Le cheval pâle

de Agatha Christie

Dans un bistrot plutôt sordide de Chelsea, l'écrivain Mark Easterbrook surprend la bagarre de deux jeunes filles - pas des plus distinguées - en train de se crêper le chignon. L'une d'elle « pleine de fric », paraît-il, s'appelle Thomasina Tuckerton.

À quelque temps de là, sous les yeux de Mark Easterbrook tombe un entrefilet: Thomasina Tuckerton est décédée à l'âge de vingt ans.

Un peu après encore, le Père Gorman, qui venait de recueillir la confession d'une vieille dame, se fait assassiner. Dans sa chaussure, on retrouve une liste de noms, parmi lesquels, celui de Tuckerton. Les autres sont, pour la plupart, ceux de personnes mortes de mort « naturelle ».

Cela conduit Mark Easterbrook au "Cheval Pâle" où trois vieilles sorcières s'adonnent au spiritisme et terrorisent leur entourage. Mais ce n'est pas le maléfice qui tue: l'explication est beaucoup plus rationnelle.

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