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21 février 2014

Classe story

de Sarah Berti

classe_story

On pensait que cela n'arrivait que dans les films américains, que le Nouveau Monde avait l'apanage de ces adolescents saturés de violence, d'abandon et de hamburgers. Et si les enfants, chez nous, se mettaient, eux aussi, à jouer avec de vraies armes ?  Si les petits se prenaient au jeu de la guerre, de la terreur, pour s'amuser, pour récolter leur part de gloire ?

Un matin de juin comme les autres, dans une petite école primaire, Kevin Pinson, 12 ans, tue son institutrice d'une balle dans le coeur et prend les élèves en otage. Dehors, policiers et psychologues tentent d'empêcher le massacre et de comprendre comment on a pu en arriver là, à ces enfants sans conscience, sans repères, obnubilés par la télévision, livrés à eux-mêmes jusqu'à l'écoeurement.

Dans la classe, les élèves se dévoilent, se racontent, semblent ne pas s'étonner de l'horreur de la situation... Ils entrent peu à peu dans un jeu macabre où sortir libre est ressenti comme une honte, où chaque otage relâché devient le perdant.

Éditions MOLS

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21 février 2014

Qui a tué Mamie Grababelle ?

de Sarah Berti

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Amalia a huit ans, une soeur, trois frères, une maman malade, un amoureux qui ne le sait pas encore et un cerveau qui va trop vite. Elle vit dans un petit immeuble, entourée de voisins pathétiques qu'elle s'amuse à observer, en attendant de grandir à son tour. 

Et puis, un matin, Mamie Grababelle est assassinée dans son rocking-chair. Personne ne l'aimait, cette locataire aigrie passée maître dans l'art d'espionner. Pourtant, l'immeuble s'échauffe, les vieilles blessures démangent.

La peur s'installe quand les meurtres s'enchaînent.  

L'inspecteur Di Vito mène l'enquête, sous l'oeil caustique d'Amalia qui ne laisse rien passer aux adultes, ces étranges créatures toujours entre mensonges et désirs.

Éditions MOLS

21 février 2014

Sarah BERTI

Biographie

Sarah Berti est née en 1974. Elle est l'épouse de Dimitri Legasse, bourgmestre de Rebecq). En 2009, elle crée un blog consacré à la campagne électorale de ce dernier pour les élections régionales dans le Brabant wallon.

Lauréate adolescente du "Prix Liège Jeunes Auteurs", elle publie ses premiers essais sur l’immigration italienne à l’âge de 26 ans. Son talent, son appétit d'écrire sont impressionnants; avec "Le Château des Italiens", elle obtient en 2000 le "Prix du Parlement de la Communauté française"; elle publie ensuite son premier roman "Un amour...". Suivent deux romans jeunesse dont Qui a tué Mamie Grababelle ?, finaliste du "Prix Farniente" et un recueil de nouvelles. Des textes courts qui lui valent une trentaine de prix littéraires dont le "Prix de la Nouvelle de la Fondation Plisnier" en 2004.

« Elle a l'art de scruter notre époque et les âmes avec une sorte de dérision acerbe et touchante, qui souligne peut-être ici l'urgence de certains changements dans le monde... ». Elle contribue en 2006 à l'anthologie "40 Écrivains du Brabant wallon par eux-mêmes" (Éditions Mols).

Début 2012, Sarah Berti, elle-même une habituée des concours littéraires, participe en tant que juré à l'organisation du concours "Poesia dell'arte", à Charleroi.

(Sources: Éd. Mols / tizianadallavera. )

Elleon

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Résumés

  1. Avant les Tournesols (Éd. Luce Wilquin - 2018)
  2. Classe story (Éd. Mols - 2004)
  3. Qui a tué Mamie Grababelle ? (Éd. Mols - 2002)

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Série Tiziana Dallavera

  1. Cappuccino blues (T-2)(Éd. Luce Wilquin - 2014)
  2. La vie al dente (T-3)(Éd. Luce Wilquin - 2015)
  3. Le jour du tiramisù (T-1)(Éd. Luce Wilquin - 2013)

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Autres titres

  • Casa nostra
  • Le château des Italiens
  • Un amour...

