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3 juillet 2008

Meurtre au Sentier

de Cara Black

meurtre_au_sentier

Au Sentier, à Paris, on ne se contente pas de fabriquer des fringues. On tue, aussi, à l'occasion. C'est ce qu'apprendra à ses dépens Aimée Leduc, version inattendue et féminine de Nestor Burma (la pipe en moins, mais l'ordinateur et le scooter en plus).

Pourquoi la petite Aimée, rentrant un beau jour de l'école, n'a-t-elle pas retrouvé sa mère? Qui a tué Romain Figeac, l'écrivain vedette des éditions Tallimard ?

Pourquoi tant de gens aiment-ils à se rendre en pèlerinage sur une tombe du cimetière Montmartre ? Pourquoi Miles Davis est-il en danger ? Quel rapport entre Jean sans Peur, la bande à Haader et le prêt-à-porter de luxe ?

Toutes ces questions, et bien d'autres, se mêlent, rebondissent et ricochent dans ce polar qui se déroule dans un huis clos de vingt hectares: le Sentier, ses encoignures, ses venelles, ses cours, ses ateliers clandestins, de la rue Beauregard au passage du Caire, et de l'ange de la rue de Turbigo aux hôtels particuliers de la rue de Cléry.

Éditions ANATOLIA

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3 juillet 2008

Cara BLACK

Biographie

Cara Black est née en 1951 à San Francisco dans une famille francophile, elle suit les cours de l'École Française Catholique; les conversations lors des réunions de famille tournent souvent autour de la France, un de ses oncles y a étudié la peinture avec George Braque.

On sait que la vie de Cara, jeune fille, est faite de rencontres,  d'un mélange de gens de religions très diverses, de cultures et d'ethnies multiples, au cours d'un long périple engagé en Europe, qui la mène en France, en Suisse où elle travaille un temps. Puis elle part pour le Japon, où elle s'inscrit à l'Université Catholique de Sophia à Tokyo,  c'est là-bas qu'elle rencontre son futur époux. De retour à San Francisco, elle enseigne en cours préparatoire dans un centre appartenant à la communauté juive locale... Jun Ishimuro l'a suivi aux États-Unis, ils se marient en 1981, et depuis ont eu un fils Shuchan, et vivent dans une petite maison sur Alvarado Street...  On trouve dans cette partie de la vie de Cara Black, déjà matière à roman !

Sa première visite à  Paris a lieu en 1971, lors de son périple européen, elle y rencontre alors l'écrivain Romain Gary,  à qui elle a écrit pour lui faire part de son admiration, se voit en retour invitée à le rencontrer... Car Cara lit beaucoup, depuis qu'elle sait lire en fait, et si nous n'en savons pas plus sur ses goûts littéraires de jeune fille,  cette admiration qu'elle voue à Romain Gary en dit déjà beaucoup...

Elle revient à Paris en 1984, pour un séjour chez sa correspondante et amie Sarah, qui lui fait découvrir le quartier du Marais, ses ruelles, ses hôtels particuliers du 17ème siècle et Cara tombe littéralement amoureuse de ce quartier. Son amie Sarah lui raconte alors l'histoire de sa mère qui a échappé miraculeusement à la déportation, a vécu seule pendant une année, alors âgée de 14 ans, dans l'appartement familial avec l'aide de la concierge (une catholique) et apprend par la suite le sacrifice de ses parents à qui elle doit d'être encore en vie. Cette histoire poursuit Cara qui pourtant ne trouve pas encore le temps, les mots pour écrire. Dix années se passent, elle revient en France avec son époux, repasse par Paris, le Quartier du Marais, et, sur le chemin du retour elle a le déclic.

Elle s'inscrit alors à l'Université de Berkeley pour y suivre les cours de "Creative Writing", ayant lu avec avidité les ouvrages de P. D James, lui vient l'idée d'écrire un roman policier et elle poursuit sa formation dans ce sens. Elle écrit un premier roman policier, dont elle parle comme d'un simple exercice de mise en condition, vu les refus qu'elle essuie de la part des éditeurs. Elle écrit aussi un scénario pour NBC et se perfectionne en suivant des ateliers de poésie.

