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21 décembre 2008

L'arracheur de visages

de Michael Prescott

l_arracheur_de_visages

Qu'arrive-t-il d'innommable aux femmes qui disparaissent la nuit dans un désert de l'Arizona ?

Quel est le bourreau, sanguinaire et sadique, qui se livre sur elles à un rite monstrueux ?

Kaylie McMillan, nouvelle victime désignée, va-t-elle, terrifiée, échapper à ses griffes ou subir le sort atroce de celles qui l'ont précédée ?

Éditions PYGMALION

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Michael Prescott, tout au long d'une implacable traque, au rythme et à l'intensité aux limites du soutenable, fait partager à son lecteur, avec un art consommé, les heures de mort et d'épouvante vécues par l'héroïne tombée dans un piège révoltant et sans issue. D'un réalisme sans concession, à la fois brutal et très humain, un cauchemar absolu qu'on raye difficilement de sa mémoire. 

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21 décembre 2008

La mue du serpent

de T. Jefferson Parker

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Chef de la Brigade des crimes contre les enfants du Comté Orange, Terry Naughton traque sans relâche les réseaux de pédophiles et tout particulièrement, un violeur de fillettes nommé Horridus.

Mis à part une mystérieuse signature et la peau de serpent laissée à côté de ses victimes, l'inspecteur dispose de très peu d'indices pour démasquer le fameux Horridus. Or il lui faut faire vite, très vite, car le rythme des enlèvements s'accélère et la tournure que prennent les événements laisse présager le pire.

Alors que Naughton s'apprête à démanteler un réseau de pornographie et de prostitution enfantine, il fait soudain l'objet d'accusations gravissimes. Le flic qui traque les monstres serait-il passé dans leur camps ? Les doutes qui planent sur son innocence sont d'autant plus sérieux qu'à la suite d'un drame familial, le policier a basculé dans l'alcool, buvant parfois jusqu'à perdre conscience.

Trahi par les siens, Naughton n'en continuera pas moins de poursuivre cet ennemi invisible jusqu'à ce qu'il parvienne à le démasquer et ainsi prouver son innocence.

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

21 décembre 2008

Coup de blues

de T. Jefferson Parker

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Tim Hess a un sale cancer qui le ronge et ne lui laisse que quelques mois à vivre. Pour obtenir la couverture sociale, il reprend du service, acceptant, faute de mieux, de courir après un psychopathe entre deux séances de chimio.

Pis encore, on lui met entre les pattes une jeunesse, Merci Rayborn, genre pète-sec qui n'aime pas les compliments. L'affaire est rude, monstrueuse même, puisqu'on retrouve régulièrement les traces de belles filles, saignées comme des animaux, éviscérées avec le plus grand soin.

Hess a de l'instinct, Merci de la santé, tous deux se comprennent vite, s'entendent, évitent de s'attacher l'un à l'autre, quoique...

Éditions PRESSES DE LA CITÉ

21 décembre 2008

Partie truquée à Descartes

de Philippe-Michel Dillies

https://products-images.di-static.com/image/philippe-michel-dillies-partie-truquee-a-descartes/9782355500282-475x500-1.webpLa vie paisible de Charles Wenz pourrait bien en être perturbée et, pourtant, il s'agit d'une bonne nouvelle: après six ans d'absence, sa fille Suzanne revient d'Australie. Avec quelques surprises dans ses bagages…

Le capitaine Guillaume est parti en voyage, loin sous le soleil de Majorque. Il y a rendez-vous avec sa jolie cousine qui lui fera faux bond, mais elle a une excuse… Thierry Guillaume revient donc à Tours où le jeu trouble des cartes lui sera fatal et sans excuse…

Emma Choomak rentre de Ré. Elle se cherche encore des excuses… Roger est un tueur. Sa signature ? Une carte de tarot: l'Excuse.

Depuis Descartes, un joueur inconnu met en place les pièces d'un sinistre échiquier, provoquant des retrouvailles policières. La voie est lumineuse, mais les personnages se croisent sans savoir qu'ils sont les acteurs de cette sombre partie où ils ont tout à perdre. La partie est truquée; tout est donc joué ? À moins que la reine noire…

Mais elle, n'admettra aucune excuse !

Éditions ALAIN BARGAIN

20 décembre 2008

Serial victime

de Sylvie Picard

Picard__Sylvie

Christine, c'est le genre d'adolescente un peu perdue, sur qui tous les malheurs du monde s'abattent, bêtement, parce qu'elle est trop jolie, quasi orpheline, sans personne à qui se raccrocher, sauf sa soeur Nathalie qui en a marre de cette présence sparadrap.

