de Richard Stark pseudonyme de Donald Westlake

Une vente de tableaux qui doit rapporter cent soixante mille dollars, ça n'est pas mal. Même s'il faut en déduire des frais professionnels relativement élevés: la réussite d'une affaire dépend du soin apporté à sa réalisation.

Et, Parker et ses associés sont des spécialistes...  du hold-up en tous genres; ils respectent les clauses du marché. Ce qui n'est pas le cas de leur client amateur... d'art, et, quand, de surcroît, la Mafia se pointe pour tirer les marrons du feu, ça commence à barder.

Éditions GALLIMARD

de Richard Stark

Un truc délirant, cette "Île Enchantée". Et quelle planque idéale qu'un parc d'attractions fermé pour l'hiver !

Malheureusement, Parker s'est fait repérer par deux flics pas catholiques qui, aidés d'une bande de truands du cru, sont bien décidés à s'approprier sa précieuse serviette.

Mais Parker est encore plus décidé à défendre son bien - mal acquis comme d'habitude - et à profiter le plus longtemps possible de l'existence.

Éditions GALLIMARD

de Richard Stark pseudonyme de Donald Westlake

Pour dix-huit mille dollars, le Dr. Adler avait fait du bon boulot: Parker quittait sa clinique avec une gueule toute neuve, une gueule que les tueurs du syndicat de New York ne risquaient pas de reconnaître.

Seulement toutes ses économies y étaient passées et il devait se renflouer au plus vite. L'attaque de la camionnette blindée, ça ne lui disait pas grand-chose. Trop de risques, trop de types dans la combine. Et puis travailler avec un foie-blanc et sa rombière, c'est toujours dangereux.

Mais faute de grives...

Éditions GALLIMARD

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Réédition sous le titre "Parker fait peau neuve": Éd. Gallimard (1974)

de Richard Stark  pseudonyme de Donald Westlake

Sept hommes ont organisé le braquage d'un stade un jour de championnat...  Une technique parfaite et une recette appréciable (cent trente-quatre mille dollars) à diviser en sept parts...

Sauf qu'un inconnu s'est introduit chez Parker, a tué sa petite amie et s'est emparé de l'argent...  Soupçons parmi les sept: l'un d'entre eux a-t-il voulu faire cavalier seul ?  Ou l'agresseur vient-il de l'extérieur ? ...

Parker et ses complices décident de traquer l'assassin, en oubliant peut-être que la police de son côté, va chercher à retrouver les braqueurs du stade...

Éditions RIVAGES

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Publié pour la première fois dans la Série Noire en 1966 sous le titre "Le septième homme", ce livre à la trame originale est, comme toujours chez  Stark, alias Westlake,  plein d'une grande intensité dramatique. Sa lecture (ou relecture) est un vrai plaisir.

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de Richard Stark  pseudonyme de Donald Westlake

L'Organisation gagne chaque année des milliards. Elle a la haute main sur la prostitution, la drogue, les loteries, les courses, le jeu et l'alcool. Ses caïds sont de vrais hommes d'affaires et ses employés sont affiliés à la Sécurité Sociale.

Elle a oublié les années 30  et s'endort dans sa prospérité... et sa routine.

Il suffit désormais qu'un coriace s'acharne à faire cavalier seul pour qu'elle passe la monnaie qu'elle a de trop. C'est ce qu'imaginait notre téméraire ami Parker. Et le plus fort est qu'il avait raison !

Éditions GALLIMARD

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Réédition sous le titre "Parker part en croisade": Éd. Gallimard (1974)

de Richard Stark  pseudonyme de Donald Westlake

Parker avait bien hésité à prendre un amateur dans son équipe. Mais c'était Devers qui avait apporté l'affaire: un braquage délicat mais faisable à la base aérienne. Et il semblait avoir des dispositions, l'aviateur: froid, intelligent.

Marié, aussi, à une poupée qui batifolait deux fois la semaine sur le divan de son psychanalyste. Un type charmant, bourré de dettes, qui la cuisinait habilement et commençait à entrevoir la solution de tous ses problèmes... à lui !