Bonne lecture

21 février 2014

Des os sous la collégiale

de Pier Bert

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« Ils avaient fini par le trouver. Depuis le temps... Il n'y pensait plus. Presque. Il n'y pensait presque plus, mais il n'avait pas oublié. Comment aurait-il pu ? Non. Il savait que ça apparaîtrait un jour. Que même ce qui est enterré n'est pas immuable. Rien ne se perd, avait démontré Lavoisier.  Et même la poussière était identifiable désormais ».

Éditions ÉCRITURES

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 Dans ce polar, le mort est déjà mort.  Mort et enterré.  Le problème est qu'il ressurgit.  Et ça soulève... des questions.  Ça entraîne... des inquiétudes.  Ça réveille... des secrets.  Démêler les pierres et la terre, ne pas se tromper de siècles et d'années, faire la lumière en profondeur, ce n'est guère facile.  Le commissaire Chautard, le flic aux raclements de gorge et aux yeux de myope, va s'y coller.  Mais il n'est pas seul sur le coup.

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21 février 2014

Aux âmes les citoyens

de Pier Bert

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« Il poussait la grille du petit portail qu'il ne fermait jamais, quand il les vit. Un Scénic blanc venant de tourner en haut de la rue. C'était eux. Des flics. Ni le gyrophare ni le deux-tons n'étaient actionnés, mais les lampes bleues et oranges, les bandes rouges et noires étaient là. Ils descendaient droit sur lui. Or, il n'avait jamais vu de véhicule policier dans cette rue.  C'est son instinct qui commanda. Oubliant les rappels qu'il s'était faits et les résolutions qu'il avait prises quant au calme et à la sérénité dont il devait faire preuve, il saisit les clés qu'il avait dans sa poche, cliqua et sauta dans sa voiture, garée juste devant chez lui ».

Après dix meurtres et trois mois d'enquête, alors que la ville est livrée aux forces de l'odre et aux milices d'autodéfense, le commissaire Chautard et ses hommes ont fini par identifier celui qui pourrait être le tueur de Brive. 

Mais est-ce bien lui ?  Et si oui, comment l'interpeller ?  Une longue traque va commencer...

Éditions ÉCRITURES

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21 février 2014

Au nom de saint Antoine

de Pier Bert

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« Le message qu'attendait le commissaire arriva le lendemain des obsèques d'Anthony au Bureau des pleurs. Il s'agissait comme la première fois d'une enveloppe pré-timbrée à fenêtre - ce simple fait indiquait déjà, selon le policer, un homme d'un certain niveau, sans doute avec une bonne organisation administrative chez lui ou autour de lui - qui ne portait plus le tampon du bureau de poste Brive Principal, mais celui de Brive Anatole France.

On apporta l'enveloppe au maire, qui la regarda comme un colis piégé. Il se sentit obligé d'extraire la lettre et de la lire, mais il n'en avait pas envie.  Il resta deux longues minutes devant les mots, comme s'il ne les comprenait pas. Puis il replia la feuille, la remit dans l'enveloppe et dit à son directeur de cabinet à côté de lui:

- Appelle Claude (c'était le chauffeur), on va au commissariat ».

On a toujours du mal à comprendre le lien entre les meurtres qui continuent à terroriser Brive. Pourtant, de mystérieux messages arrivent au Bureau des pleurs, qui vont peut-être aider le commissaire Chautard et le juge Florent dans leur enquête. 

Mais comment réagir ?  Faut-il entrer dans le jeu du tueur?  Peut-on s'adresser à lui par médias interposés ?  Les consciences n'en finissent pas de s'affoler.

Éditions ÉCRITURES

21 février 2014

Peur sur la ville

de Pier Bert

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« Celles et ceux qui virent un type en uniforme s'élever sur un bord de la halle Georges Brassens, au-dessus du comptoir des placiers, ne réalisèrent pas le problème à la première seconde. À la deuxième, ils se dirent qu'il s'agissait d'une intervention technique et qu'elle était périlleuse. À la troisième, ils comprirent qu'il n'était pas normal que la corde soit passée autour du cou du type et qu'il agite ses bras de manière incohérente. Ce n'est qu'à la quatrième seconde que les cris retentirent ».