Un violeur se ballade et hop, c'est pour elle. La dernière fois que cela lui est arrivé, c'est pas plus tard que tout de suite, lorsqu'un couple l'a emmené dans une église désaffectée pour satisfaire les envies de monsieur. Et la police, que fait-elle ?

Elle a bien du mal avec l'Anesthésiste, un tueur en série qui ne supporte pas qu'un individu, quelqu'il soit, jeune ou vieux, mâle ou femelle, lui manque de respect. La politesse n'est plus ce qu'elle était, alors il voit rouge, et applique à sa manière des leçons de courtoisie. Seulement pour attraper l'Anesthésiste, faudrait avoir un appareil photo sur soi, car personne n'est capable de dresser son portrait robot.

La rencontre entre Christine et ce quidam au pardessus brun est une nouvelle version de la "Belle et la Bête" mais sera-t-elle salvatrice pour la jeune femme ?

Éditions BALEINE

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19 décembre 2008

1980

de David Peace

1980

Après l'été caniculaire de 1977, voici Leeds sous la pluie en 1980. À la radio, Yoko Ono dit: "Ce n'est pas la fin d'une époque. Les années quatre-vingt seront tout de même belles..."

Sauf dans l'ouest du Yorkshire où les gens, ont peur. Plusieurs années ont passé et les meurtres attribués à l'Éventreur continuent. Les femmes n'osent plus sortir le soir. La psychose grandit et la police demeure impuissante.

Pis encore, le mal rôde au sein même des forces dites de l'ordre. La corruption est partout. Y a-t-il un flic honnête dans le comté du Yorkshire ?

II y a Peter Hunter, l'homme qui va enquêter sur les enquêteurs. Creuser à mains nues et ramener la boue. Creuser la tombe de ses collègues pourris ou la sienne ?

Éditions RIVAGES

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Comme dans les deux précédents volumes du Red Riding Quartet, David Peace confie la narration à un personnage, ici Peter Hunter, le directeur adjoint de la police de Manchester. Cette façon d'intérioriser le point de vue lui permet de brosser à petites touches sèches un tableau palpitant, écorché, violent, empreint de tout le poids de la subjectivité et, pourtant, parfaitement maîtrisé

Plus encore que dans 1974 et 1977, David Peace nous donne ici la mesure du choc qui secoua l'opinion publique dans le nord de l'Angleterre pendant ces années où sévissaient une crise économique, politique et morale... et le véritable Eventreur du Yorkshire. C'est à un exorcisme littéraire que se livre l'auteur dans cette tétralogie dont il reste encore un tome à publier.

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19 décembre 2008

1977

de David Peace

1977

C’est l’été, nous sommes de nouveau dans la région de Leeds. On y assassinait des petites filles en 1974, on y tue des prostituées en 1977.

Lorsque le sergent Fraser est appelé sur la scène de l’un des crimes, il est pris de panique car il se trouve être l’amant d’une fille de joie de Chapeltown. Il n’est pas le seul. C’est aussi le cas de Jack Whitehead, le journaliste arriviste et cynique de 1974.

À travers ces deux personnages, le roman nous entraîne au bout d’un monde en décomposition. Bob Fraser, déchiré entre l’amour de sa maîtresse et celui de son petit garçon, a du mal à concilier un certain désir de justice et les magouilles inhérentes au métier de policier.

Quant à Jack Whitehead, désabusé, alcoolique, conscient que la police se sert de lui, il est hanté par la disparition tragique d’une femme aimée. À mesure que l’on se rapproche des festivités du Jubilée, l’horreur s’amplifie.

Le flic et le journaliste, s’ils entrevoient la vérité, n’auront jamais la possibilité de la révéler au grand jour. Épuisés, écrasés par le fardeau du secret, ils n’auront plus d’autre issue que la mort.

Éditions RIVAGES

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Plus encore que 1974, 1977, le deuxième volet de la tétralogie du Yorkshire, est une ode funèbre, une quête désespérée du sens dans un monde totalement dominé par le mensonge et la corruption. Ce roman, comme son prédécesseur, a été accueilli par les louanges de la presse britannique et américaine.

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19 décembre 2008

1974

de David Peace

1974

« Tout est lié. Montrez-moi deux choses qui n’ont pas de rapport. » Edward Dunford

Jeanette Garland: disparue à Castleford en juillet 1969.

Susan Ridyard: disparue à Rochdale en mars 1972.

Clare Kemplay: vient de disparaître à Morley. Elle revenait de l’école, elle n’est jamais rentrée chez elle. Son cadavre sera bientôt retrouvé dans une tranchée sur un chantier de construction.

