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24 juillet 2008

La veuve vigilante

de Erle Stanley Gardner

la_veuve_vigilante

Cette nouvelle cliente de Perry Mason est une belle vieille dame qui avoue posséder des arrière-petits-enfants. Elle fume de gros cigares noirs, elle aime danser et mener la grande vie. Elle ordonne à Mason, en des termes bien sentis, de s'emparer d'uen reconnaissance de dettes émanant de sa petite-fille, joueuse invétérée, avant que cette affaire soit reconnue contre elle dans une affaire de divorce.

Perry Mason rencontre donc la petite-fille en question à bord d'un célèbre bateau qui, à douze miles de la côte, sert de salle de jeu. 

À peine est-il arrivé, à peine a-t-il salué l'assistance que l'avocat découvre un cadavre derrière une porte. Ce qu'on appelle une affaire toute chaude !

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

-

Édition originale sous le titre "La dangereuse douairière": Éd.Arthaud (1949)

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24 juillet 2008

La vamp aux yeux verts

de Erle Stanley Gardner

la_vamp_aux_yeux_verts

Perry Mason s'arrêta court: le bruit sourd et violent d'un choc ébranlait le sol sous leurs pieds.

- Qu'est-ce que c'est que ça ?  demanda Della Street effarée.

- Je ne sais pas. On dirait que quelqu'un est tombé...

Un cri de femme terrifiée venait de retentir à l'intérieur de l'appartement. Della leva instinctivement sa main gantée vers la poignée de la porte et commença à la tourner, Mason lui fit lâcher prise d'un coup rapide sur la main.

- Mais, Patron, quelqu'un a crié.  Nous ne pouvons rester là sans rien faire. C'était un cri de terreur. C'était...

La porte s'ouvrit brusquement; une femme se précipita, puis s'arrêta droite et consternée en les voyant.

- Eh bien, Madame Atwood, dit Mason avec calme; vous semblez vous être livrée à une exploration.

- Oh c'est vous ! s'exclama-t-elle. Grâce soit rendue à Dieu. Vite !

- Qu'est-ce que c'est ? demanda Mason.

- Son corps était dans l'armoire à liqueurs. Il est tombé en avant, sur la figure. Mason s'enveloppa la main d'un mouchoir, saisit la poignée de la porte et la referma.

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

24 juillet 2008

La serveuse soucieuse

de Erle Stanley Gardner

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Le patron du restaurant ne voulait absolument pas que les serveuses importunent les clients en leur demandant des conseils, avis ou renseignements.

Visiblement très soucieuse, Katherine Ellis était aussi fort jolie. Ému par le désarroi de cette jeunesse, lorsqu'il eut fini le déjeuner, Perry Mason lui laissa un message: "Pour une consultation, je demande dix dollars. En voici onze comme pourboire".

Ce faisant, il déclara en riant à Della Street qu'il risquait d'avoir des ennuis avec le Conseil de l'Ordre pour racolage de clients. Mais sans doute estimait-il que les beaux yeux de Katherine valaient le risque.

Et lorsqu'elle lui raconta que sa tante n'hésitait pas à traverser toute la ville en taxi pour économiser quelques centimes sur une livre de margarine ou une douzaine d'oeufs, il pensa que la jeune fille avait raison de craindre le pire... comme l'avenir n'allait pas tarder à le confirmer de dramatique façon.

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

24 juillet 2008

La reine-mère

de Erle Stanley Gardner

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Il émanait de cette cliente une extrême dignité et elle avait une allure que Della Street, la secrétaire du célèbre avocat Perry Mason, n'hésita pas à qualifier de royale.

De toute évidence, Ellen Adair avait de gros soucis à cause d'un prix de beauté remporté par elle vingt ans auparavant.  Mais pourquoi tenait-elle à cacher ce qui lui était arrivé entre-temps, et qui cherchait, au contraire, à le rendre public ?

En essayant de découvrir la réponse à ces questions, Perry Mason allait se retrouver dans une situation extrêmement équivoque et, une fois de plus, avec un cadavre sur les bras.

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

24 juillet 2008

La prudente pin-up

de Erle Stanley Gardner

la_prudente_pinup

Quand un meurtre en cache un autre...  Un banal accident de la route... qui débouche pourtant sur un mystère: pourquoi le conducteur en faute a-t-il pris la fuite, abandonnant les victimes ?

Pourquoi, après avoir inséré dans la presse un appel à témoignage, Perry Mason reçoit-il la "confession" de deux personnages, revendiquant chacun la responsabilité du carambolage ?  L'un d'entre eux ment, c'est évident, mais lequel ?

Dans cette affaire peu commune, l'avocat détective, aidé par une ravissante jeune femme, se trouve mêlé, malgré lui, à un sordide règlement de comptes. Mêlé à tel point qu'il devra monter tout un scénario pour sortir du piège où  il est tombé.

