Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Fiches livres
Bienvenu(e)
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
32 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 3 604 042
26 décembre 2008

Le coffre aux âmes

de David Khayat

le_coffre_aux_ames

Jeune interne au très prestigieux "St Thomas Hospital" à New York, le docteur David Levine soigne les enfants leucémiques. La petite Sharon, huit ans, est condamnée. David ne peut qu’adoucir sa dernière nuit en prescrivant une perfusion de calmants.

Comme chaque fois qu’il perd son combat contre la mort, il est submergé par un sentiment de colère et d’impuissance. C’est pourquoi il accepte de rejoindre le service d’obstétrique, dirigé par la célèbre professeur Emma Rosenfeld. Il tient ainsi une promesse faite à sa femme qui veut que leur futur enfant soit élevé loin de la maladie et de la mort.

Peu après son arrivée, une femme enceinte meurt, subitement, d’un syndrome inconnu. David apprend par hasard qu’une autre mort inexpliquée s’est déjà produite. Une enquête est ouverte. Si c’est un acte criminel, son auteur est incroyablement discret et inventif…

Éditions XO

Publicité
26 décembre 2008

David KHAYAT

Biographie

David Khayat est né en 1956 à Sfax,(Tunisie), il suit des études de Médecine à l’Université de Nice, se tourne très vite vers la cancérologie, spécialité qu’il approfondit dans les Hôpitaux de Paris où il est nommé interne puis Chef de Clinique.

En 1985, il obtient son Doctorat d’État en Médecine. Parallèlement, il poursuit ses études en Immunologie à Villejuif puis à l’Université de Tel Aviv. En 1986, il part travailler comme "Visiting Professor" au département de biochimie de l’Université du Mount Sinaï à New York. En 1988, il obtient son Doctorat d’État en immunologie; deux ans après, il est nommé professeur de Médecine à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris VI). Puis, la même année, Médecin des Hôpitaux et Chef du service d’Oncologie médicale du groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière.

David Khayat est "Associated Editor" des plus grandes revues de cancérologie américaines: "Journal of clinical oncology", "Cancer"… Il est également membre des plus prestigieuses sociétés savantes américaines, ainsi que de la "World Alliance of Cancer Research Organizations". "Chevalier de l’Ordre de la Légion d’honneur", "Chevalier de l’Ordre national du Mérite", "Chevalier dans l’Ordre des Palmes académiques", "Ambassadeur de la République de San Marin", "Chevalier de la Grande Croix de l’Ordre de Sainte Agathe" en Italie, David Khayat est l’initiateur du sommet mondial contre le cancer et de la Charte de Paris contre le cancer. 

(Sources: Wikipedia)

~~~

Résumés

  1. Le coffre aux âmes (Éd. XO - 2002)
  2. Ne meurs pas (Éd. Anne Carrière - 2003)

Bonne lecture

26 décembre 2008

La Sibérienne

de Igor Panich

la_siberienne

"L’argent est la seule chose pour laquelle on peut vivre et mourir." Telle est la devise de Katerina Sikorsky, une Russe de la nouvelle génération, prête à tout pour quitter la Sibérie pauvre et sinistre où elle a grandi. Katerina est belle, ambitieuse, sans guère de scrupules.

À dix-neuf ans, elle a épousé l’un des parrains les plus en vue de la mafia russe, surnommé le "Propriétaire".

Personne ne connaît plus le vrai nom du "Propriétaire": il y a dix ans, il s’appelait encore Andrei Krylov. C’était un brillant esprit du Parti Communiste soviétique, élevé à l’Ouest, membre de la "Cage dorée", la toute-puissante cellule pensante du KGB.

Profitant du chaos né de la chute de l’Union soviétique, le Propriétaire a bâti un véritable empire financier, au terme d’une ascension sanglante. Désormais, il dirige ses affaires depuis un yacht qui ne quitte jamais les eaux internationales de la Méditerranée.

Pour son malheur, James Maguire, un banquier américain de trente-deux ans au parcours professionnel - presque - sans faute, va croiser le destin de ce couple hautement dangereux. Tout un pays qui bascule dans un système mafieux, la loi du plus fort érigée en règle de vie, les dirigeants engagés dans un jeu d’argent et de mort…

Éditions XO

