de Jean Mazarin

Quand Edmond Bertrand-Raynaud, un promoteur immobilier en vue, fait intervenir une de ses relations politiques pour que la P.J. enquête discrètement sur un attentat dont aurait été victime Sylvia, son épouse, Masson, le divisionnaire n'y croit pas trop. Il envoie Lucien Poirel, l'enfant terrible de sa brigade, se rendre compte sur place.

Le policier va découvrir que le promoteur avait été menacé par le comité de défense d'un site sur lequel il veut construire un nouveau village. Le meneur de ce comité, un professeur gauchiste sur les bords, dénonce à son tour les agissements parfois malhonnêtes de Bertrand-Reynaud.

Mais quand Sylvia est réellement assassinée, Poirel va commencer une enquête sinueuse où surgiront des personnages étranges comme Yseult, une jeune fille exaltée qui hait son propre père, et le bras droit du promoteur qui n'est autre que l'amant de son épouse.

Quand on apprendra en outre que 80 millions anciens se sont envolés dans l'affaire, il semblera encore plus urgent de trouver un coupable parmi tous ces gens pour lesquels la mort de Sylvia semble avoir été une délivrance.

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de Jean Mazarin

Un sondage d'opinion, ce n'est pas méchant, surtout quand il s'agit de déterminer les mérites comparés de différentes lessives, et pourtant Jean-Marie Collenot, enquêteur de son état, est retrouvé mort après avoir interviewé certaines personnes habitant une rue tranquille du 14e arrondissement.

Lucien Poirel, l'enfant terrible de la P.J., va se trouver alors confronté non seulement avec des suspects, ce dont il a l'habitude, mais aussi avec les « cow-boys » de la brigade anti-gangs qui, le doigt sur la détente, traquent un dangereux bandit évadé de prison.

Ça va tirailler dru autour de Poirel, qui sera entraîné malgré lui dans des fusillades dignes du Chicago de la grande époque alors que, comme dirait Shakespeare : « Tout ça, finalement, c'est beaucoup de bruit pour rien.»

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de Jean Mazarin

Ancien international de rugby radié à vie par la F.F.R., je suis pourtant pas mauvais cheval. Et puis, faut croûter. Alors j'accepte de servir de garde du corps à Mike Wild Face, le roi du disco "made in France", une idole toujours entourée de groupies nymphomanes. En sorte le job super-cool !

Seulement y a aussi la coulisse avec l'Enveloppé (gros requin artistique), Bois-Rouvert (secrétaire plus que particulier) et Ophélie Von Schellemberg, une ancienne du Crazy Horse qui zeste toujours ses sourires à la cantharide...

Y a aussi Bobby, un pauvre môme "pourri-gâté" qui manie le "six coups" aussi bien que Billy-the Kid.

Alors moi, je dérape, je m'englue et je découvre que ça mène directo sur la mauvaise pente. Dans le chobize, faut jamais être trop curieux...

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de Jean Mazarin

Revoilà Max Bichon, reporter de choc au "SUPER", le plus cragno des magazines hexagonaux. "Scandales en tous genres, crimes, sexe et pronotics dada-loto, mais pas de démagogie..." se plaît à répéter Simon Sadjani, son rédacteur en chef.

Tout un programme, surtout quand un 35 tonnes, anglais de surcroît, disparaît sur les routes du Nord.

Max plonge, et c'est du juteux à l'échelle du Marché commun. Beau linge et grandes idées réunis, et puis du fric, car il en faut toujours une sacrée pincée, pour que la sauce prenne.

Et cette fois, c'est pas du miroton.

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de Jean Mazarin

Mars 83, les élections municipales: l'atmosphère générale est lourde; de plus en plus pesante au fur et à mesure qu'on approche du jour de la consultation.

Sologne: Julien Jendrejeski n'est plus qu'un retraité comme tant d'autres et il élève des pigeons. Mais il y a cet accident de la route...

Alors, les vieux réflexes jouent et c'est le départ pour la dernière mission, celle dont dépendra peut-être le sort du pays tout entier.

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de Jean Mazarin

Ça commence par une fête. Et puis arrive un client avec un drôle de nom et moi, Frankie-Pat Puntacavallo, le Privé au soleil, je plonge. Et puis il y a la vie...

Faut qu'elle continue, Frankie, pour le souvenir !

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de Jean Mazarin

Pour la jeune femme, c'était devenu un engrenage, une machine infernale, une nasse sans issue.

Ils lui posèrent quelques questions, à titre de témoin, puis ils arrivèrent à la considérer comme suspecte. Suspecte de meurtre.

Et lui, Poirel, ce flic "défroqué", est-ce qu'il allait enfin se sortir de cette jalousie maladive pour voler à son secours ?

Ça, c'était une autre histoire...

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de Jean Mazarin

Quel pastis ! Je croyais faire un petit constat d'adultère tranquille, pour un lord anglais, même pas un ministre de chez nous...

Où j'avais mis les pieds ! Aïe, aïe, aïe ! Ça dégringole dur, de partout, même des pays du golfe Persique.

Parole, Humphrey Bogart à côté de moi, un enfant de choeur !

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de Jean Mazarin

"Le feu, par ici, c'est une lèpre... Malgré leurs Canadair, le pays entier y passera..."

Mais alors, qui est fautif ?

L'imprudence, le hasard, les touristes, le mistral, les promoteurs immobiliers, les séparatistes régionaux, les trafiquants de drogue ou un peu de chaque, soigneusement dosé pour que ça explose ?

Et cette fois, il y a des victimes. Reconverti en journaliste, l'ex-commissaire Poirel va chercher une solution. Cette année, les calanques sont vraiment chaudes !

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de Jean Mazarin

"LE SUPER". Un hebdo qui peut se vanter d'aligner trente tiercés gagnants et deux seconds rangs de Loto en moins d'un an !

"Et puis, comme dit Simon Sadjani, son rédacteur en chef, un petit scandale en première page n'a jamais fait de mal à personne et ça plaît toujours au lecteur..."

Moi, Max Bichon, je suis justement chargé d'exhumer les scandales, aussi quand j'ai appris qu'un moine dominicain du couvent des Cabrières s'était peut-être suicidé, je me suis mis sur la piste, comme un chien de chasse.

"Comme une hyène", disent les jaloux. Entre nous, sur cette affaire, j'étais pas près de toucher dans l'ordre.

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