La voilà prête pour écrire ce fameux roman auquel elle songe depuis longtemps, un roman policier à caractère social, psychologique, dont l'intrigue se situerait tout naturellement... à Paris, chacun des quartiers de la capitale qu'elle a parcouru est un monde à part où tout est matière à nouer la trame d'une histoire. Il lui faut alors près de trois années pour écrire "Murder in the Marais", et après plusieurs refus d'éditeurs, sur les conseils de son époux qui a été libraire pendant onze ans, elle s'adresse à une petite maison d'édition, "Soho Press"  qui accepte le manuscrit en lui demandant s'il y a une suite... Ce roman publié en 1998, devient le premier d'une série qui compte aujourd'hui 19 titres (en 2019),   dont l'héroïne principale est Aimée Leduc, jeune femme qui a hérité de l'agence de détective que son père a créé en quittant la police et qui par la force des choses, s'improvise détective privée; d'origine franco-américaine, elle se sent plus ou moins apatride, mène ses enquêtes dans divers quartiers de Paris, (ceux ce la Rive Droite, car Cara Black ne prise pas particulièrement l'autre rive ?!)  qu'elle sillonne à scooter, aidée dans sa tâche par René, un nain,  grand spécialiste en informatique, hacker de génie et... ceinture noire en arts martiaux.

Pour chacun des sept romans suivants, Cara Black revient à Paris pour se documenter, humer les odeurs de ses  quartiers de prédilection, retrouver des amis qu'elle s'est fait dans la police, dans le cercle de détectives privés de la capitale; revoir les rues, les maisons, les boutiques, pour bien les situer dans son roman en cours, elle mène ses propres investigations avant d'y envoyer Aimée Leduc. Chacun des romans s'intitule "Murder in..." ou "...on" selon le quartier ou la rue choisie comme lieu "du crime",(* la série compte 15 opus en 2015). Parmi les auteurs qui ont inspiré Cara Black, citons Léo Malet et son détective, Nestor Burma, mais encore et surtout, P.D James, John Le Carré, Philip Kerr...

La série est aujourd'hui traduite en cinq langues, Cara s'est trouvée un agent littéraire, répond à des interviews TV ou radio, son nom est désormais en bonne place dans la seconde édition des "Great Women Mystery Writers", et alors que les trois premiers livres sont publiés dans le Royaume Uni en cette année 2008, une compagnie irlandaise a déjà acheté les droits de ces romans pour une adaptation au cinéma ou à la télévision.

En France, ce sont les Éditions Anatolia qui nous font découvrir les enquêtes d'Aimée Leduc, en  2008, avec le troisième livre de la série, Meurtre au Sentier, ("Murder in the Sentier" - 1998),  mais on peut lire sur le site de l'éditeur, que la série complète serait en cours de traduction... mais pas en français, semble-t-il !

Au final, seul deux titres sont publiés en France, les lecteurs et lectrices qui ont apprécié les deux premiers romans de Cara Black restent sur leur faim !

(Sources: carablack./ parisimperfect.wordpress. / fantasticfiction. /)

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Résumés

Série Les enquêtes d'Aimée Leduc

  1. Meurtre au Sentier (Éd. Anatolia - 2008)
  2. Meurtre dans le Marais (Éd. City - 2009)

Bonne lecture

3 juillet 2008

Week-ends à Ré La Blanche

de Robert Béné

week end

Elza improvise un week-end sur l'île de Ré avec Ghislain, son fidèle ami... Elle n'a trouvé que lui pour l'accompagner: ni Jehan, son compagnon, ni Maude, sa meilleure amie, n'ont souhaité venir.

Devant l'hôtel de l'île, Elza et Ghislain aperçoivent Jehan et Maude tendrement enlacés. De retour à Paris, Ghislain, pharmacien de son état et amoureux secret d'Elza, songe qu'une seringue mal dosée pourrait bien débarrasser la jeune femme d'un grossier séducteur qui ne la mérite pas.