~~~

La véracité éclate à chaque page de La Sibérienne, saluant avec ce premier roman d' Igor Panich la naissance d'un John Grisham russe.

~~~


26 décembre 2008

Igor PANICH

Biographie

Igor Panich est né en 1958 à Leningrad, fils de Julian Panich, un acteur célèbre pour ses rôles de jeune premier et de Ludmilla Panich, une réalisatrice. Igor a douze ans quand la famille Panich s’installe à Moscou, son père étant nommé responsable du Cinéma à la télévision soviétique. Il fréquente une bonne école réservée à "l’élite", la famille est logée dans un des plus beaux immeubles de la capitale, mais le succès et la prospérité ne sont qu’une illusion: les Panich sont obligés de se conformer à la norme et de s’inscrire au Parti Communiste et toute expression artistique leur est interdite.

En 1972, au moment fort de l’émigration des Juifs russes, Julian Panich décide de quitter lui aussi l’URSS pour Israël, leur visa de sortie est refusé et comprennent qu'ils ne seront jamais autorisés à quitter le territoire; c'est avec l'aide de leur voisin de palier, qui a un besoin urgent de leur appartement, que les Panich arrivent à Jérusalem, mais ne trouvant ni budgets ni rôles, se tournent donc vers l’Europe.

En 1973, les parents sont embauchés par "Radio Liberté", la radio financée par le Sénat américain pour diffuser des programmes qui combattent l’influence du communisme, dont les locaux sont à Munich; Igor  y fréquente pendant un an l’école sur une base militaire américaine et obtient plus tard la nationalité américaine. L’année suivante, il part pour l’Angleterre, dans une des plus vieilles écoles privées où il reste trois ans. La première année est marquée par la solitude, son mauvais anglais le gêne, mais il décide que "l’enfer en Angleterre vaut mieux que l’enfer en Allemagne"; il se passionne pour l’Histoire et réussit à s’intégrer. L’été, il retourne en Allemagne, dans un camp scout exclusivement réservé aux émigrés russes: un autre monde ! Inscrit en Histoire à l’Université de Londres, Igor commence à apprendre le français, mais étudiant pas très assidu, il part assez vite à la découverte de Paris où il reste plusieurs mois, chantant avec quelques amis des ballades russes devant Beaubourg pour gagner de l’argent. Il ne retourne en Angleterre que pour passer ses examens de fin de première année.

Ensuite il a la chance d’avoir comme professeur principal Conrad Russell, les études deviennent fascinantes, mais difficiles à cause de son approche littéraire de l’Histoire. "Igor, vous devriez écrire des romans historiques, lui dit Conrad Russell. Vos compositions sont très touchantes et sentimentales, mais ce n’est pas de l’Histoire."

En finissant ses études, en 1980, Igor décide de partir aux États-Unis et d’y devenir comédien: il s’inscrit au "Lee Strasberg Institute" et est bientôt choisi pour la classe professionnelle de Lee Strasberg, dont il reste l’élève jusqu’à sa mort en 1982. Igor quitte alors l’école, pour monter et jouer "Cyrano de Bergerac", une grande aventure commence, il réunit péniblement l’argent nécessaire, "embauche" sa mère et son père; la pièce a du succès mais ne fait pas avancer sa carrière. Il obtient un rôle dans un film avec Robin Williams qui connaît un grand succès, mais catalogue Igor comme "le Russe": les rôles qu’on lui propose ne l’intéressent pas, il a le choix entre jouer le stupide immigré au lourd accent ou le méchant du KGB…

Il se lance, avec un associé, dans l’immobilier, à New York, une période qui est celle de la rencontre avec les Russes émigrés aux États-Unis. Igor se passionne pour ce milieu cultivé et ouvert qui vit dans une sorte de folie permanente; ce sont des années de fêtes - excessives, avoue-t-il. Il voyage beaucoup et découvre le monde. Pendant les dix ans passés à New York, Igor connaît des problèmes d’argent, il est tour à tour chauffeur de limousine, interprète, producteur vidéo, chef d’entreprise, ouvrier, il reprend quelques petits rôles…

En 1990, le réalisateur russe Boris Frumin lui propose un des rôles principaux dans son film américano-russe. C’est pendant le tournage qu’une société allemande lui propose de se charger de ses relations publiques en Russie et pendant cinq ans, Igor se partage entre la Russie et l’Allemagne. C’est un grand retour pour lui, et une expérience ambiguë: Igor est parti depuis dix-huit ans, il a changé, les Russes aussi. Il retrouve des gens qui vivent dans une violence inimaginable à l’Ouest, qui marchent dans la rue les yeux fixés au sol, mais perpétuellement aux aguets et  découvre la nouvelle mafia.

En 1995, il revient donc à Paris, la vie en France reste un de ses très bons souvenirs, et presque tous ses amis sont désormais réunis là. Il y rencontre sa femme qui reprend des études de Littérature russe à la Sorbonne, et en 1996 naît leur fille Anastasia. Soutenu dans ce projet par sa femme et ses parents, en retraite en France, Igor se consacre depuis sept ans à l’écriture: "Le métier que j’ai exercé consécutivement le plus longtemps ", dit-il. En 1999, il envoie son manuscrit à des éditeurs américains (aucune réponse), anglais (quelques bonnes réactions) et à Valérie-Anne Giscard d’Estaing, qui s’occupe des droits étrangers de l'éditeur XO. Elle voit derrière ce premier jet un bon livre et surtout un auteur prometteur: deux ans et un peu de travail après, La Sibérienne paraît.

(Sources: Éditeur)