Nous sommes en 1974, dans la région de Leeds. Noël approche. Edward Dunford, reporter criminel à l’Evening Post, est encore un néophyte qui fait ses premières armes dans l’ombre du journaliste vedette de la rédaction, Jack Whitehead. Au volant de la vieille Viva de son père, qui vient de mourir, Edward Dunford sillonne les routes de l’ouest du Yorkshire à la recherche d’indices susceptibles d’éclairer ces trois disparitions d’enfants.

Sont-elles liées ? Eddie en est persuadé. Au départ, il croit seulement chasser le scoop qui lui permettra de coiffer au poteau Jack Whitehead; mais plus il enquête, plus il découvre que les ramifications de l’affaire sont multiples. Bien des choses sont pourries au royaume du Yorkshire: policiers corrompus, entrepreneurs véreux, élus complices...

Partout, les hommes de pouvoir protègent leurs turpitudes et ce, à n’importe quel prix. Y compris celui de la vie humaine.

Éditions RIVAGES

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etoile Grand Prix du Roman noir du festival de Cognac /roman étranger (2002)

16 décembre 2008

Thérapie mortelle

de Gilles Ouimet & Anne-Marie Pons

therapie_mortelle

Tout commence le soir du 31 octobre. La fête d'Halloween bat son plein, squelettes et sorcières s'éparpillent dans les rues et les bars. À Montréal, ce soir, on s'amuse.

Mais le lendemain, dans cette ville habituellement paisible, on dénombre cinq cadavres. Cinq meurtres apparemment gratuits et qu'aucun indice ne permet de relier les uns aux autres.

Julie se prépare à écrire un article sur cette tragédie lorsqu'elle est projetée au cœur d'une expérience étrange. Après avoir longtemps hésité, elle accepte de se joindre à un groupe de thérapie auquel participe son ami. La première séance la trouble. La seconde la bouleverse. La panique s'installe quand les membres du groupe ont d'épouvantables visions dans lesquelles leur apparaissent les victimes des meurtres d'Halloween.

Sont-ils la proie d'une hystérie collective ? Sont-ils dangereux ou en péril ? L'assassin d'Halloween se cache-t-il parmi eux ?

Quand une sixième victime est retrouvée la gorge tranchée, Julie éprouve une réelle terreur. Car un message laissé sur son répondeur précise que ce "cadeau" lui est personnellement destiné. Qui lui en veut ainsi ? La thérapie va-t-elle basculer dans l'horreur ?

Éditions ROBERT LAFFONT

14 décembre 2008

Rebecca

de Carol Néron

Rebecca

Juin 1960, une chaleur étouffante et soutenue s’est abattue sur le petit village de Taïssak. Là-bas, la Maison sur la colline, habitée par la famille Dillon, est plus inquiétante que jamais derrière l’air vaporeux et écrasant de cet été qui commence à peine et brûle déjà comme les flammes de l’enfer.

Rebecca Dillon est encore une adolescente, mais elle incarne la quintessence de la féminité. Même dans les yeux du jeune et beau curé du village, elle est magnifique, éclatante et fascinante comme la lumière d’un été des Indiens. La tentation incarnée. Et il y a cette canicule abrutissante qui exacerbe les sens et les esprits…

Le jeune frère de Rebecca a à peine douze ans, mais il a déjà la taille et la carrure d’un immense gaillard. C’est un solitaire. Comme son père. Un taciturne. Comme son père aussi. Et ce regard… Insistant. Très. Trop. Un œil fixe, glacé. Ses parents l’ont appelé Abel… Il a pourtant tout d’un Caïn…

Des animaux de compagnie ont disparu dans le village. Il y a des morts étranges aussi. Étranges et suspectes. Dans un si petit village. Des assassinats ? Rebecca soupçonne son frère. Abel sait qu’elle le soupçonne. À douze ans, est-ce possible de tuer froidement, gratuitement et en série ?

Une chaleur insupportable. Des disparitions. Des cadavres. La Maison des Dillon. Rebecca. Abel. Le jeune curé. La folie. Puis, le feu. Un incendie qui ravage Taïssak, emporte une grande partie de ses habitants, raye pratiquement la région de la carte.

Le Mal. Près de quarante plus tard, aucun survivant n’a oublié. Rebecca sait que son frère rôde toujours. Elle sait qu’il incarne le Mal, qu’il est le Mal. Elle sait qu’il n’attend que le moment propice pour frapper de nouveau et les entraîner tous irrémédiablement dans le néant.

Éditions JCL

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