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17 novembre 2009

Fatale erreur

de John Boland

fatale_erreurMalgré les railleries de son collègue, Nick Henderson, et les fortes présomptions pesant sur Gregory Moore, Kay Lesley, jeune enquêteuse débutante, persistait à le croire innocent.

Cette obstination l'entraîna sur une piste dangereuse qui faillit lui coûter la plus horrible des morts, mais fit triompher la vérité et sauva un innocent.

Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

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17 novembre 2009

Braquez, Messieurs !

de John Boland

braquez_messieursUn homme du monde peut tout se permettre. C'est une question de savoir-vivre. Qu'importe le geste, s'il est fait avec grâce.

Et l'on peut braquer avec grâce un calibre dans le buffet de son prochain, quand on est gentleman.

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

-

Édition originale: Éd. Plon (1963)

17 novembre 2009

John BOLAND

1913 - 1976

Biographie

John Bertram Boland est né en 1913 à Birmingham. On lui prête un parcours professionnel assez éclectique: employé de bureau, ouvrier agricole, déménageur, employé des Chemins de Fer, parmi d'autres...On le retrouve écrivain, début des années 50 avec un premier roman policier "White august" publié en 1955, mais c'est en 1958 avec "The league of gentlemen" (Braquez, Messieurs !)qu'il remporte un premier grand succès, le livre est adapté rapidement au cinéma par l'auteur lui-même en collaboration avec Brian Forbes (ou le contraire ?). Le film, sorti sur les écrans en 1960, est couronné par de nombreux prix, dont celui de "L'interprétation collective" à San Sebastian (parmi les acteurs, Jack Hawkins, Richard Attenborough et quelques autres devenus célèbres); le scénario, quant à lui reçoit le "British Academy Film and Television Art's" (BAFTA). En version française, le film apparaît sous le titre "Hold-up à Londres", la date de sortie serait aussi 1960 (?).

Fort de ce succès, John Boland écrit deux autres romans dans cette désormais célèbre série, "The gentlemen reform"(Noblesse par effraction) en 1961, et "The gentlemen at large" en 1962, lauréat d'un "Award for suspense fiction" aux U.S.A (?). Installé dans le Sussex, en bordure de la forêt de Ashdown, il se consacre alors à l'écriture de quelques trente romans policiers jusqu'en 1972 (il décède en 1976 en Californie), mais aussi des nouvelles et quelques pièces de théâtre co-écrites avec Philip King dont "Murder in company", encore jouée aujourd'hui (mais nulle trace d'adaptation française ?!).

En France, il semble qu'il ait été peu traduit... Seuls quelques titres ont été retrouvés sur bibliopoche. , nous vous en livrons les résumés... et comptons sur les connaissances de tous pour compléter cette bibliographie en français.

(Sources: Wikipedia / fantasticfiction. / classiccrimefiction. )

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Résumés

  1. Braquez, Messieurs ! (Éd. Presses de la Cité - 1973)
  2. Fatale erreur (Éd. Le Masque - 1964)
  3. Noblesse par effraction (Éd. Presses de la Cité - 1974)
  4. Panique à l'hôtel (Éd. Presses Internationales - 1962)

 Bonne lecture

17 novembre 2009

Le fruit du doute

de Alain Bron

le_fruit_du_doutePar un matin d'été, le commissaire Berthier est appelé pour enquêter sur la mort d'une fillette étranglée au bois de Vincennes. Acte d'un prédateur ou amour malade ?

Le même jour, il trouve un carton dans la hall de son immeuble. Dans le carton, un bébé abandonné. Enfant sacrifié ou acte d'amour?

Deux enquêtes sur le fil. Celle du meurtre, affaire officielle et médiatisée. Celle de l'abandon, affaire personnelle et clandestine. Berthier pourrait se contenter des apparences, d'autant que tout désigne un coupable. Il pourrait par ailleurs renoncer à l'énigme du bébé, d'autant que les pressions s'accumulent sur sa vie de flic et sa vie conjugale.

Mais voilà...

Éditions ODIN

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Alain Bron interroge le désir d'enfant avec un regard qui épingle la société bien droit, mais avec humour et tendresse. Il pourrait juger et faire la morale. Il pourrait se complaire dans la noirceur du monde.  Mais voilà... 