Éditions J'AI LU

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Édition originale: Éd. Presses de la Cité (1951)

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24 juillet 2008

La nymphe négligente

de Erle Stanley Gardner

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Qui a donc tué le richissime George Alder ? 

Dorothy Fenner, comme le laissent penser les faits - accablants - et les témoins - formels ?  Pas sûrs !

D'abord, la jeune fille nie farouchement avoir rendu visite à Alder ce soir-là. Et puis, les preuves paraissent un peu trop probantes à Perry Mason, le célèbre avocat détective chargé de la défendre.

Et si toute cette mise en scène n'était qu'une machination diabolique visant à l'accuser injustement ?  Mais imaginée par quel malin, et pourquoi ?

Pour le découvrir, Perry dispose de deux pistes: un message accusant Alder de meurtre et... un chien mystérieusement disparu. Cela suffira-t-il à innocenter Dorothy ?

Éditions J'AI LU

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Édition originale: Éd. Presses de la Cité (1955)

24 juillet 2008

L'inquiétante ingénue

de Erle Stanley Gardner

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Lorsque Daphne Shelby vient trouver Perry Mason pour lui conter sa navrante histoire, elle n'a guère, en plus d'un gros chèque frappé d'opposition, que ses beaux yeux pour pleurer. 

En son absence, des parents sans scrupules ont réussi à faire interner le cher vieil oncle qui l'avait élevée, et à se faire confier la gestion de sa fortune. Les yeux de Daphne sont si beaux que Mason s'institue aussitôt chevalier, bien qu'elle n'ait pas de quoi le payer. 

Le célèbre avocat peut bien s'offrir le luxe d'une bonne action, mais ne s'est-il pas laissé abuser par les apparences ? Dans cette affaire, ne va-t-il pas servir de bouc émissaire et, confondu par ses adversaires, risquer d'être rayé du Barreau ? 

Fort heureusement, c'est dans les situations désespérées que Perry Mason - aidé par Erle Stanley Gardner - se sent au mieux de sa forme et se révèle le plus astucieux !

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

24 juillet 2008

L'horrible hypothèse

de Erle Stanley Gardner

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- Je me doutais bien qu'il se passait quelque chose d'anormal. Cet homme voulait qu'elle garde l'enfant jusqu'à nouvel ordre. Puis il lui a dit de préparer une valise et de se tenir prête à partir... Ce n'est pas que je sois curieuse, vous le pensez bien, mais cet enfant qui pleurait parce qu'il croyait avoir tiré un coup de revolver...

- Les enfants ont souvent des cauchemars, glissa Mason.

- Oui ! glapit la vieille fille. Des cauchemars où ils rêvent qu'ils ont tué quelqu'un... Et quand ça leur arrive, on les amène à quatre heures et demie du matin chez une baby-sitter... Après quoi, un avocat et un détective viennent chez les voisins poser des questions ! Me prenez-vous pour une idiote, Mr. Mason ?

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

24 juillet 2008

L'hirondelle éplorée

de Erle Stanley Gardner

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Deux nouvelles inédites de Stanley Gardner.

La première nous montre le célèbre Perry Mason, toujours aussi futé, aussi culotté, aux prises avec de droles d'oiseaux de nuit qui pratiquent gaillardemment la bigamie, le chantage et l'assassinat impromptu.

Le héros de la seconde est Lester Leith, ineffable escroc, fumiste de charme et passé maître dans l'art de mettre les pieds-plats en boîte.

Éditions GALLIMARD

24 juillet 2008

L'évêque bègue

de Erle Stanley Gardner

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L'évêque qui se présenta ce jour-là chez Perry Mason avait l'air sympathique. En un mot, on lui aurait donné le bon Dieu sans confession. À un détail près, il bégayait. 

Or les évêques sont censés avoir une élocution parfaite. Après tout, eux aussi, s'adressent à un public et leur métier est de convaincre, comme les avocats.

Or, justement, Perry Mason n'était pas convaincu. Que voulait-il, ce monsieur Mallory, venu d'Australie pour une obscure histoire d'accident de voiture qui datait de plus de vingt ans ? 

Perry flairait l'imposture. Mais quand il apprit que la partie adverse s'appelait Renwold C. Brownley, l'affaire commença à l'intéresser. Car Brownley était milliardaire. Mais pas immortel. 

Et, justement, Brownley mourut peu de temps après. Prématurément...

Éditions J'AI LU

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Édition originale sous le titre "Perry Mason et l'évêque bègue": Éd. Gallimard (1938)

Réédition sous le titre "L'évêque bègue": Éd. Presses de la Cité (1949)

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