus en plus fort...

 

Pourtant, au lieu d'en rire, sir John se montre bizarrement affecté par cette affaire. Au point de ne se défendre qu'avec mollesse. Puis de mourir très opportunément.

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Le rideau cramoisi

de John Dickson Carr

 

Le rideau cramoisi de John Dickson Carr
(1997)

Le célèbre Henry Merrivale rêve de vacances incognito à Tanger.

 

La jeune et svelte Maureen Holmes serait une "couverture" idéale. Mais à son grand dam, dès son arrivée à l'aéroport, il reçoit un accueil triomphal !

 

L'heure des vacances n'a pas encore sonné pour H.M., plus en forme et donc plus ronchon que jamais.

 

La police locale le réquisitionne pour mettre la main sur le plus habile voleur de diamants d'Europe : le "Coffre de fer", ce Robin des bois des temps modernes qui déjoue tous les pièges des enquêteurs.

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Passe-passe

de John Dickson Carr

 

Passe-passe de John Dickson Carr
(1989)

Au moment où les sirènes de la police se sont rapprochées, Manning a plongé. La piscine, taillée dans la pierre grise, est sombre, on n'en voit pas le fond. Après quelques instants, les vêtements de Manning sont remontés à la surface: d'abord sa veste d'alpaga, puis son pantalon, enfin ses sandales à semelles de liège. C'est tout. 

 

Un policier s'est aussitôt mis à l'eau. Il n'a repêché qu'une balle de golf. En désespoir de cause, on a vidé la piscine, pour ne trouver que des morceaux de papier collés sur la grille de la bouche d'écoulement. 

 

Bref, comme il l'avait annoncé, Manning s'est volatilisé, en plein jour et devant témoins, juste avant qu'on ne l'arrête. Joli tour de passe-passe, non ?

 

Éditions du Masque

15 décembre 2007

On n'en croit pas ses yeux

de John Dickson Carr

 

On n'en croit pas ses yeux de John Dickson Carr
(1992)

Peut-on ordonner à une personne hypnotisée de commettre un crime?

 

C'est ce que le Dr Rich se propose de démontrer ce soir, au salon, devant tous les invités, grâce à une expérience fort simple. Il a choisi son cobaye: Mrs Fane. Elle sera endormie et devra tuer quelqu'un. Son mari en l'occurrence.

 

Bien entendu, un sujet sous hypnose n'accomplit que des actes voulus, ou du moins tolérés par son subconscient. Ainsi, Mrs Fane n'obéira que si elle nourrit à l'égard de son tendre époux quelque grief secret. Un jeu bien dangereux... Même avec un poignard en caoutchouc et un revolver factice...

 

C'est ainsi qu'il appartiendra à Stanley Merivale de découvrir comment elle a pu réellement tué son mari.

 

Éditions du Masque

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15 décembre 2007

Le mort frappe à la porte

 

ou

 

Qui a peur de Charles Dickens ?

 

de John Dickson Carr

 

Le mort frappe à la porte de John Dickson Carr
(1990)

Tous les goûts sont dans la nature. Et Rose Lestrange en avait de bien curieux, s'il faut en croire les commérages du campus. 

 

Par exemple, elle n'aimait rien tant que les parties de jambes en l'air dans les endroits les plus insolites. Afin de leur donner du piment, évidemment. Mais ce n'est pas tout. Rose Lestrange raffolait aussi des couteaux bien aiguisés. Ainsi, elle gardait en permanence chez elle un poignard ancien très effilé. Drôle de marotte, non ? 

 

Avait-elle donc depuis longtemps prémédité son suicide ? 

 

Mais au fait, qui parle de suicide ? A-t-on jamais vu une femme, tranquillement installée à sa coiffeuse, se plonger une lame dans le coeur ?

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Le juge Ireton est accusé

de John Dickson Carr

 

Le juge Ireton est accusé de John Dickson Carr
(1985)

Le juge Ireton n'est pas sévère, il est juste. Le juge Ireton n'est pas implacable, il ignore la faiblesse. Ceux qu'il frappe de lourdes peines le méritent : le juge Ireton ne se trompe jamais. C'est pourquoi il envoie tant d'hommes à la potence sans regret. Sans se départir de son calme. 