~~~

Résumé

  1. La Sibérienne (Éd. XO - 2002)

Bonne lecture

26 décembre 2008

Délivrez-nous du Mal

de Romain Sardou

delivrez_nous_du_mal

Entre Bien et Mal, science et superstition, simulacres et vrais miracles, un roman fort et sombre dans un Moyen Age fascinant.

Hiver 1288. Dans une paroisse isolée du Quercy, une troupe d’hommes en noir s’empare d’un enfant. Refusant d’admettre que le petit est perdu, le prêtre du village, le père Aba, se lance rageusement à la poursuite de ses ravisseurs.

Au même moment, à Rome, l’éminent enquêteur Bénédict Gui accepte une nouvelle mission: retrouver un jeune homme employé par l’administration du pape. Lui aussi a disparu sans laisser de traces, emmené par des hommes en noir.

Enfants enlevés, archives escamotées, cardinaux assassinés...

Dans ce Moyen Âge où le pouvoir de l’Église est plus fort que jamais, quelque chose se prépare. Le père Aba et Bénédict Gui, sans se connaître et au prix de leur vie peut-être, parviendront-ils à faire échouer les puissants qui ont sombré dans le cynisme et la démesure ?

Éditions XO

Publicité
26 décembre 2008

Silhouettes de mort sous la lune blanche

de Kââ

Kaa

Cet homme est un tueur sanglant. Il vient de réussir un casse à Saint-Cloud. Mais les choses se compliquent : plusieurs personnes veulent sa peau.

À part Erich Straub qu'il a recueilli chez lui pour le soigner et Corinne Detwiller, la veuve de Jérémie Detwiller, il ne sait plus sur qui compter.

Réussira-t-il à échapper à toutes ces personnes qui lui en veulent ?

Éditions POCKET

-

Édition originale: Éd. Fleuve Noir (1984)

26 décembre 2008

KÂÂ

1946 - 2002  

Biographie

Sous le pseudonyme de Kââ se cache Pascal Marignac, qui a été professeur de Philosophie politique pendant vingt ans en Bretagne. En 1988, il remporte le "Grand Prix du roman gore" grâce à son livre "Bruit crissant du rasoir sur les os". Il est maître de la série noire, glaciale et impitoyable, également connu sous les pseudonymes de Corsélien et Béhémoth.

