En ces temps d'individualisme forcené régnant sur notre société, le présent récit met en exergue l'action d'un journaliste d'une totale intégrité, refusant de se taire lorsqu'il avait débusqué un « grave manquement aux règles chez les puissants », la gloire et le fric étant étrangers à son mode de fonctionnement.

À travers ce récit d'une saisissante pertinence, notre société est campée dans ses excès, ses dérives et ses limites.

Une flamme peut être affective ou incendiaire...

Lorsque ces deux qualificatifs se trouvent étroitement mêlés, l'opacité n'est pas éloignée. Dans un tel contexte, les retours de flamme sont dangereux et l'on s'y brûle, même lorsque l'on porte la robe d'Avocate et que de surcroît sa propriétaire est une jeune femme brillante et séduisante, entraînée dans la spirale criminelle du milieu marseillais.

Avec ce cinquième récit l'auteur nous révèle les dessous des trafics dont la presse se fait périodiquement l'écho dans le cadre de sa rubrique... nécrologique. Les réalités peuvent surpasser la fiction, sauf que le proverbe tibétain demeure d'une absolue pertinence en tous milieux : "Les chiens n'aiment pas le bâton, les hommes n'aiment pas la vérité".

Une enquête du commissaire Dupin dans la forêt de Brocéliande, haut lieu du fantastique breton et des légendes arthuriennes.

Le commissaire Dupin et son équipe s'apprêtent à passer un moment de détente en forêt de Brocéliande - officiellement forêt de Paimpont -, la plus grande de Bretagne. En effet, Nolwenn, sa fidèle assistante, lui a proposé d'allier obligations professionnelles et découverte du "dernier royaume des fées", l'épicentre breton du fantastique, l'endroit mythique par excellence.

Pendant que son équipe prépare la visite de l'église du Graal et du Val sans retour, Dupin va interroger pour le compte d'un collègue parisien le directeur du centre de Recherches arthuriennes. Mais, quand il se présente, il découvre un cadavre. Premier meurtre d'une série...

Qui donc, parmi le groupe de sept scientifiques, fine fleur de la recherche arthurienne, serait impliqué dans cette affaire ? Quels liens souterrains unissent ces éminents savants ? Quelles rivalités les opposent ? Et quel est le mobile ?

Est-ce ce projet controversé de parc d'attractions dans différents sites arthuriens ? Une découverte exceptionnelle dont l'un ou l'autre voudrait s'octroyer la paternité ?

Toutes ces pistes s'offrent au commissaire Dupin qui va résoudre une énigme digne d'Agatha Christie.

Un truand multirécidiviste qui s'évade. Une indic pas vraiment franche du collier. Un commissaire qui s'embrouille. Belleville et Ménilmontant.

On va en avoir du fil à retordre, Vaness', Momo, René et moi, pour arriver au bout de cette histoire sans queue ni tête. Les méchants restent méchants, les gentils finissent méchants. L'amoral est sauf.

Mais quelle balade ! À l'ombre du Père Lachaise, sur les pentes de Belleville ou dans les ruelles de Ménilmontant, on ne ménage pas nos peines pour remettre les choses à leur place : l'évadé, en prison, le magot, en lieu sûr, et surtout, la mystérieuse Lili Devalbo à la sienne de place ! René reste sobre, Saint Antoine déraille.

Le monde n'est plus ce qu'il était... Quant à moi, c'est compliqué... Suivez-nous sur les pentes du boulevard et vous saurez tout !

Ursula Gentyl, artiste-peintre, s'est retirée à la campagne et vit dans une modeste maison, la dernière avant la forêt. Elle est surnommée la femme au chien parce qu'elle est toujours accompagnée d'un grand lévrier blanc.

Rejetée par sa fille, elle reporte toute son affection sur une gamine solitaire, Clémentine, l'enfant d'une serveuse du café de la Gare, géré par une amie de Joseph Morgeon, commissaire de police.

Écologiste fervente, Ursula est détestée par les chasseurs de la région, et surtout par Pierre Butore, un individu antipathique et jouisseur qui méprise les femmes. Le frère jumeau de Pierre Butore est tué d'une façon aussi tragique qu'injuste.