 

Mais va-t-il garder son impassibilité maintenant que les rôles sont inversés ?  Maintenant qu'il a pris la place de l'accusé ?  Comment juge-t-il son propre crime ?  Que pense-t-il des preuves qui l'accablent, du mobile qui le montre du doigt ?  S'accorde-t-il des circonstances atténuantes ? 

 

Et, au fait, est-ce bien lui le coupable ?

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

La police est invitée

de John Dickson Carr

 

La police est invitée de John Dickson Carr
(1994)

Et rebelote !  Les plumes de paon ont encore frappé... 

 

À chaque fois, le scénario est le même. Et à chaque fois le Yard, que l'assassin a la courtoisie de prévenir, patauge lamentablement. Et pour cause ! 

 

À quoi rime la mise en scène qui accompagne chacun des meurtres ?  Que signifient les objets d'art de grande valeur décorés de plumes de paon que l'on retrouve sur les lieux du crime ? 

 

Enfin, si on exclut, par égard pour la santé mentale des enquêteurs, que l'assassin ait des dons d'invisibilité ou puisse passer à travers les murs, comment se débrouille-t-il pour abattre ses victimes ?

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

La maison de la terreur

de John Dickson Carr

 

La maison de la terreur de John Dickson Carr
(1988)

Comme Landru ?  Morceau par morceau dans la cuisinière ?  Non. Le corps humain brûle mal ; on aurait remarqué la fumée...

 

Comme le Dr Grippen, alors, enterrées dans la cave ? 

 

La police y a pensé. C'est même par là qu'elle a commencé à creuser. Rien. Pas le moindre squelette. Pas même le moindre morceau d'os. En fait, le jardin a été labouré, le sol défoncé, les lattes du parquet arrachées, la cheminée éventrée, les murs sondés... En vain. Aucune trace des victimes. 

 

Bewlay a donc un truc infaillible pour faire disparaître les corps de ses épouses. Mais lequel ?

 

Et comment lui mettre la main au collet... avant qu'il ne se remarie ?

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

L'homme en or

de John Dickson Carr

 

L'homme en or de John Dickson Carr
(1988)

Dwight Stanhope serait-il à court d'argent ?  Beaucoup de gens se posent la question, à la Maison du Masque. 

 

Sinon, pourquoi l'homme d'affaires réputé richissime, propriétaire d'une inestimable collection de tableaux, aurait-il descendu celle-ci de la galerie où elle était exposée dans la salle à manger, où elle n'est plus protégée ? 

 

Aucune alarme, des porte-fenêtres ouvrant directement sur la pelouse... Autant inviter les cambrioleurs à venir décrocher sans façon la toile du Greco, joyau de la collection !

 

Swight Stanhope espère-t-il vraiment escroquer les assurances... ou bien serait-il devenu fou ?

 

Éditions du Masque

15 décembre 2007

Satan vaut bien une messe

de John Dickson Carr

 

Satan vaut bien une messe de John Dickson Carr
(1986)

Le meurtre fait partie des rites d'un groupe de détraqués qui se livrent à des pratiques abominables. Leur respectabilité les protège.

 

Lorsque le bel avocat Patrick Butler décide d'assurer la défense des tendres Joyce et Lucia, il ne se doute pas qu'il va être emporté dans un tourbillon satanique.

 

II va falloir toute l'habileté du Dr Fell pour reconnaître, à travers certains indices, les symboles traditionnels d'un culte dédié à Satan.

 

Mais comment protéger à temps Patrick et ses douces amies de la créature éprise de luxure et de meurtre, qui cherche frénétiquement de nouvelles victimes pour la célébration de ses Messes de Sang ?

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Le sphinx endormi

de John Dickson Carr

 

Le sphinx endormi de John Dickson Carr
(1991)

Lorsque, après être passé pour mort sept années durant, le major Sir Donald Holden de guerre revint, il se doutait bien que des changements avaient dû se produire dans le cercle de ses intimes.

 

Ainsi, tout en priant pour qu'il n'en fût rien, Holden s'attendait à trouver mariée ou fiancée sa Celia tant aimée...mais certainement pas à surprendre son meilleur ami, Thorley Marsh, amoureusement enlacé avec une fille de dix-neuf ans !

