de Boileau-Narcejac
Chaque samedi soir, Fernand Ravinel, représentant de commerce, retrouve Mireille, sa femme qui l'attend dans sa maison d'Enghien...
Fernand voit aussi sa maîtresse, Lucienne, qui est médecin...
Pour ces deux amants, Mireille est de trop. Ils l'endorment à l'aide d'un soporifique et la noient dans la baignoire. Puis ils déposent son corps dans le lavoir pour faire croire à un accident.
Mais, le lendemain, le corps de Mireille a disparu...
Éditions GALLIMARD
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Édition originale: Éd. Denoël (1952)
Réédition: Les Éditions Retrouvées (2013)
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« Les auteurs ont écrit ce récit sous l'angle de Ravinel, hanté par la peur et la solitude... Ravinel, à qui l'on a jeté un sort... Pris dans un tourbillon d'angoisses, il s'égare vers des raisonnements aussi simples que : un mort ne peut pas vivre - un vivant ne peut pas être mort - comment un cadavre peut-il être vivant
Chaque mot, chaque pensée, illustre la condamnation de Ravinel. Il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie cet admirable récit, devenu un classique du cinéma grâce au chef-d'oeuvre de Henri-Georges Clouzot qui l'adapte en 1955 » Nicolas Mesplède
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