Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Fiches livres

Bienvenu(e)
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
32 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 3 604 088
20 décembre 2011

De Gaulle, Van Gogh, ma femme et moi

de Jean-Jacques Reboux

Jean-Jacques Reboux - De Gaulle, Van Gogh, ma femme et moi.- Il faut que cette photo fasse le tour du monde, mes amis ! Le monde entier doit savoir que sans Vincent Van Gogh, le général de Gaulle n'aurait été qu'un insignifiant moucheron sur le pare-brise de la Création... Ou pachou pachou paya !

Nous avons levé ce qu'il restait de nos verres à la géniale harangue d'un Philippe Sollex porté par la grâce.

- Ou pachou pachou paya !

C'est à ce moment-là que les loufiats de la Closerie des Lilas, excédés, nous ont foutus dehors, Sollex, sainte Cathy la partouzeuse, l'écrivain dépressif au regard de poisson mort - un dénommé Michel Welbeck -, Chavanel, le petit Grudé et moi, Bernard Maresquier, gaulliste retraité de la chaussure, obsédé par les chevilles des femmes et le souvenir ému de tante Yvonne.

Dans deux jours, Vincent Van Gogh va mourir. Dans quatre mois, Charles de Gaulle va naître. Mais ils vont se rencontrer.

Éditions APRÈS LA LUNE

~~~

Un OVNI littéraire savamment déjanté, où l'on rit beaucoup, à l'instar de "Poste mortem" (Folio policier)
~~~

Publicité
20 décembre 2011

Au bonheur des poules

de Jean-Jacques Reboux

au bonheur des poulesMaman est venue me voir dans l'aire, où je jouais avec les poules. Elle m'a tendu le cartable et m'a dit regarde comme il est beau. Elle pouvait pas tomber plus mal car j'étais en train d'essayer de battre mon record d'endormir les poules, je venais d'en faire trois de rang et à cause d'elle la quatrième s'est échappée en caquetant fort comme quand le coq se pose sur elle en lui pecquant la crête avec son bec et avec son zizi aussi il lui fait des trucs.

Éditions APRÈS LA LUNE

20 décembre 2011

Poste mortem

de Jean-Jacques Reboux

poste mortemQuand Patou-je-sais-tout a lancé à la cantonade : les filles, Mitterrand est mort ! ça a jeté un froid dans le module.
Même la pouffe Lucienne qui en pince pour Le Pen s'est arrêtée de pointer. Et puis Marie-Paule-qui-n'en-loupe-pas-une a ricané que Tonton allait pouvoir se tartiner le bout de gras avec son copain Bousquet. Malgré moi j'ai blêmi.
 
- Mais c'est qu'elle l'aimait, son Tonton, la Simona ! a rugi Patou.
 
- Moi, j'crois qu'elle en pinçait pour Bousquet, a péroré Marie-Paule. Là, j'ai eu la trouille de ma vie.
 
Et puis je me suis raisonnée. Comment cette nunuche de Marie-Paule aurait-elle pu savoir que l'homme que j'avais tué la veille s'appelait Bousquet ? Jean-Paul, pas René. Joli garçon. Intelligent. Un peu trop entreprenant. Mais ce n'est pas pour ça que je l'ai tué. Fêlée mais pas bégueule la Simona. Les hommes, je les aime aussi quand ils sont vivants. Si je l'ai tué, c'est à cause de la Peste. Comme celui d'avant. Et tous ceux qui ont précédé.
 
La saleté de Peste. C'est à cause d'elle que je suis devenue une criminelle. Simone Dubois, 54 ans, célibataire, déteste Mitterrand, les chefs, la plupart de ses collègues chéquardes et la race humaine en générale...
 
Quand la terreur des Chèques Postaux raconte sa vie à sa dernière victime ficelée sur une chaise en la gavant de marijuana, cela donne Poste mortem, un polar complètement brindezingue 100 % PTT, par un auteur qui a longtemps traîne ses guêtres aux Chèques Postaux.
 
