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13 mars 2011

Léo Bartel

1923 - 2011

Biographie

 

Léo Bartel est un des pseudonymes de Richard Bessière, né en 1923 à Béziers, décédé en 2011, auteur célèbre dans le domaine de la SF. Pour ce pseudonyme de Léo Bartel, il se serait inspiré des deux prénoms de son père: Léopold et Barthélémy.

 

« Richard Bessière ou F. Richard-Bessière est le pseudonyme de deux auteurs français de Science-Fiction écrivant à quatre mains, François Richard (né en 1913), à l'origine directeur littéraire aux Éditions du Fleuve Noir et Henri Bessière, imprésario. Ils publient leurs premiers romans en 1951, écrivant ensuite plus d'une centaine de titres jusqu'en 1985 » (Sources Wikipedia)

 

Mais il est intéressant de lire le sujet concernant Richard Bessière sur le site en lien ci-dessous, notamment, l'article intitulé  “L’énigme” de l’Assassin de la Famille, qui aurait été publié début des années 50, mais dont on ne trouve trace qu'en 1972, en réédition chez Transworld Publications.

 

(Sources:  litteraturepopulaire.winnerbb. )

Elleon

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Résumés

 

  1. Document X.K. 17 (Éd. Transworld Publications - 1974)
  2. L'assassin de la famille (Éd. Transworld Publications - 1972)
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13 mars 2011

L'assassin de la famille

l'assassin de la famille

Léo Bartel
Éditions Transworld Publications
1972

 

L'assassin poignarde, étrangle et empoisonne…

 

Et tout indique qu'il sera désormais « obligé » de tuer encore !

 

L'assassin est dans le château où chacun est suspect car chacun peut avoir des motifs pour tuer.

13 mars 2011

Document X.K. 17

Léo Bartel
Éditions Transworld Publications
1974

 

 

Mais il fit l'objection suivante:

 

- Crois-tu que Monsieur X... sera assez naïf pour payer rubis sur l'ongle un faux document, car c'est un faux que tu vas lui remettre. Cet homme-là doit s'y connaître.

 

Burnes avait souri et répondit:

 

- Le faux document que tu as dans ta poche, c'est moi qui l'ai fabriqué. Avec la complicité de qui ? Permets-moi d'être discret à ce sujet. Évidemment, ce dossier est exact en tout point pendant deux pages. Ce n'est que la conclusion qui est fausse.

 

_____

 

Première édition, sous le titre Chasse aux documents publiée en 1952 aux Éditions Le Trotteur sous le pseudonyme de «Jerry Crayton, traduit de l'anglais par Jean Descamps », comportant de nombreuses corrections autographes. (Sources archivesetmanuscrits.bnf.fr )

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13 mars 2011

La double mort de Frédéric Belot

la double mort de frederic belot

Claude Aveline
Éditions 10/18
1984

 

Comme son père, mort au service, et comme son parrain, Frédéric Belot, le jeune Simon Rivière a choisi d'embrasser une carrière de policier au fameux Quai des Orfèvres.

 

Une vocation qui prit fin avec le décès de son parrain, qui était alors Chef de la Brigade spéciale. Une ténébreuse affaire qui le secoua violemment...

 

En effet, le jour où il se rendit chez Frédéric Belot, inquiet de ne pas le voir à son poste, Simon Rivière ne découvrit pas un... mais deux cadavres ! Avec tous deux le même visage...

 

 _____

 

"Dans le Paris des années 1930, fidèlement reconstitué, Jérôme Presti adapte avec élégance l'oeuvre la plus célèbre de Claude Aveline, romancier qui donna au polar ses premières lettres de noblesse. Afin d'éviter tout risque d'erreur ou d'omission, le dessinateur s'est appuyé sur les conseils du chef de la Brigade criminelle, sur les avis du propre petit-fils de Claude Aveline et sur des repérages photographiques très précis."

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13 mars 2011

L'abonné de la ligne U

Claude Aveline
Éditions Le Livre de Poche
1969

 

 

Un meurtre accompli en pleins Champs-Élysées à la descente d'un autobus de la ligne U. Le lendemain, une lettre de menaces dans un autre autobus, signée « L'Abonné de la ligne U ». Le surlendemain, un enlèvement sur la même ligne !