 

Toutefois, ce n'était là que la première et la moins dramatique des surprises qui lui étaient ménagées.

 

En effet, il fut bientôt obligé de conclure que les gens qui lui étaient le plus chers lui mentaient cruellement, par méchanceté pure, ou alors qu'ils étaient tous devenus fous. Chacun d'eux lui semblait porter un masque inquiétant, comme dans la scène qu'un miroir lui fit surprendre...

 

Cette mort, qu'on disait avoir été naturelle, lui paraissait due à un meurtre... Il y avait aussi le mystère de Mme Vanya, de l'énigmatique Sphinx endormi... Pourquoi aussi prenait-on un diabolique plaisir à culbuter les cercueils du caveau de famille... Et, d'abord, comment était-on entré dans ce caveau dont la porte était scellée ?

 

Mais surtout, qui avait pu malmener ainsi des cercueils pesant plusieurs centaine de kilos, sans laisser aucune empreinte sur le sable recouvrant le sol ?

 

Aux lecteurs comme aux héros de ce roman, il apparaîtra vite que, s'il existe au monde une personne capable de répondre à toutes ces questions, ce ne peut être que le docteur Gideon Fell.

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Celui qui murmure

de John Dickson Carr

 

Celui qui murmure de John Dickson Carr
(1990)

Lorsque le professeur Rigaud vient rendre visite à ses amis anglais, les Brooke, aux environs de Chartres, il ne soupçonne pas la stupéfiante — l'impossible — tragédie qui va se dérouler presque sous ses yeux.

 

Un après-midi, peu après son arrivée, le professeur rejoint son vieil ami et son fils, Harry, au sommet d'une vieille tour médiévale isolée en pleine campagne. Rigaud surprend alors une violente dispute opposant les deux hommes; il y met fin en emmenant le jeune homme.

 

Or, Brooks, resté seul au haut de la tour, est retrouvé peu après moribond, le corps transpercé d'une canne-épée, et nul n'a pu s'approcher de la tour depuis le départ du professeur et du fils de la victime...

 

Ce crime fantastique, apparemment surnaturel, reste impuni plusieurs années jusqu'au jour où le Dr Gideon Fell, le spécialiste des chambres closes, s'y intéresse.

 

Il innocente alors la jeune nymphomane injustement soupçonnée et révèle la prodigieuse vérité.

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Suicide à l'écossaise

de John Dickson Carr

 

Suicide à l'écossaise de John Dickson Carr
(1984)

Angus Campbell s'est-il suicidé ? L'a-t-on assassiné ? Son assurance-vie sera-t-elle versée à ses deux héritiers, Colin, son frère, et Elspat, sa maîtresse ?

 

 

La mort mystérieuse du châtelain de Shira déchaîne les passions et réunit au fin fond de l'Écosse huit personnages peu ordinaires. Et si Walter Chapman, l'assureur, penche pour le suicide, il est bien le seul. Colin tient à son héritage et la dévote Elspat redoute que son vieux compagnon ne brûle dans les flammes éternelles.

 

Coups de théâtre, cocasses ou dramatiques, se succèdent, la "Damnation des Campbell", tord-boyaux maison, galvanise les énergies.

 

Et Gedeon Fell, le célèbre détective, débrouillera l'affaire à la satisfaction générale.

 

Librairie des Champs-Élysées

15 décembre 2007

Le fantôme frappe trois coups

 

ou

 

Impossible n'est pas anglais

 

de John Dickson Carr

 

Le fantôme frappe trois coups de John Dickson Carr
(1980)

Janvier 1940

 

L'Edwardic, chargé de munitions et d'explosifs, quitte New-York à destination de l'Angleterre avec à bord neuf passagers dont deux femmes.

 

Avant le départ, deux bombes à retardement sont découvertes dans la cale du navire.

 

Le lendemain, un meurtre particulièrement horrible est commis dans des circonstances étranges, et le criminel laisse des empreintes sanglantes sur le lieu de son forfait.

 

Mais ces empreintes n'appartiennent à aucune des personnes se trouvant à bord...

 

Librairie des Champs-Élysées

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