À la suite de cette mort violente, ce dernier reçoit des lettres anonymes. Morgeon est chargé de l'enquête...

Le Docteur Emmanuel Marck, cardiologue nîmois réputé, en grave conflit avec ses associés, est victime d’une tentative de meurtre sur son lieu de travail. L’agresseur parvient à s’enfuir sans avoir été identifié.

Pendant que Marck, grièvement blessé, est entre la vie et la mort, l’enquête démarre, dirigée par le commissaire Blum.

L’entourage du blessé accuse immédiatement les confrères du cardiologue, au nombre de cinq. Ils ont un mobile et tous ont eu la possibilité de commettre l’agression. Faute de preuves, l’enquête piétine. Et si la clef de l’affaire se trouvait plutôt dans le passé du cardiologue et dans celui de sa famille dont il ne parle jamais, et que même sa femme ne connaît pas ?

Ou dans celui de ses confrères qui ont tous quelque chose à se reprocher. Jusqu’où iront-ils pour protéger leur position ?

Betty, une jolie quinquagénaire a tout pour être heureuse : un mari chirurgien, deux grandes filles, une belle maison dans une région agréable, un métier intéressant (elle est dentiste). Mais voilà, son métier l’ennuie, son mari, macho et égoïste, la délaisse, ses enfants sont partis, elle a peu d’amis.

Elle joue à un jeu en ligne et fait la connaissance virtuelle de Jean-Luc, beaucoup plus jeune qu’elle. Betty s’amuse enfin. Ils sympathisent. Ils flirtent un peu puis décident de se rencontrer dans la vraie vie. Et Betty disparaît.

Son mari, qui finalement ne la délaisse pas tant que ça, contacte la police. Le commissaire Blum qui est un de ses amis, va mener l’enquête.

Mais qui est donc ce Jean-Luc qui n’en est peut-être pas à son coup d’essai ?

Grenoble au mois de janvier. La neige est tombée en abondance sur les hauteurs et on grelotte en ville.

Une octogénaire est sauvagement assassinée à son domicile, d’un coup de couteau en plein cœur.

Le commissaire Blum enquête. Méridional récemment muté dans la région, il peine à trouver sa place au sein de son équipe dauphinoise. D’autant que sa compagne Claire, qui l’a suivi à contrecœur, lui mène la vie dure à la maison.

Blum découvre un second meurtre, puis un troisième. Aurait-on affaire à un tueur en série ? Un « tueur de vieux », comme l’a baptisé la presse locale ?

Et quel rapport avec les travaux du professeur Armengaud, une sommité médicale locale et avec son test révolutionnaire dans le diagnostic de la maladie d’Alzheimer dont la fiabilité est plus que douteuse ?

Paul Boisset, le directeur d'une clinique nîmoise est retrouvé mort, assassiné dans son bureau. Doté d'un épouse dépressive, alcoolique et suicidaire, il aimait travailler tard, tant pour échapper à l'atmosphère lugubre de son domicile que pour mener à bien ses nombreuses aventures amoureuses.

Néanmoins, et de l'avis de tous, c'était un homme honnête, compétent, attentif et respecté.

Le commissaire Raphaël Blum, flic bourru mais sensible, en proie à des sentiments contradictoires, enquête dans cet établissement de soins où travaille son ex-femme, la mère de son fils de douze ans, qui est désormais la compagne d'un gynéco-obstétricien renommé.

Le seul indice dont dispose la police est la mystérieuse photographie d'un jeune enfant retrouvée sur les lieux du crime. S'agit-il de l'enfant naturel de Boisset ? Les enquêteurs remontent la piste mais un nouveau meurtre est commis, bouleversant l'enquête.

À l'aide Claire Pérez, l'ancienne secrétaire, amie et confidente de Boisset qui ne laisse pas la commissaire insensible, Blum et ses adjoints mettront au jour un trafic d'embryons génétiquement modifiés, orchestré par un grand laboratoire pharmaceutique.