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16 novembre 2009

Brigade Anti-gangs

de Auguste Le Breton

brigade_anti_gang<< Que Messieurs Papon, préfet de Police, Louis Amade, Préfet, Fernet, directeur de la Police Judiciaire, ainsi que le commissaire principale Le Mouel chef du S.R.I. et ses groupes d'inspecteurs trouvent ici mes remerciements pour l'aide qu'ils m'ont apportée. Sans eux je n'aurais pu écrire ce livre. Et si parfois l'argot éclate sous ma plume c'est pour marquer ma sympathie au commissaire principal Le Mouel qui, je m'en suis aperçu, est aussi féru de langue verte que ses hommes chez qui trône en bonne place le "Petit Simonin Illustré", dictionnaire de l'auteur du fameux "Touchez pas au Grisbi". >> (A. le B.)

Éditions PLON

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16 novembre 2009

Le tueur à la lune

de Auguste Le Breton

le_tueur_a_la_luneLe mois suivant, à la Nouvelle Lune, Thierry de Beuville... alors qu'il agressait une fille brune rue de l'Abreuvoir... à l'une des adresses indiquées par le carnet...

Éditions PLON

16 novembre 2009

Le clan des Siciliens

de Auguste Le Breton

le_clan_des_siciliensRoger Saret, dit Mouche de Mai, dit le Petit Gros du Vendredi, apparut menotté, encadré par deux gardes républicains. 

Tout juste si les treize mois de ratière l'avaient marqué. Un peu plus de bedaine peut-être! Mais en prison, avec l'air confiné, le manque d'action... Plus que jamais il méritait son surnom de Petit gros du vendredi. 

Un agaçant sourire était accroché à ses lèvres que la détention avait rougies, et derrière les prunelles faussement indifférentes stagnait la vigilance.

Éditions PLON

16 novembre 2009

Les pégriots

de Auguste Le Breton

les_pegriotsEn 1934, alors que la République chancelait dans le scandale Stavisky, Georges Simenon, qui suivait « l'Affaire » en reporter, catapulta à la « une » des journaux un petit homme qui l'avait fasciné et qu'il baptisa Jo la Terreur. Le petit homme était redoutable: il détenait les talons de chèques de Stavisky, de quoi damner le Régime.

Mais Jo était bien autre chose. À trente-huit ans, il était déjà le dernier survivant d'une époque héroïque, celle des Grands Truands de la Pègre, bien avant AI Capone, Chicago et la Mafia. Ces Pègriots étaient des chevaliers du crime, non des industriels comme leurs successeurs. Leur capitale mondiale était Paris; leurs femmes, des Casque d'Or, croqueuses de diams et de princes.

À dix-huit ans, Jo s'imposa parmi eux. À elle seule, son équipée sauvage serait un livre.

Mais surtout, en le retrouvant, c'est toute la geste romantique de cette époque de géants qu'a pu retracer Auguste Le breton.

Éditions LE LIVRE DE POCHE

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Édition originale: Éd. Robert Laffont (1973)

16 novembre 2009

Chambre forte

de Auguste Le Breton

chambre_forteQuand on sort du gnouf à près de cinquante balais, on a beau être l'un des meilleurs spécialistes en coffres-forts, le superbe coup à trois milliards, le dernier avant la retraite, c'est vraiment un gros morceau.

Difficile de le faire en solitaire. Faut de la logistique... Ce qui est assez toc, c'est d'aller chercher de l'aide chez un truand que les Anti-gangs ont dans le collimateur...

Mais comment Xav aurait-il pu se douter ?

À croire que Bontemps et son équipe, ces briseurs de rêve, n'aiment pas les artistes...

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

16 novembre 2009

Bontemps et les loubards

de Auguste Le Breton

bontemps_et_les_roublardsUn, deux, puis dix loubards se retournèrent. Il furent bientôt cent à former une barrière mouvante, sale, hirsute, entre le couple et les Anti-gangs.

Et toujours, déferlant des amplis géants, cette musique violente, assourdissante, qui gonflait la violence des rockers.

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

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