Elza invite tout ce beau monde pour un week-end prolongé dans sa propriété rétaise. L'occasion pour chacun de mettre en oeuvre sa vengeance...

Éditions DE BORÉE

3 juillet 2008

Secret de famille à Ré La Blanche

de Robert Béné

secret de famille

Un ancien officier se suicide... Un fidèle aide de camp disparaît... une jeune fille enceinte est chassée par son père... Un métayer est retrouvé mort après l'achat d'une propriété pour une bouchée de pain...

Sur Ré La Blanche, décidément, les secrets de famille ont de bien funestes conséquences...

Éditions DE BORÉE

3 juillet 2008

Pluie de diamants au large de Ré La Blanche

de Robert Béné

pluie de diamants

17 juin 1940. Une explosion ébranle le calme de la nuit rétaise. À deux miles au large des côtes, le paquebot Champlain sombre corps et biens en quelques minutes. Au cours des trois décennies qui vont suivre, ses vestiges émergeant au-dessus des vagues vont susciter bien des convoitises et quelques rêves fous...

S'appuyant sur cet épisode authentique, Robert Béné joue avec l'histoire et dépeint l'île de Ré de la guerre et de l'immédiate après-guerre...

L'ombre de l'épave dissimule la mort mais aussi les sentiments tendres de deux survivants, qui préservent leur amour pour échapper à la tourmente...

Éditions DE BORÉE

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2 juillet 2008

Mitchell BARTOY

Biographie

Mitchell S. Bartoy est né à Grosse Pointe dans le Michigan, dans la banlieue de Detroit. Diplômé de la "Wayne State University" avec un "Bachelor's degree" et un "Master of Arts degree", il entre dans l'administration postale des États-Unis où il occupe divers postes. Il est connu également pour animer des ateliers d'écriture à l'université de Detroit. Il ne quitte pas le Michigan, puisqu'il vit avec sa famille à St-Clair Shores jusqu'à ces dernières années (2005-06), pour migrer à quelques miles de là, dans la petite ville de Troy.

En 2006, les américains découvrent un nouvel auteur qui renouvelle un genre littéraire auquel seuls quelques écrivains contemporains s'adonnent, le "hard-boiled", le roman noir, très noir dans la plus pure tradition: "The devil's own rag doll" est accueilli très favorablement par les critiques. L'auteur choisit la ville de Détroit comme décor, sur fond d'histoire contemporaine: les émeutes raciales de 1943 qui mirent face à face Noirs et Blancs dans un long et sanguinaire combat de rues. Il rappelle ces faits politiques, sociaux, historiques par petites touches, mêle les faits réels au travers d'une fiction policière, créant un personnage de flic qui donne une "épaisseur" à l'atmosphère bien sombre de ce roman.

Pete Caudill, le flic est le anti-héros par excellence, au caractère brutal, obstiné, pas très futé, sans esprit d'initiative, desservi par son physique, affligé d'une main gauche difforme et borgne de surcroît, qui traverse la "vie" en solitaire, restant indifférent à ce qui peut se passer autour de lui, non par égoïsme, simplement par désespoir... Au cours de ce premier roman, Mitchell Bartoy fait évoluer son personnage, finit par le rendre plus humain et surtout beaucoup plus perspicace qu'on  ne pouvait le penser.

Un premier roman noir sur fond d'histoire, très documenté, une période de l'Histoire américaine que beaucoup de Français découvrent (ou redécouvrent ?), et un personnage de anti-héros qui est loin de déplaire, c'est ce roman, La marionnette du diable que les Éditions J'Ai Lu publient en 2007, dans leur nouvelle collection "Hard Case Crime" pour le plaisir des amateurs du genre. Déjà Mitchell Bartoy a publié en 2006, un second roman qui reprend le personnage de Pete Caudill, "The devil's only friend", attendu avec une certaine fébrilité par les "inconditionnels" de Pete et... de son créateur !

