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8 février 2013

Le Général et les otages

de Pierre Nemours

le general et les otages

<< Ladies and Gentlemen. C'est votre pilote, le commandant Ramsa Singh, qui vous parle. Nous sommes sous le contrôle d'un commando du Front de Libération du Cachemire. Nous ne nous poserons pas à Delhi, comme prévu, mais à Jammu. le vous demande de conserver tout votre calme. >>

Le premier moment de stupeur et d'angoisse passé, les passagers du Boeing 727 d'Air India se jetèrent sur les cartes mises à leur disposition par la Compagnie. II s'agissait de trouver Jammu, une ville de la montagne, tout au nord, sur la frontière pakistanaise.

Pour les voyageurs, une fantastique aventure commençait. Mais pour Jacques Rivière, l'assistant du général Lemoine, et pour sa jolie voisine, tout était remis en question.

Éditions FLEUVE NOIR

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8 février 2013

Le Général et les tueurs de Kali

de Pierre Nemours

le general et les tueurs de kali

Dans la petite pièce de la Mission où ils attendaient, la tension était devenue intolérable. L'évêque et le général Frédéric Lemoine ne percevaient, dans la touffeur nocturne, que la rumeur lointaine de Calcutta. Lorsque retentit enfin la clochette de la porte d'entrée, Soeur Angelica se leva en disant : "La voici ".

Elle ouvrit la porte sur la nuit claire. Catherine Krishna était appuyée contre le battant. Lorsqu'il céda, elle s'affaissa lentement.

Son visage était violacé, boursouflé, ses yeux exorbités, sa langue jaillissait de la bouche, effrayante et obscène. Profondément enfoncé dans la chair de son cou, le foulard de soie jaune des Thugs, les anciens sectateurs de Kali, déesse de la destruction et de l'anéantissement.

Éditions FLEUVE NOIR

8 février 2013

Le Général et les squatters de l'Équateur

de Pierre Nemours

le general et les squatters de l'equateur

Tapis dans les hautes herbes, à l'orée de la grande forêt ombrophile, Jacques Rivière, Ingrid Thorvaldsen et leurs compagnons ne se faisaient guère d'illusions. Au cours de la nuit, les soldats verts allaient les envelopper, et ils attaqueraient à l'aube.

Leur seul espoir tenait dans la liaison ténue qu'ils pouvaient établir avec un petit avion, le Piper Cherokee. L'avion, c'était "Papillon". Le petit groupe au sol, isolé dans la brousse, c'était "Scarabée".

Et "Papillon" finit par annoncer : « Attention, "Scarabée". Intervention cette nuit ! »

Éditions FLEUVE NOIR

8 février 2013

Le Général et les pêcheurs d'Islande

de Pierre Nemours

le general et les pecheurs d'islande

Un vent polaire prenait le fjord en enfilade, transportant à grands coups de boutoir des paquets de pluie glacée. 

À la sortie d'un virage, sur le route étroite, sinueuse, luisante de pluie le général Frédéric Lemoine découvrit l'île, tel un pan de montagne immergé entre deux rives. La pêcherie se trouvait sur la rive occidentale.

Un grand chalutier était amarré à la jetée, qu'il reconnut d'un coup d'oeil : "Igor Krakov" l'un des deux navires espions soviétiques qui se relayaient pour localiser le "Foudroyant"...

Éditions FLEUVE NOIR

8 février 2013

Le Général et les doubles croches

de Pierre Nemours

le general et les doubles croches

"Tout est dans K 138", lui avait dit Ivan Poruks avant de mourir. Mais le second violon de l'orchestre de chambre de Leningrad savait-il lui-même ce qu'il apportait, à Salzbourg, au représentant du Service, et savait-II sous quelle forme le message se présentait ?

Attaché à une tuyauterie, dans la chaufferie du chalet Elsesheim, dans les alpages du Salzkammergut, Jacques Rivière se posait avec angoisse la question de savoir si Sonia Abramova, qui jouait la même partie que Poruks, n'allait pas livrer la phrase clef à l'équipe de la C.I.A. entre les mains de laquelle elle était tombée.

Sortir de là, en sortir à tout prix, décidait l'assistant du général Frédéric Lemoine. Mais n'était-ce pas tomber dans un piège du K.G.B. puisque, pour la première fois dans l'histoire de ses missions, les ennemis de la guerre froide se retrouvaient alliés pour se partager le monde des fournisseurs d'armes ?...

