de John Dickson Carr

Non ! Même l'accessoiriste le plus distrait ne peut commettre une bourde aussi monumentale... Il s'agit donc d'un sabotage. Une main criminelle a remplacé l'eau plate d'une carafe - élément du décor - par du vitriol. Mais dans quel but ?

Cherche-t-on à interrompre le tournage d'Espions en mer ? À défigurer Miss Frances Fleur, la vedette du film ? Ou en veut-on à la nouvelle scénariste, fraîchement débarquée dans les studios ?

Mystère. Jusqu'ici, en tout cas, le maniaque au flacon d'acide a raté sa cible. Pourra-t-on le coincer avant qu'il ne mette dans le mille ?

Une enquête inédite de Sir Henry Merrivale, écrite en 1940

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

de John Dickson Carr

Plus truculent que jamais, voilà que Sir Henry Merrivale se lance dans le bel canto...

Fini les abracadabrants mystères de chambre close !...Et pourtant, la belle Lady Brace est là, qui implore l'aide du maestro ! En plus, son meilleur ennemi, Masters, de Scotland Yard est sur le coup !...

En faudra-t-il davantage pour que Sir Henry consente à examiner ce qui s'est réellement passé dans la Chambre de Chêne du manoir de la douce Lady ? Ou plus exactement, pourquoi il ne s'est rien passé...

N'est-ce pas là un problème digne de l'immense H.M ? Comment et pourquoi diable la Coupe du Cavalier n'a-t-elle pas été volée ?

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

de John Dickson Carr

Pour moi, l'histoire a commencé le 6 septembre 1930. Le jour où Dean Halliday m'a demandé si j'accepterais de passer la nuit avec lui dans une maison hantée... La Maison de la Peste, celle dont il avait hérité après le suicide de son frère James. Je m'ennuyais, la proposition ne pouvait pas mieux tomber.

J'ai accepté à condition que l'inspecteur-chef Masters nous accompagne - il a toujours adoré ce genre d'affaires et c'est un spécialiste de la détection des faux médiums - . Personnellement, j'étais sceptique, mais tout prêt à m'incliner devant une preuve irréfutable.

Mais qu'est-ce qu'une preuve irréfutable ?...

Nous voilà donc partis à chasser le fantôme... mais aussi le voleur, en chair et en os, du poignard bizarrement disparu du London Museum...

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Édition originale sous le nom de Carter Dickson : Éd. Hachette (1949)

de John Dickson Carr

Ses pas mènent tout droit à la falaise. La mer bouillonne, en bas, sur les rochers... Le Dr Luke en a le vertige. La pulpeuse, l'ardente Rita Wainwright a préféré se suicider avec son jeune amant ! 

Dire que le professeur Wainwright l'attend, là-bas, dans le salon, l'oreille collée à la T.S.F., attendant les dernières nouvelles de la guerre.

Mais si le lendemain, on apprend que les deux amants ne sont pas morts écrasés, mais de deux balles tirées à bout portant, alors qu'en haut du "Saut des Amants", on n'a point trouvé d'autres empreintes que les leurs ?...

Une énigme proposée par le maître du genre à la sagacité de son détective Sir Henry Merrivale.

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Édition originale sous le nom de Carter Dickson: Éd. Ditis (1946)

de John Dickson Carr

C'est à flanquer le moral de la Grande Armée tout entière, une histoire pareille !

Pensez-donc, un mystérieux assassin qui tue des sentinelles à la barbe de leurs compagnons sans qu'on puisse expliquer comment il procède.

Et il signe ses crimes, l'insolent: capitaine Coupe-Gorge, voilà le nom qui figure sur les cartes épinglées aux cadavres. Encore une machination des Anglais. Un de leurs agents s'est infiltré dans le camp et tente de semer la terreur. Il pourrait bien réussir, le bougre, on parle déjà de mutinerie...

À moins que le ministre de la police ne monte une attaque subtile. En infiltrant dans le camp un second agent anglais. Mais à sa solde, celui-là. Du moins le croit-il...