 

L'affaire prend une telle ampleur, dans des milieux si différents, que tout Paris s'émeut et que le monde se passionne. L'inspecteur principal Belot et la Brigade criminelle de la P. J. (dont l'activité quotidienne est peinte ici très exactement) viendront à bout du mystère, avec -ou malgré ? - la curieuse collaboration de l'adorable Mme Colet.

 

_____

 

"C'est le roman-fleuve de la littérature policière contemporaine. L'auteur l'a adapté lui-même pour la radio, puis pour la télévision, où les quarante épisodes ont constitué un film de dix heures, à la mesure du texte."

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13 mars 2011

Claude Aveline

1901 - 1992

Biographie

 

Eugène Avtsine naît en 1901 à Paris où ses parents, fuyant la ségrégation raciale dont ils sont victimes en Russie, se sont installés en 1891. L’ensemble de la famille obtient en 1905 la nationalité française. Après les premières années d’école à Paris au lycée Henri-IV puis au lycée Hoche, Eugène Avtsine est en 1915 à Dinard aide-infirmier volontaire puis entre au lycée Janson-de-Sailly mais sa santé se détériore et il doit abandonner ses études. Les reprenant, il n’ira pas au bout de la première et séjourne en 1918 et 1919 au Cannet près de Cannes. C’est là qu’il commence à écrire et adopte le pseudonyme de Claude Aveline.

 

1919 voit paraître ses premiers poèmes en revues. Il fait la connaissance d’Anatole France qui l’accueille dans son intimité jusqu'à sa mort en 1924 et dont il ne cessera de servir l’œuvre et la mémoire, notamment par la célébration de son centenaire à travers le monde comme un symbole de la Libération et la réunion de ses articles politiques et sociaux ("Trente ans de vie sociale", 4 volumes). En 1920 une rechute conduit Claude Aveline à la montagne. À son retour à Paris il devient le secrétaire d’un érudit, fondateur de la première collection pour bibliophiles modestes, faisant ainsi son apprentissage d'éditeur d’art, ayant décidé de l’être à son tour, et répond à une invitation qui lui est faite d’écrire la "Merveilleuse Légende du Bouddha."

 

Exempté de Service National, il peut mettre en route les premiers volumes qui paraissent en 1922 « chez Claude Aveline éditeur » et lui vaudront d'être appelé « le plus jeune éditeur du monde ». En huit ans il publie une cinquantaine d'ouvrages, notamment dans sa « Collection philosophique » dix volumes de Saint-Evremond, Voltaire, Diderot, Renan, France, Remy de Gourmont, Maeterlinck, André Gide, Valéry, Duhamel. Après un nouvel accident de santé en 1923, Claude Aveline séjourne quatre ans à Font-Romeu où il rencontre un jeune malade, Jean Vigo, qu'il soutiendra jusqu'à sa mort en 1934. Après celle de sa femme quelques années avant la guerre, il deviendra le tuteur de leur petite fille et fondera en 1951 le "Prix Jean-Vigo" dont il présidera le jury durant vingt-cinq ans.

 

L'accueil fait à ses premiers romans amène en 1932 l'éditeur à fermer boutique au profit de ses propres ouvrages et de son goût pour la critique cinématographique. Alors qu'on attend de lui le tome II de sa Trilogie, Claude Aveline écrit, passant des journées à la préfecture de police, un roman policier, La Double Mort de Frédéric Belot qui donne au genre policier « ses lettres de noblesse » (Boileau-Narcejac).

 

Claude Aveline publie aussi un roman "Le Prisonnier" (1936) dont on a pu soutenir qu'Albert Camus s'était inspiré pour son "Étranger", puis un nouveau policier « L'ennui c'est que j'avais tué mon policier du premier coup, et même deux fois, je n'avais pas prévu qu'il aurait à reprendre du service. Heureusement, je ne l'avais pas fait mourir trop jeune. Par la suite, j'ai donc raconté des aventures arrivées avant 1932 ».