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Parmi les critiques lues sur le web, celle de Mikaël Demets pour www.evene.fr, dont je reporte ici la dernière phrase : « ...Étouffant et désespéré au point d'en être ensorcelant, le texte de Mitchell Bartoy révèle un auteur que l'on attendait plus, qui dépoussière le genre en y imprimant dès son premier roman sa marque au fer rouge. »

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(Sources: us.macmillan. / thrillingdetective. )

# À ce jour, la série Pete Caudill se limite aux deux titres cités plus haut, le second ne semble pas avoir intéressé les Éditions J'Ai Lu, ni aucun autre éditeur français, d'ailleurs ! Quant à l'auteur lui-même, aucune trace récente sur le web !?!

Elleon

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Résumé

Série Pete Caudill

  1. La marionnette du diable (Éd. J'Ai Lu - 2007)

Bonne lecture

2 juillet 2008

Adam Baron

Biographie

 

Adam Baron est né en 1967 dans le Lincolnshire en Angleterre, second fils d'une famille de six garçons et une fille. Une famille qui reste très soudée après le décès de la mère en 1986, malgré des chemins professionnels divers. Cependant trois des frères Baron, dont fait partie Adam, forment un trio de comiques "The Baron Brothers" et se produisent sur les plateaux de la Télévision, dans leur propre show sur MTV, après avoir été les invités réguliers de "The Paul Ross Show" et "The Lenny Beige Show".

 

En ce qui concerne Adam, le frère Baron qui nous intéresse, celui-ci obtient un BA en Littérature anglaise en 1988 puis il entreprend des études de Comédie à "l'Ecole de Théâtre" de l'Université de l'Essex, à Colchester. Pendant presque quatre ans, il fait un peu l'acteur dans quelques téléfilms, joue la comédie sur des petites scènes de théâtre, s'essaie déjà, un peu, à l'écriture.

 

En 1994, il part en Slovaquie dans le cadre de la coopération pour y enseigner, et reprend ses études en rentrant, obtient un MA en Littérature américaine à l'Université de Brighton en 1996. Il commence alors une activité de chroniqueur littéraire au "Latest Magazine" de cette même ville, puis devient assistant-rédacteur pour "TV Times" et d'autres magazines. Simultanément, il  assure le rôle de lecteur dans une maison d'édition et commence à écrire des scénarios pour la télévision et... un livre.

 

En 1999, son premier roman policier, "Shut eye" est publié chez l'éditeur Mac Millan et obtient un véritable succès, dû en partie au personnage créé par l'auteur, Billy Rucker, ancien policier qui, à la suite de l'accident dont a été victime son frère Luke, jeune auteur et comédien plein d'avenir plongé dans le coma, s'est reconverti comme détective privé à Londres, (Adam Baron s'est installé avec son épouse dans la banlieue-est de la ville) spécialisé dans les disparitions d'adolescents, l'ex-flic traîne son chagrin et sa mélancolie en essayant de  convaincre des jeunes en fugue de rentrer chez leurs parents (une tâche qui s'avère parfois pas si simple pour Billy). L'auteur poursuit alors avec trois autres titres entre 2000 et 2004, quatre romans dont le tout premier "Shut eye" (Le remords des innocents) fait rapidement l'objet d'une adaptation pour la télévision, puis  c'est au tour de "Hold back the night" et enfin la série complète fait l'objet d'une adaptation en épisodes pour BBC Radio 4, (en 2006 ?), scénarisation laissée aux soins de l'auteur lui-même.

 

Pendant toute ces années, Adam Baron, outre sa carrière d'écrivain, de scénariste (de comédies), de metteur en scène, de showman, poursuit ses chroniques littéraires pour "Channel 4 Press Office", et anime pendant quelque temps des ateliers de "Creative Writing" à l'Université de Kingston et au "Mary Ward Center" de Bloomsbury. Il écrit encore un roman, une comédie noire, en 2005, qui semble avoir peu marqué le monde littéraire, quelques récits de voyage puis un nouveau roman policier, sans Billy Rucker, cette fois-ci, "Kingdom of bones", publié en 2006 au Royaume-Uni.

 

En France, seul le premier livre de la série Billy Rucker semble avoir été traduit, Le remords des innocents est publié chez Flammarion en 2003, depuis, aucun autre roman de Adam Baron n'a été édité dans l'Hexagone.