Éditions BALEINE
20 décembre 2011

La cerise sur le gâteux

de Jean-Jacques Reboux

la cerise sur le gateauAlvaro Pereira a 26 ans, des copains en or et une petite soeur qui l'adore. Il a aussi la peau noire des habitants du Cap-Vert. 

À la sortie de la Foire du Trône, soudain, une bande de skinheads lui fait face. La suite s'étale dans les journaux. Deux balles dans la tête. Et Yanissa, la petite soeur, qui a disparu.

Pour mener à bien son enquête, le Poulpe n'a que le périph' à traverser. La route de la vérité, elle, sera beaucoup plus longue et douloureuse. Car dans la petite ville tranquille de Charençon-le-Plomb, la vérité, on a du mal à la voir en peinture. Et on préfère la garder pour soi.

Éditions LIBRIO

-

Édition originale: Éd. Baleine (1996) 

20 décembre 2011

Parkinson le glas

de Gabriel Lecouvreur alias Jean-Jacques Reboux

parkinsonEté 2000. Le Poulpe est fatigué. Dix ans de bastons, ça use les nerfs et les méninges. Les vacances seraient bienvenues. Ça tombe bien : Cheryl part à Belle-Ile avec sa copine Odile, la prêtresse du reality-show.
 
Mais à force de chercher chicane à la terre entière, on se fait des ennemis, et on finit par passer à la caisse. L'addition est salée. Un vrai massacre ! Grâce à Raymond, Gabriel s'envole pour Sauzon et redécouvre avec Cheryl la vie, la vraie. Farniente, fruits de mer, Hemingway, fiesta avec les branchés de la télé, concours de calembours avec Bruno Masure.
 
Mais le répit est de courte durée. La côte Sauvage n'a jamais si bien porté son nom. Gabriel retrouve le réflexe octopode, efficacement secondé par l'ami Masure. Les affreux qui rôdent dans les dunes apportent dans leurs bagages un cadeau surprise qui lui vaudra une plongée dans le passé pas piquée des homards.
 
Éditions BALEINE
Publicité
20 décembre 2011

Pourquoi j'ai tué Laetitia Remington

de Jean-Jacques Reboux

pourquoi" Quand vous lirez ces lignes, je serai loin. J'ai décidé de mettre fin à mes jours. Mais je veux mourir en paix avec ma conscience. Je ne partirai pas sans avoir révélé ce qui m'a conduit à prendre cette décision fatale. Ce que j'ai fait est banal : j'ai tué une femme. Dieu sait pourtant si je l'aimais ! Ce n'était pas un crime passionnel. Je l'ai tuée de sang froid, avec préméditation. Elle s'appelait Laetitia. Laetitia Remington. Peu importe que ce soit son vrai nom ou pas : toutes les chouettes nanas sont des Laetitia.

Celle-là était belle comme une icône, on aurait dit qu'elle sortait de la chanson de Gainsbourg. Une fille comme elle n'aurait jamais dû mourir. Elle était faite pour dévorer la vie, Laetitia. Personne ne jugera Williams Rambert. Elle sera vengée par ma propre mort, je ne me déroberai pas. Je vais mourir pour toi, Laetitia. Ce sera ta revanche posthume. "

Entre analphabétisme et rédemption, les rapports ambigus et parfois douloureux d'un écrivain avec ses démons intérieurs...

Éditions DU MASQUE

20 décembre 2011

Méfiez-vous des asperges !

de Jean-Jacques Reboux

mefiez vous des asperges" Méfiez-vous des asperges ! Dans les années 70, c'est par ce curieux conseil que les habitants de Carfallow Summers, comté de Carfallow Valley, Colorado, avaient coutume d'accueillir les étrangers de passage dans leur cité. Quand un voyageur étonné demandait des éclaircissements sur cette étrange formule, il s'entendait invariablement répondre : Mr. Smith n'aimait pas les asperges, et quand on voit où ça l'a mené...

Venait-il à interroger un badaud témoin de la scène, c'était toujours le même refrain. Ah ! ça oui ! Il ne les aimait pas, et elles le lui ont bien rendu, ces fichues asperges... Et ainsi de suite et à l'avenant."