 

En 1939 Claude Aveline, mobilisé sur sa demande, s'attache à Versailles à Nicolas Grésy, qui deviendra son fils adoptif (disparu en 1977). L'Abonné de la ligne U, troisième des policiers qu'il écrit alors se heurtera au refus de la censure allemande et ne paraîtra qu'après la Libération. En 1943, il publie sous le pseudonyme de Minervois "Le Temps mort" aux Éditions de Minuit qui ont été fondées par son ami le dessinateur Jean Bruller qui deviendra Vercors, l'auteur du "Silence de la mer". Il publie par la suite un conte, "Babadienne et Morceau de Sucre" dont Jean Bruller réalise les dessins. Claude Aveline reprend ses activités à la Libération, les accidents de santé l’accompagnent (énucléation de l’œil droit).

 

Il reçoit en 1952 le "Grand Prix de la Société des Gens de Lettres" ("Grand Prix de Littérature de la SGDL") pour l’ensemble de son œuvre. Il est membre du Conseil exécutif de la "Société Européenne de Culture", fondée à Venise en 1950 par Umberto Campagnolo, qui, en pleine guerre froide a pour action d'instaurer le dialogue entre les peuples. Les deux derniers tomes de sa Trilogie paraissent en 1952 et 1955. Il se tourne alors vers l'art radiophonique ("Le bestiaire inattendu" et "C'est vrai, mais il ne faut pas le croire" qui lui vaut le "Prix Italia").

 

Pendant les vingt années suivantes, il poursuit ses expériences dans tous les genres que peut proposer le micro. En 1976 la "Société des Auteurs dramatiques" lui décerne son "Prix de la Radio". En 1957 il publie "Les Mots de la fin", "750 paroles de mourants célèbres", dont 150 ont fait l'objet de chapitres lus d'abord sur les ondes par l'auteur.

 

En 1970 "L'Œil-de-chat", dernier de ses policiers, apparaît le plus « classique » de la "Suite". En un long poème Monologue pour un disparu Aveline évoque en 1973 son ami intime Jacques Lion, assassiné à Auschwitz. La même année "Le Haut Mal" des créateurs se veut une « méditation polémique » sur l'évolution des Lettres, et des Arts dans les années 1960. À partir de 1974 Claude Aveline entreprend des mémoires. Au cours d'une tournée en 1960 au Canada la traversée des Rocheuses en train lui procure une vision fantastique qui l'obsédera quinze ans avant de devenir "Hoffmann Canada", une pièce radiophonique, puis en 1977 son dernier roman.

 

En 1978, Claude Aveline constitue un fond à la bibliothèque de Versailles qui rassemblera ses ouvrages, ses manuscrits, ses livres dédicacés, sa correspondance, la dizaine de milliers de volumes de sa bibliothèque et son buste réalisé par Zadkine, dernière œuvre du sculpteur («Je suis le dernier Zadkine », constatait-il douloureusement dans un hommage écrit après sa disparition en 1967).

 

Dans les années 1980, alors qu'une trentaine de ses livres sont édités ou réédités, notamment les policiers dans des collections de poche, Claude Aveline termine une « biographie imaginaire », "Trésors de la Connivence".  "La vie et l'œuvre du Pr Lembourg", ajoute aux réflexions d'"Avec toi-même et caetera", les remarques "De fil en aiguille" aux "Apprêts de l'Après", publie un ultime hommage à son maître, Anatole France "Le Vivant", poursuit ses mémoires et reçoit le "Prix International de la Société européenne de Culture" (1986).

 

À partir de 1968, Aveline pratique ce que Jean Cassou nomme la « peinture au feutre » et réalise des centaines de dessins qui seront exposés dans des galeries parisiennes, à Bruxelles, Ljubljana, Zagreb ou Belgrade. « Je me plais au jeu des lignes comme je me plais au jeu des mots » dit-il, alors qu'il les mêle en faisant dialoguer l'image et le titre, souvent humoristique, qu'il lui donne, véritable « petit poème en soi ». Une rétrospective en est présentée en 1991 au musée Bourdelle à Paris, à quelques mois de sa disparition.