Pascal Marignac est décédé en 2002.

~~~

Résumés

  1. Dîner de têtes (Éd. Fleuve Noir - 1993)
  2. Il ne faut pas déclencher les puissances nocturnes (Éd. Du Masque - 2003)
  3. La princesse de Crève (Éd. Fleuve Noir - 1984)
  4. Le marteau (Éd. Fleuve Noir - 1994)
  5. Mental (Éd. Fleuve Noir - 1998)
  6. On a rempli les cercueils avec des abstractions (Éd. Fleuve Noir - 1997)
  7. Petit Renard (Éd. Le Masque - 2002)
  8. Rendez-vous à Forbach (Éd. Fleuve Noir - 1989)
  9. Respiration de la haine (Éd. Fleuve Noir - 1986)
  10. Silhouettes de mort sous la lune blanche (Éd. Pocket - 2003)
  11. Trois chiens morts (Éd. Fleuve Noir - 1992)

~

Autres titres

  • 24 000 années
  • La fiancée du vieux renard
  • On commence à tuer dans une heure

Bonne lecture

26 décembre 2008

Reine de pique et brelan de bouffons

de Steve Brewer

Brewer__SteveIl y a des gens qui sont si faciles à tuer que c'en est ridicule.

Max Vernon avait le malheur de figurer sur la liste noire de Lily Marsden... Et Lily Marsden, celui d'ignorer une des règles d'or de Las Vegas: on ne tue pas un homme dans un casino comme le Tropical Bay, c'est mauvais pour les affaires...

Quand la pègre de Las Vegas se met à sa poursuite, la tueuse à gages sait qu'elle doit disparaître au plus vite, mais elle doit se débarrasser de Joe Riley, un ancien policier de Chicago sur ses traces depuis des mois. 

Sans compter deux cow-boys psychopathes qui veulent venger leur frère et un couple improbable de minables mauvais perdants...

Poursuites, machines à sous et revolvers sont les ingrédients de cette partie de poker d'où la reine de pique veut sortir gagnante.

Éditions ENCRE DE NUIT

26 décembre 2008

Steve BREWER

Biographie

Steve Brewer est né en 1957 dans l'Arkansas mais a vécu à New Mexico pendant une vingtaine d'années avant de s'installer à Redding en Californie. Il fait carrière dans le journalisme avant de se consacrer définitivement à l'écriture de romans à suspense. Des débuts de romanciers difficiles, ses deux premiers manuscrits lui paraissent trop mauvais pour être publiés, mais il poursuit l'écriture tout en assurant son travail de journaliste pour "l'Associated Press" à San Francisco.

En 1994 enfin, un premier roman est publié, "Lonely Street" (adapté au cinéma en 2008) qui remporte un véritable succès avec son héros Bubba Mabry, détective privé, sosie d'Elvis, un personnage quelque peu loufoque, que l'auteur reprend dans six romans entre 1994 et 2001. Déjà, Steve Brewer a créé Drew Gavin dans "End run" paru en 2000, un chroniqueur sportif qui travaille pour la Gazette d'Albuquerque et qui comme Bubba Mabry se retrouve bien malgré lui, confronté à des séries de meurtres et autres situations bien embarrassantes. Car, c'est bien là le style de l'auteur et ce qui fait son succès: « il dépeint des personnages hauts en couleur, parfois loufoques et toujours attachants pris dans des situations rocambolesques ». Il devient écrivain à plein temps en 1997, mais conserve sa chronique hebdomadaire, un "billet" d'humeur et d'humour, "Home front" publié dans le "Albuquerque Tribune", distribué dans tout le pays et le Canada. 

Des chroniques humoristiques sur "tout et rien" qu'il écrit aussi sur son blog, stevebrewer. qui le rendent célèbre autant que ses romans.

En 2003, Steve Brewer laisse de côté ses "héros" de série, il publie "Bullets", le seul de ses romans qui soit traduit en français à ce jour, sous le titre Reine de pique et brelan de bouffons aux Éditions Encre de Nuit, un aperçu pour les lecteurs français du genre policier humoristique que l'auteur a choisi d'exploiter avec succès dans son pays. Une demi-douzaine de romans ont suivi depuis "Bullets", le dernier publié en 2007: "Cutthroat".

En tant que membre de l'Association "Mystery Writers", il parcourt le pays pour donner des conférences sur l'art d'écrire un roman à suspense, il lui arrive aussi de dispenser son savoir sur les techniques d'écriture à l'Université de New Mexico.( smashwords. )

(Sources: .southwestwriters. / fantasticfiction. /)

~~~

Résumé

  1. Reine de pique et brelan de bouffons (Éd. Encre de Nuit - 2006)

Bonne lecture

26 décembre 2008

Bras de fer

de Joël Houssin

bras_de_fer

On parlait d'exécution. Certains craignaient les bavures. D'autres envisageaient une boucherie. Ce fut l'abattoir.

Éditions FLEUVE NOIR

Publicité
Publicité