Éditions FLEUVE NOIR

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8 février 2013

Le Général et les dauphins

de Pierre Nemours

le general et les dauphins

Après trois semaines d'une épuisante bataille à travers l'Atlantique, Jean-Yves Le Courouzic, à la barre de son " Lagat'du " contemplait sa récompense : les collines émeraude de la petite île française de Saint-Barthélémy , posée sur le socle saphir de la mer des Antilles.

C'était un adorable matin de printemps sous les tropiques. On était le 1er mai. Une fine goélette croisalt au large de " Saint-Barth " et les dauphins se livraient, au ras de l'eau, à d'innombrables cabrioles. Et puis, ils disparurent. Le navigateur solitaire reporta son regard sur l'eau, d'une incroyable limpidité. On y découvrait le monde enchanté d'admirables paysages sous-marins.

Et soudain, Jean-Yves Le Courouzic contempla un spectacle ahurissant. Vingt mètres au-dessous de la quille du  "Lagét'du", un engin étrange, mi-torpille, mi-sous-marin de poche, fonçait droit sur la côte. Et les dauphhins l'escortaient...

Éditions FLEUVE NOIR

7 février 2013

Le Général dans le cyclone

de Pierre Nemours

le general dans le cyclone

Cramponné au volant, Jacques Rivière maintenait tant bien que mal la voiture sur la route balayée par un vent de force dix. En français, en créole, en anglais, la radio mauricienne répétait inlassablement les consignes de l'alerte cyclonique N. 3.

_ C'est là, dit Jawat Jahor, le Tamoul. La villa Miller doit être la première sur la droite. L'ancien mercenaire y gardait trois prisonniers. Hanté par le souvenir du cadavre d'Ivana Stanko, Rivière se demanda s'il arriverait à temps.

Éditions FLEUVE NOIR

7 février 2013

Le Général dans l'enfer vert

de Pierre Nemours

le general dans l'enfer vert

Pour Julien Grandcourt, l'ingénieur électronicien, la remontée nocturne en compagnie de Lil Wang, la merveilleuse Eurasienne, d'un "igarapé" amazonien, constituait la page la plus romantique de sa vie.

C'est aussi la dernière. Lorsque la lame effilée du Chinois lui trancha la gorge, il ne poussa pas un cri. Son corps bascula, avec un jaillissement sanglant, dans l'eau noire. Pour les piranhas, c'était l'appel au répugnant festin.

II y eut durant quelques minutes, un bouillonnement horrible, et puis plus rien.

Le bateau fit demi-tour. Lil Wang regagna sa cabine. Sur 16 kilomètres de large, au débouché de "l'igarapé", l'Amazone roulait vers la mer ses eaux éternelles.

Éditions FLEUVE NOIR

7 février 2013

Le Général contre les Brigades Rouges

de Pierre Nemours

le general contre les brigades rouges

Dans le vestibule humide, donnant sur les eaux obscures du rio, à deux pas du Grand Canal et du pont du Rialto, le commandant Rivière découvrit le cadavre du comte Guzzoni, affreusement mutilé par la balle qui l'avait atteint en plein visage.

II comprit alors pourquoi Maria Pia, la petite prostituée de Venise, avait livré sans réticence le repaire des Palestiniens et de leurs alliés des Brigades Rouges. La tanière était vide. Les terroristes s'étaient enfuis, avec leur otage.

Il connut l'amertume de l'homme qui arrive trop tard.

Éditions FLEUVE NOIR

7 février 2013

Le Général contre le samouraï

de Pierre Nemours

le general contre le samourai

De la passerelle du "Lorrain", le pacha héla lui-même la goélette. Dans l'intense lumière tropicale, le gracieux petit bâtiment s'abandonnait à la longue houle du Pacifique.

Mais ce silence n'était pas naturel. Lorsque le général Lemoine et le capitaine Rivière prirent pied sur le pont du « Fiaté Avé », ils en découvrirent la raison. Trois cadavres étaient étendus, baignant dans une mare de sang. Saisi d'un obscur pressentiment, Rivière dégringola l'échelle, déboucha dans la cabine.

II ne vit pas, pourtant, ce qu'il redoutait tant. La cabine était vide. Pour la seconde fois en quarante-huit heures, " Poisson d'Avril " avait disparu…

Éditions FLEUVE NOIR

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