(Sources: Wikipedia)

*****

Résumés

 

  1. L'abonné de la ligne U (Éd. Le Livre de Poche - 1969)
  2. La double mort de Frédéric Belot (Éd. 10/18 - 1984)

 

ainsi que divers romans

13 mars 2011

Luna Caliente

de Mempo Giardinelli

luna_calienteSur les rives du fleuve Parana, au nord de l'Argentine, dans l'atmosphère tendue de la dictature militaire, il fait une chaleur accablante et la pleine lune trouble Ramiro presque autant que l'attitude de la fille de son ami, une lolita de quatorze ans qui teste ses charmes sur lui. Puis tout dérape...

Prisonnier de ses mensonges, Ramiro dérive dans le meurtre et la violence et part en cavale poursuivi par une nymphette insatiable.

Éditions MÉTAILIÉ

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Édition originale sous le titre Lune ardente: Éd. Messinger (1987)

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C'est une de ces nuits où tout bascule dans la démence, où on répond à l'appel du monstre qu'on a laissé grandir en soi.   "Sud Ouest Dimanche"

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13 mars 2011

Le dixième cercle

de Mempo Giardinelli

le_dixieme_cercle"J'ai toujours su que ce que je faisais était horrible, mais je l'ai fait. Une fois lancé sur cette corniche de l'enfer comme une boule de bowling qui prend vitesse et force en glissant, je ne me suis plus arrêté. Le nombre de quilles que j'allais renverser n'avait plus d'importance. Tout ce qui comptait, c'était de rouler ".

Une atmosphère irrespirable, perverse et totalement noire, une spirale obsessionnelle, érotique et meurtrière, sur fond de fuite hallucinante à travers le Nord de l'Argentine. Des amants diaboliques inventent le dixième cercle de l'Enfer.

Éditions MÉTAILIÉ

12 mars 2011

Croque-diamant

Paul Gerrard
Éditions du Masque
1996

 

Assise au fond du wagon n° 4 du Mistral, Jenny Bréand était plus nerveuse qu'à l'ordinaire. Dans son grand sac à main qu'elle tenait serré entre sa hanche droite et l'accoudoir, du côté fenêtre, il y avait un écrin blindé à trois compartiments où reposaient des bijoux d'une valeur de 10 millions: la dernière collection de ses employeurs, les frères Horsen.

 

À chaque voyage, un convoyeur armé la protégeait. Ce jour-là, pour la première fois, c'était un inconnu. Mais lequel ? Ce gros homme aux cheveux noirs lissés qui ressemble à un corbeau ? Ou l'homme jeune et blond qui fume en rêvassant ?

 

Et où est exactement le danger ? Sont-ce vraiment les bijoux qui sont en péril ? Ou bien Jenny elle-même ?

12 mars 2011

Le crime de Loyasse

de Bernard Domeyne

https://images.epagine.fr/433/9782812137433_1_75.jpgUne nuit de mai, alors qu’il squatte au fort de Loyasse, un SDF lyonnais découvre le cadavre d’une jeune femme, assassinée dans des conditions particulièrement atroces: du travail pour le commissaire Addamah et son adjointe, la bouillonnante Kiki Manset.

Qui donc a pu commettre ce crime épouvantable ? Des jeunes à casquettes de banlieue ? La sévère Estelle, maîtresse SM ? L’inquiétant Dumurlichet, client pervers ?

Ou la vérité est-elle ailleurs, quelque part autour du club de fitness que fréquentait la victime ? Dans la famille Eyquem-Boldhe, par exemple. Est-ce Pascal, l’onctueux patron ? La mystérieuse Nathalie ? Ou bien encore, le flamboyant Romain ?

Quels terribles secrets hantent les murs de leurs propriétés bourgeoises ?

Aidés par leur collègue Michel Albertini, de la Brigade des stupéfiants et du proxénétisme, Addamah et Manset vont devoir se plonger dans l’univers interlope des nuits lyonnaises, et faire tomber les masques de la respectabilité. Car les êtres sont rarement ce que l’on croit qu’ils sont… L’enquête piétine, jusqu’à ce qu’un des suspects disparaisse à son tour, laissant derrière lui un message bien énigmatique.

Commence alors une course contre la montre pour découvrir la vérité et empêcher un nouveau meurtre…

Éditions ÉDILIVRE

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