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de John Dickson Carr

Non, Christopher n'est pas plus empoté qu'un autre et son pari, il veut le gagner. Après tout, survivre quelques jours dans la jungle londonienne incognito et sans un penny en poche, ce n'est pas sorcier. Il suffit d'un peu d'astuce.

Son estomac crie famine ? Pour le calmer, Christopher franchit d'un pas assuré les portes du "Royal Scarlet Hotel" et prend place dans la salle à manger en donnant un numéro de chambre. Celui qui est inscrit sur la fiche qu'il vient de recevoir en passant sous les fenêtres: le 707.

Risqué ? Certes. Surtout si, comble de malchance, la chambre 707 est occupée par un cadavre fraîchement assassiné.

Lui qui voulait jouer les aventuriers, le voilà servi...

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de Josephine Tey

Au milieu des vagues, un tissu vert, des orteils laqués de rouge... Voilà ce qu'on gagne à se baigner à jeun dans l'eau froide, se dit le sergent Potticary en tirant le corps sur la grève. Une syncope. Un accident stupide. Quelle pitié ! Une aussi jolie jeune femme.

Mais comment est-elle venue là ? Il n'y a pas de maison dans les environs. Pas de voiture. Pas de vêtements...

Tiens ! Voici que quelqu'un arrive, justement. Un jeune homme. S'il connaît la morte ? Pardi, il habite chez elle ! Son nom ? Ah ça, il l'ignore...

Est-ce Dieu possible ? Il habite chez elle et il ignore son nom... Répétez-nous ça, jeune homme.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

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Édition originale sous le titre "Le maillot vert": Éd. Librairie des Champs-Élysées (1955)

Réédition: Éd. 10/18 (2014)

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Le chef-d'oeuvre de l'une des reines du crime les plus originales de la littérature anglosaxonne, superbement porté à l'écran par Alfred Hitchcock sous ce titre  "Jeune et innocent"   

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de Josephine Tey

Pour ses vingt et un ans, le sort semble avoir préparé à Simon Ashby un cadeau de trop. Lui qui s'attendait à hériter du domaine laissé par ses parents, voilà qu'on lui annonce le retour de Patrick, son jumeau, dont tout le monde croyait qu'il s'était suicidé.

Seulement, l'imposteur a beau avoir préparé son rôle de longue main, être le sosie presque parfait de Simon, formellement reconnu par la justice comme étant Patrick Ashby, accueilli à bras ouverts par tout la famille, rien ne fera croire à Simon qu'il s'agit de son frère!

Bien sûr, ce serait justice d'arrêter ce jeu et de rendre à Simon ce qui appartient à Simon. Mais la justice a bien d'autres exigences aussi, qu'il n'est pas toujours facile de satisfaire.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

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Édition originale: Éd. Gallimard (1963)

Publié aussi sous le titre "Retour au bercail" : Éd. Mondiales (1979)

de Josephine Tey

Avec son regard franc, son maintien réservé, la fraîcheur de ses seize ans, Betty est l'image même de l'adolescente sympathique, sans défense, pour qui tout homme se sent une fibre de père ou de grand frère.

Pas un jury au monde ne songera à mettre en doute ses effroyables accusations, pas un journal n'hésitera à publier sa photo en première page.

Et pourtant Robert Blair sait qu'il se trouve en face d'une sale petite menteuse. Mais comment le prouver ? Il a tout retourné sans trouver le moindre indice. Il doit pourtant y avoir une faille dans cette cuirasse de mensonges.

Le tout est de la découvrir avant que ne s'ouvre le procès...

Éditions J'AI LU

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Édition originale: Éd. Ditis (1949)

de Nicolas Freeling

Bloomendaal-am-Zee:une si jolie petite plage.

L'inspecteur Van der Valk, du Bureau Central de la Police d'Amsterdam, nous y entraîne à sa suite pour y tenter de démêler les fils d'une intrigue nouée par un soir de violence dans un appartement de la capitale.

Avec lui, le lecteur tisse la toile et inéluctablement avance vers l'effarante vérité...

Éditions PLON

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Réédition sous le titre "À cause des chats": Éd. 10/18 (1986)