 

(Sources: éditeur Panmacmillan / thrillingdetective. / fass.kingston.ac. /)

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Résumé

 

Série Billy Rucker

 

  1. Le remords des innocents (Éd. Flammarion - 2003)

1 juillet 2008

Nuit d'orage

de Olga Bicos

nuit d'orage

Lorsque Clay Chase, frappé par la foudre lors d'une violente nuit d'orage, retrouve enfin ses esprits, c'est pour découvrir Jillian, sa femme, allongée à son côté. Et baignant dans son sang, tuée à bout portant.

Clay, affolé, appelle immédiatement la police. Mais aucun souvenir des instants tragiques qui viennent de s'écouler. Pourtant, les preuves de sa culpabilité s'accumulent: Jillian, enceinte d'un autre, s'apprêtait à le quitter. Et ce sont les empreintes de Clay que l'on retrouve sur l'arme du crime...

Inculpé d'homicide, il met fin à sa brillante carrière de photographe. Et doit absolument recouvrer la mémoire de cette nuit fatale. La psychothérapeute Piper Jordan est la seule capable de l'aider à remonter le fil de ses souvenirs. Depuis qu'elle a vu son mari foudroyé par une nuit de tempête, elle sait quels traumatismes peuvent entraîner les orages.

Mais Piper n'oublie pas que Clay n'est peut-être qu'un redoutable criminel... qui ne tarde pas à se livrer avec elle à un dangereux jeu de séduction. Comme s'il cherchait à la manipuler, afin d'échapper à la prison...

Éditions HARLEQUIN

1 juillet 2008

La mort dans le miroir

de Olga Bicos

la mort dans le miroir

Sulfureuse, perverse, cruelle: telle était Nina Travers. Jouant de ses amants comme de simples marionnettes, la jeune femme n'a cessé d'attiser entre eux la haine et la jalousie. Jusqu'à sa mort suspecte, restée inexpliquée...

Lorsqu'elle est engagée pour rénover la vaste demeure de la famille Cutty, à San Francisco, Holly Fairfield ignore tout de Nina Travers et de ses liens tourmentés avec les propriétaires des lieux. Mais elle découvre vite que Ryan Cutty, le fiancé de Nina, a été soupçonné de l'avoir assassinée. Et que, depuis douze ans, la sulfureuse jeune femme ne cesse de hanter les esprits de tous les membres de la famille...

Plus inquiétant encore, Holly prend brutalement conscience que sa présence, loin d'être un hasard, participe d'un piège machiavélique. Car elle est le sosie parfait de Nina. Et les démons du passé reprennent peu à peu vie dans ce jeu de miroir. Un jeu mortel, auquel Holly a été conviée malgré elle...

Éditions HARLEQUIN

1 juillet 2008

La Porte de l'Enfer

de Saül Bergman pseudonyme de Paul Couturiau

https://storage.canalblog.com/70/14/365364/128967638.jpegPar une belle nuit de Noël, une jeune femme est assassinée au bord de la Moselle, parce qu'elle avait envie d'amour, semble-t-il. Son assassin ne sera jamais identifié. Les années passent.

À Metz, le quartier du Sablon se transforme. Des maisons sont rasées pour permettre l'ouverture d'une nouvelle route. Un épicier fait de la résistance. Une nuit, un homme apparaît. Il revient du front. Lequel ? Il ne le précise pas. Il a fait toutes les guerres. Il est le soldat universel de la chanson de Jim Morrison. Il est aussi le fils de la jeune femme assassinée en bord de Moselle.

Hormis le vieil épicier résistant, nul ne le reconnaît. L'homme affirme n'être pas revenu pour se venger, mais pour renouer une dernière fois avec son enfance, avant que la maison de ses grands-parents ne soit détruite.

Le vieil épicier a du mal a le croire, d'autant que des morts étranges commencent a se produire, comme des échos aux rêves de celui qui se fait appeler Abbadôn, du nom du septième ange de l'Apocalypse.

Bientôt s'ouvrira la porte de l'Enfer...

Éditions DU ROCHER

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