Quelle est la raison des meurtres qui ensanglantent Brive-la-Gaillarde et sa région ?  Y a-t-il un lien entre eux ?  Pourquoi sont-ils si spectaculaires ? 

Le maire panique, le commissaire enquête.  La population a peur...

Éditions ÉCRITURES

21 février 2014

Du style des assassins

de Pier Bert

du style des assassins

« - Monsieur le Président, vous vous rappelez, lui glissa un conseiller: 11 morts, 10 sur le coup et 1 ce matin, 56 blessés dont 7 graves. Bonus lançait son nouveau concept commercial, « la présentation horizontale», le groupe pèse 100 milliards d'euros et emploie 300 000 personnes. Directeur France: Jacques Soulort, directeur magasin de Brive: Pierre Tillard. Aucune piste, une bombe. Procureur Chaffran, Commissaire Chautard à Brive, juge d'instruction Florent, Commissaire Ramond pour la scientifique de Limoges. Sous-préfet Jacques Poisse. Préfet Alain Chassignol, que vous avez nommé après avoir révoqué Villeneuve, après les cinq premiers meurtres de Brive en 2009. Député-maire Roland Rigal, deuxième mandat.

- Ça va, ça va.  J'ai révisé.  On m'a prévu du temps avec les familles ?

- Vous aurez vingt minutes.»

Des explosions propulsent la cité gaillarde dans le feu et le sang. Des explosions qui pourraient être l'oeuvre de terroristes. Mais quels terroristes ? Pour qui et pourquoi agissent-ils ?

Alors que l'économie s'effondre et que la société se délite, le commissaire Chautard affronte un ennemi d'un nouveau genre.

Éditions ÉCRITURES

21 février 2014

Les enfants de feu la comtesse

de Pier Bert

les enfants de feu la comtesse

- Monsieur le Commissaire, je crois pouvoir affirmer au nom de tous que notre mère, Marie-Claire Pradeleau comme vous dites, est une femme que l'on pourrait qualifier de bourgeoise, du moins si l'on emploie ce terme au sens où il impliquait des valeurs, une éducation, non seulement un revenu et une apparence. Les femmes de ce milieu, de la génération de notre mère, ont pour caractéristique, entre autres, de ne pas avoir d'ennemis. Elles peuvent n'apprécier certaines personnes que modérément, et même considérer que d'autres sont infréquentables, mais il est impensable qu'elles aient des ennemis. Avoir des ennemis nécessite des passions et des émotions qu'elles n'ont pas, puisqu'on leur a appris à les brider dès leur plus tendre enfance.

Chautard apprécia l'analyse, et l'éloquence avec laquelle elle était formulée. Mais il crut nécessaire de préciser:

- On a parfois des ennemis qu'on ignore.  Que l'on peut avoir créés... à son corps défendant.

Éditions ÉCRITURES

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Pier Bert renoue ici avec les classiques du polar: un seul meurtre, des suspects que tout accuse et qui se tiennent les uns les autres, un enquêteur qui fait fi des moqueries liées à son originalité, une fine étude des milieux sociaux qui se confrontent, une intrigue qui tient en haleine de la première à la dernière page.

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21 février 2014

Il n'est jamais trop tard pour mourir

de Pier Bert

il-n-est-jamais-trop-tard-pour-mourir

« Il se releva comme il put et se retourna. Il mit une main sur l'épaule du juge Florent et sortit de la chambre. Quand la porte de l'ascenseur s'ouvrit au rez-de-chaussée, tous les regards se tournèrent vers lui.  Il avança tout droit vers la sortie. L'inspecteur Plante, qui se précipitait, s'arrêta net quand il vit le visage de son patron. Le député-maire de Brive n'eut pas cette pudeur, ou ne remarqua rien, puisqu'il se rua sur lui, bras écartés:

- Chautard, Bravo ! 

Sans se soucier de l'accolade à laquelle il ne répondit pas, le commissaire continua vers l'extérieur. C'est quand il fut dehors que les flashs et les caméras se déclenchèrent. 

Le mardi 20 octobre 2009, la France découvrit quelque chose: un commissaire, même en service, ça pleurait ».

Éditions ÉCRITURES

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