Éditions GALLIMARD

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Réédition sous le titre "Parker reprend son vol": Éd. Gallimard (1974)

de Richard Stark pseudonyme de Donald Westlake

Parker vient de tuer un homme. S'il ne l'avait pas fait, c'est cet homme qui l'aurait éliminé. Parker n'a pas le temps de se débarrasser du cadavre: son associé Frank lui donne rendez-vous dans un motel de Lake Placid pour y rencontrer deux spécialistes: Ralph Wiss, un artiste des serrures, et Larry Loyd, un as de l'informatique...

Leur cible:un superbe relais de chasse du Montana, propriété d'un milliardaire de la net-économie...  Ce dernier, grand amateur d'art, possède une collection de tableaux d'une nature un peu particulière, car il ne s'agit que d'oeuvres volées.

Et, pour voler un voleur, il va falloir faire preuve de beaucoup d'ingéniosité...

Éditions RIVAGES/THRILLER

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Dans la peau de Richard Stark, Donald Westlake est efficace et son récit dépouillé. Le scénario, très habile, rend hommage avec élégance et malice au grand roman d'action.    

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« Les aventures de Parker font partie du petit nombre de livres que je lis et relis.»  Lawrence Block

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de Richard Stark  pseudonyme de Donald Westlake

Un braquage délicat et compliqué, combiné avec astuce par l'ami Parker et exécuté en beauté...

Et voilà qu'un à un les collègues de Parker sont tués, après avoir été torturés, et que la petite amie de Parker, Claire, séquestrée par deux dingues, manque devenir complètement dingue à son tour...  Pourquoi ? ... Qui ? ...

Parker ne pourra-t-il donc jamais jouir en paix du fruit de son labeur ?

Éditions GALLIMARD

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Réédition sous le titre" Parker sonne l'hallali": Éd. Gallimard (1974)

de Richard Stark pseudonyme de Donald Westlake 

Les régions où le jeu est autorisé dans l'État de New York étant limitées, c'est sur le fleuve qu'apparaissent les nouveaux casinos, sous forme de bateaux...

Mais Parker n'aime pas les bateaux, car ils ne possèdent qu'une seule entrée et une seule sortie. « Je n'aime pas les cellules », dit-il  « et un bateau sur l'eau est une cellule, on ne peut pas se lever pour partir quand on veut ». Pourtant, il va accepter de dévaliser un casino flottant, même si l'affaire lui paraît étrange à bien des points de vue, à commencer par son commanditaire, un agent de l'état qui n'a pas l'air particulièrement cupide...

Le coup semble avoir réussi, sauf qu'après un hold-up sur l'eau, il faut regagner la terre ferme et que là, dans l'ombre, des ennuis imprévus attendent Parker et ses complices...

Éditions RIVAGES/THRILLER

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Le créateur de "Dortmunder" révèle une autre facette de son talent dans ce vrai roman noir au rythme et à l'efficacité redoutables.

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de Richard Stark  pseudonyme de Donald Westlake

À 2h40 du matin, dans une petite ville du Middle West, Parker balance un cocktail Molotov dans la vitrine d'une épicerie... Pendant la diversion provoquée par l'incendie, il rejoint ses complices qui en ont profité pour dévaliser la banque locale.

C'est alors que ses nouveaux "associés" lui apprennent que l'argent du hold-up doit servir à financer un "gros coup" à Palm Beach, auquel il est invité à participer.

Mais Parker n'aime pas qu'on lui force la main et il refuse. Ce qui lui vaudra de ne pas toucher sa part du butin.  En ce cas, il aurait mieux valu le tuer, car il n'a pas l'habitude de se laisser flouer.  Muni de faux papiers et fort d'un compte en banque bien garni, il prend la direction de Palm Beach, décidé à détourner à son avantage le produit du fameux "gros coup" ... 

Seul grain de sable: il n'avait pas prévu de tomber sur un homme vraiment stupide et vraiment méchant, qui connaît sa véritable identité et souhaite sa mort...

Éditions RIVAGES/THRILLER

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"Comeback", "Backflash", "Flashfire" ...  Sous le pseudo de Richard Stark, Donald Westlake égrène une complainte criminelle violente, efficace et ironique, sans cesse renouvelée autour du thème du "gros coup" ...  Peu d'auteurs parviennent aujourd'hui à un résultat aussi efficace avec une telle économie de moyens.   

Comme le dit Lawrence Block « les romans de la série Parker sont ramassés, sans fioritures, tranchants et totalement convaincants. »

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