de Jean Laborde

Olivia, c'est mon ennemie préférée... Espionne comme moi, elle est tendre et cruelle, exquise ou sadique, selon les heures.

Liège, Paris, Washington, San Francisco, Hong-Kong, la Chine, New York, Détroit-Washington terminus, c'est le périple grande banlieue que j'accomplis cette fois avec cette créature calme.

Des petits groupes chinois cherchent à prendre pied sur le continent américain. Préparent-ils l'invasion et la guerre des « campagnes contre les villes » prédite par un maréchal de la Chine communiste ?

En tout cas, il m'arrive un certain nombre de bricoles dont la moindre est d'être accusé d'avoir assassiné un Chinois devant cinquante millions de témoins.

Pour me consoler, j'ai la divine, la tendre, la merveilleuse Olivia. Réussira-t-elle une fois de plus à être la seule gagnante de l'aventure ?

Éditions PLON

de Jean Laborde

Olivia, c'est mon ennemie préférée... Espionne comme moi. Elle est tendre et cruelle, exquise ou sadique,
selon les heures.

Pour qui travaille-t-elle ? J'aimerais le savoir,

À Berlin, c'était pour un groupe qui cherchait à déclencher une guerre mondiale en mettant aux prises Russes et Américains.

À Paris, l'an dernier, c'était pour un clan extrême-oriental qui voulait pulvériser quelques capitales.

Et aujourd'hui ? A-t-elle pris part à ce coup extraordinaire, l'enlèvement des "boss" des Services Secrets alliés ? Quels sont ses rapports avec cet espion d'une stature démesurée, qui ne travaille apparemment que pour lui-même et que ceux qui soupçonnent son existence ont surnommé "le Génie"?

Éditions PLON

de Jean Laborde

Connaissez-vous Olivia ? Non ? Alors vous ne savez pas ce que vous perdez. Croyez-moi, je suis un amateur distingué :
cela vaut la peine de la suivre, prudemment, mais d'aussi près que possible.

On ne s'ennuie jamais, même si l'on risque des ennuis et de très gros. C'est une espionne. L'espionnage est aussi mon métier.

Elle est tendre, cruelle, exquise ou sadique, suivant les heures. Bref, c'est mon ennemie préférée....

Je la soupçonne de travailler pour des gens variés qui n'ont qu'une chose en commun : de vouloir la guerre. Nous ne serions donc pas dans le même camp. Olivia et moi ? je serai le premier à le regretter.

Ici, nous nous rencontrons à Berlin...

Éditions PLON

de Jean Laborde

Connaissez-vous Olivia ? Non ? Alors vous ne savez pas ce que vous perdez. Croyez-moi ! Je suis un amateur distingué cela vaut la peine de la suivre, prudemment, mais d'aussi près que possible. On ne s'ennuie jamais, même si l'on risque des ennuis et de très gros.

C'est une espionne. L'espionnage est aussi mon métier.

Elle est tendre, cruelle, exquise ou sadique, suivant les heures. Bref, c'est mon ennemie préférée... Je la soupçonne de travailler pour des gens variés qui n'ont qu'une chose en commun de vouloir la guerre.

Nous ne serions donc pas dans le même camp, Olivia et moi ? je serais le premier à le regretter.

Ici nous nous rencontrons à Berlin...

Èditions PLON

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Adaptation au cinéma sous le titre "Le Tigre sort sans sa mère" avec Roger Hanin (1967)

de Jean Laborde

Pierre Lacaze, « soldat perdu » au plus haut degré, époux divorcé d'une femme frivole, s'est retiré après les événements des années 60 dans son domaine des Landes.

Lorsqu'il apprend que son fils, qui lui a emprunté un soir de bordée sa voiture, est sous le coup d'une inculpation de viol et de meurtre, il n'hésite pas : il se laisse accuser à sa place. Après tout, quelle est sa part dans « l'héritage de violence » dont les générations actuelles portent le poids malgré leur apparent pacifisme ?

II faudra toute l'astuce et tout l'amour de Colette Ribert, juge d'instruction commis au dossier, pour tirer l'affaire au clair. Entre le mutisme du père et les fanfaronnades du fils, ce ne sera guère facile.

Mais « si profond qu'on enterre la vérité, elle finit toujours par éclater ».

Éditions FLAMMARION

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Prix Maison de la Presse (1970)

de Jean Laborde

Pierre Montaud, accusé d'avoit tué, par jalousie, un amant de sa maîtresse, est acquitté au bénéfice du doute, mais la ville entière le pense coupable : sa femme, son meilleur ami, et bien entendu le corps des magistrats auquel il appartient.

Pourtant, il se sait innocent et il entend le prouver.

Éditions PLON

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Adapté au cinéma sous le titre "La seconde vérité" par Christian-Jaque (1966)

de Jean Laborde

Une femme qui a tué son mari dirige les soupçons sur une innocente. Avec le concours de l'homme qu'elle aime, un cèlèbre avocat d'Assises, elle conçoit et fait naître une terrible erreur judiciaire.

Le plus honnête des juges d'instruction, le plus scurpuleux des défenseurs ne sauront pas lutter contre cette conspiration.

Éditions PLON

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Adapté au cinéma sous titre du roman éponyme par Christian-Jaque, avec Pierre Brasseur, Marina Vlady, André Bourvil

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Jean Laborde, chroniqueur judiciaire de France-Soir, habite depuis quinze ans ces chambres closes de la Justice où se retrouvent deux familles éternellement dressées l'une contre l'autre, celle des coupables et celle des juges. Sans doute cette longue expérience lui a-t-elle permis de comprendre qu'il n'y a guère de bonnes causes.

