1 juillet 2013
Et si on tuait Bérénice ?
L'affaire commence comme un jeu. Le pauvre Angelo, las que sa femme entretienne un petit homme au domicile conjugal, se répand dans tout Rome en clamant son infortune.
Et tout le monde, par manière de plaisanterie, lui conseille de trucider l'infidèle. Jour après jour, le pauvre Angelo puise dans le scotch et dans cette perspective de vengeance, un adoucissement à son tourment.
Car la petite idée de meurtre semée, un beau soir, avec légèreté a germé, grandi: elle est devenue obsession.
Mais qui donc, de tous ces amis qui badinaient sur la mort de Bérénice, avait-il intérêt à ce qu'elle disparût ?
Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
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