 Éditions du SEUIL

20 décembre 2011

C'est à cause des poules

de Jean-Jacques Reboux

c a cause des poules« Avant de raconter mon histoire j'ai remué sept fois ma langue dans ma bouche comme disait la maîtresse. J'ai hésité parce que ça m'énerve de raconter des histoires. Quand je raconte des histoires personne me croit. Ils disent ton p'tit frère est spécial, il a des drôles d'idées qui lui poussent dans la tête, et pas franc avec ça, il le regarde par en dessous comme s'il avait peur d'être mangé. Tout ça c'est à force de reluquer l'artichaut des poules, si c'est pas malheureux. Ils ont raison. C'est à cause des poules que tout ce malheur est arrivé. C'est ce que je me suis tué à dire aux messieurs en robe noire avec de drôles de cravates blanches en accordéon qui voulaient savoir pourquoi j'avais commis toutes ces horreurs. Mais ils m'ont pas cru. Personne me croit jamais jamais. Saul monsieur Lerouge. Quand je lui ai dit "je sais si c'est l'œuf ou la poule qu'est venu en premier", il a pas ricané comme tous les autres. Il m'a écouté raconter mon histoire jusqu'au bout. »

Éditions FLAMMARION

-

etoile Grand Prix de la Mayenne (2000)

20 décembre 2011

Le massacre des innocents

de Jean-Jacques Reboux

le massacre des innocentsPour accueillir le pape venu en France canoniser un ami de Touvier membre de l'Opus Dei, le groupe l'Antimitre a mis les petits plats dans les grands : oies éviscérées dans les sacristies, alertes à la bombe, hosties traitées au cyanure, églises à l'explosif...
 
Pour mettre fin à l'hécatombe, tout le monde entre en piste: milices paroissiales, DST, RG, Brigade Antiterroriste. Et pendant ce temps, dans l'indifférence générale, un mystérieux tueur qui signe ses crimes avec une oie décapitée égorge en série de pauvres innocents qui n'ont en apparence rien à voir avec ce micmac.
 
Jusqu'au jour où l'archevêque de Paris et le président de la République reçoivent par la poste une oie saignée à blanc. Alors là, fini de plaisanter. La chasse au tueur à l'oie est ouverte.
 
Éditions BALEINE
-
 
etoileTrophée 813 du meilleur roman francophone (1996)
20 décembre 2011

La paradis des pickpockets

de Jean-Jacques Reboux

le paradis des pickpocketAlain Lachenau, bouliste au Centre de Lecture informatique des Titres Optiques de la Poste, rentre dans son pavillon de Villejuif après sa vacation.

Il va retrouver sa petite collection secrète, qu'il n'a jamais montrée à personne. C'est que ce n'est pas commode de parler d'une manie aussi... bizarre. Les gens sont tellement méchants. Qu'importe. Demain sera un grand jour. Demain, il ajoutera une ou deux pièces de choix à sa collection. Et ce sera le bonheur.

Ce qu'il ne sait pas, monsieur Lachenau, c'est que demain, jour de la demi-finale de la Coupe du monde de foot France-Croatie, la folie va déferler sur la ligne 8 du métro, à l'endroit même où notre postier s'est mis en chasse.

Et moi, Sylvain Langevin, amoureux fou de Sherazad la vacataire marocaine, obsédé par les trous noirs et la pataphysique, en butte aux tracasseries des vieilles barbes de l'Académie française, j'ai tout vu. Et si je suis là, c'est qu'on m'a demandé de vous raconter.

Éditions LA BARTAVELLE

~~~

Après Poste mortem et sa " chéquarde " brindezingue Simone Dubois, Jean-Jacques Reboux, ancien postier, créateur de Moulard, le premier feuilleton du IIIe millénaire, nous entraîne une nouvelle fois dans l'imaginaire fou fou fou d'un petit employé de l'administration des Postes livré à ses démons.

~~~


Publicité
Publicité