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de Jean Laborde

Tortures, excès, sévices, brutalités policières, le mal s'étend comme une lèpre à travers le monde. Dans certains pays il fait partie du système politique lui-même. "Les Assassins de l'ordre", livre paru en 1955, sont donc sur ce point une oeuvre douloureusement prophétique.

Que se passe-t-il en France lorsqu'un jeune juge d'instruction décide de faire la vérité à propos de la mort d'un « témoin » décédé brusquement dans un commissariat ? Lui accorde-t-on tous les concours, toutes les facilités, rencontre-t-il autour de lui un accord unanime ? Ou bien s'ingénie-t-on à multiplier devant lui les barrières à grand renfort de mensonges, faux témoignages, pressions « affectueuses » ou pressantes ?

Devra-t-il mettre en, jeu sa carrière, uniquement parce qu'il entend faire son métier envers et contre tous ?

Le roman document de Jean Laborde est le récit de cette aventure où un magistrat, refusant le chemin de la lâcheté, va jusqu'au bout de la tâche qu'il s'est fixée : découvrir le secret d'un drame qui n'est peut-être qu'un meurtre commis par des « assassins de l'ordre ».

Éditions POCKET

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Édition originale: Éd. Plon (1955)

Réédition: Éd. Plon (1968)

Adaptation au cinéma sous le titre éponyme par Jean Carné (1971)

1918 - 2007

Biographie

Jean Laborde est né en 1918 à Lyon. Après des études de Droit, il devient chroniqueur judiciaire à "France-Soir" où il couvre tous les grands procès de l'après-guerre tels que celui de Marie Besnard ou de Gaston Dominici. De 1964 à 1978, il travaille pour "L'Aurore".

Parallèlement à sa carrière de journaliste, il écrit des romans policiers ou d'espionnage, d’abord sous son patronyme (dont les 4 romans de la série Olivia, espionne) puis sous les pseudonymes de Jean Delion et de Raf Vallet. Il signe ainsi Jean Delion cinq récits policiers humoristiques publiés aux Éditions Gallimard dans la Collection Série Noire entre 1966 et 1968. Sous le pseudonyme de Raf Vallet, il inaugure notamment la collection Super Noire  en 1974 avec le roman Adieu poulet !, qui remporte le "Prix Mystère de la critique" l’année suivante.

Certains de ses romans, tels Pouce ! (signé Jean Delion) sous le titre "Le Pacha", Mort d'un pourri (signé Raf Vallet) ou Adieu Poulet !(Raf Vallet), sont adaptés au cinéma. Il participe aussi à l'écriture de dialogues et de scénarios pour le Cinéma et la Télévision, travaillant notamment sur le film "Peur sur la ville" d'Henri Verneuil.

Jean Laborde est entre autres l'auteur de Les Assassins de l'ordre, qui traite du mauvais rôle du Parquet dans la Justice, livre dont a été tiré un film réalisé par Marcel Carné, avec Jacques Brel, Didier Haudepin dans les rôles principaux.

Il décède en 2007 à Biarritz.

(Sources: Wikipedia /histoire-du-polar. / un peu plus sur le travail de l'auteur : gallimard.fr )

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Résumés

1. Les assassins de l'Ordre (Éd. Pocket -1971)
2. Les bonnes causes (Éd. Plon - 1960)
3. L'héritage de violence (Éd. Flammarion - 1969)
4. Un homme à part entière (Éd. Plon - 1961)

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Autres titres

• Amour, que de crimes...
• Heureux, les corrompus
• La loterie aux filles
• Le démon tirait sa langue
• Le moindre mal
• Le palais du rire
• Le plaisir des puissants
• Le voyage en Sibérie
• Les coeurs vides
• Les grandes chaleurs
• Les loups derrière le traîneau
• L'embûche
• Un matin d'été à Lurs (Affaire Dominici)

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Série Olivia, espionne

1. Caline Olivia (Éd. Plon - 1964)
2. Le froid qui venait de l'espionne (Éd. Plon - 1966)
3. Olivia à gogo (Éd. Plon - 1965)
4. Olivia et les 4 boss (Éd. Plon - 1965)

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Sous le pseudonyme de Jean Delion

1. Chérie froide (Éd. Gallimard - 1967)
2. Les espions ont soif (Éd. Gallimard - 1968)
3. Pouce ! (Éd. Gallimard - 1967)
4. Quand me tues-tu ? (Éd. Gallimard - 1966)
5. Quand s'allongent les nababs (Éd. Gallimard - 1966)

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Sous le pseudonyme de Raf Vallet

1. Adieu poulet ! (Éd. Gallimard - 1974)
2. Aux armes, mégalos ! (Éd. Gallimard - 1982)
3. Darling Dollar (Éd. Gallimard - 1982)
4. Mort d'un pourri (Éd. Gallimard - 1973)
5. Saccage à Cannes (Éd. Gallimard - 1982)
6. Salut les coquins ! (Éd. Gallimard - 1984)
7. Sa Majesté le Flic (Éd. Gallimard - 1976)
8. Squelette pour Madame (Éd. Beaulieu - 1975)

Bonne lecture

Sur la presqu'île de Tahiti, la fin de la route est le début de tous les possibles. Chacun vient y chercher l'aventure.

Pour les plus téméraires, elle porte le nom de Teahupo'o, la plus belle vague du monde. La plus dangereuse aussi. Hiro est le surfeur légendaire de La Vague. Après sept ans d'absence, sa soeur Moea retrouve leur vallée luxuriante. Et Birdy, un ancien champion de surf brisé par le récif.

Arrive Taj, un Hawaïen sous ice, qui pense que tout lui appartient. Mais on ne touche pas impunément au paradis. Bienvenue en enfer. Ici c'est Teahupo'o, le mur de crânes.