de John Dickson Carr

La jeune fille est ravissante, elle a les yeux gris et les cheveux noirs. Le jeune homme n'est peut-être pas très beau garçon mais son sourire est irrésistible. Voilà pour le début et, pourquoi pas la fin ?

Rien de miraculeux là-dedans me direz-vous, et pourtant...

Le gaz ouvert dans une chambre close. Un fantôme qui murmure des menaces de mort dans les galeries des échos de la cathédrale Saint-Paul de Londres: il en faudrait beaucoup moins pour effrayer une jeune fille, mais il n'en faut pas davantage pour que Tom Lockwood vole au secours de Jenny Holden.

Non sans s'assurer l'aide désinvolte et indispensable de Sir Henry Merrivale. Car qui, sinon l'illustre "vieux bonhomme", serait capable de mobiliser cent kilos de matière grise pour déjouer les piètres astuces, mais aussi la férocité d'un authentique jaloux ?

   Éditions LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

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Comprend les nouvelles: - "L'homme qui expliquait les miracles" - "À l'auberge des Sept Épées" - "Le pentacle en diamants" - "Immunité diplomatique" - "L'Affaire de la perruque rousse" - "Le testament perdu" - "Le mouchard" - "Le mari fantôme".

de James M. Cain

« Elle inclina la tête et tout à coup nous fûmes dans les bras l’un de l’autre et je l’embrassai et elle m’embrassa, et ses lèvres étaient chaudes et douces, et une fois de plus je sentis ce serrement de gorge comme si j’allais pleurer. Je sais bien, au fond de mon cœur, que j’étais prêt à faire ce qu’elle me demanderait. »

Éditions GALLIMARD

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Édition originale comprenant: "Assurance sur la mort", "Carrière en do majeur", "Faux en écriture": Éd. Gallimard (1948)

Réédition: Éd. Gallmeister (2017)(.gallmeister. )

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« Comme dans "Le facteur sonne toujours deux fois", passion et fatalité sont les mobiles les plus puissants pour mener un homme au crime. »

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de James M.Cain

Allez ! Debout les gars !

Le train ralentissait. Quelques coups de pied dans le tas...et les clochards étaient éjectés. Impossible de remonter. Le train allait trop vite. Mais lui, le Veinard, tapi dans l'ombre d'un wagon, voulait croire en sa bonne étoile. Un geste maladroit en fit un criminel, errant sur un chemin de croix...

Mais le pire, c'était Duke !

Duke et ses fauves ! Le tigre était entré dans la chambre du bébé. Des craquements d'os... Des grognements... Un vrai festin pour le tigre. Lura, cependant, ne bougeait pas. Duke était en sueur... Sa jalousie le torturait. Gare au retour de flamme !

Éditions LIBRIO

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Comprend les nouvelles: Le bébé dans le frigidaire - Pastorale - Le veinard - En route pour la gloire - La prise de Montfaucon.

de James Lee Burke

Un bagnard, un Noir, un jeune garçon handicapé, un vieillard presque aveugle, un sergent fraîchement promu en pleine Guerre de Sécession, tels sont les personnages de ces nouvelles de James Lee Burke dont l'action s'étend des bayous de Louisiane aux plaines du Texas, en passant par divers champs de bataille.

Elles ont en partage un monde où l'innocence est vaincue par la guerre et les préjugés, où l'amour est confronté à l'absence, où l'héroïsme et la peur se confondent devant une mort inéluctable.

Éditions RIVAGES/NOIR

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Édition originale: Éd.Rivages Grand Format (1994)

de Marc Behm & Paco Ignacio Taïbo II

Plusieurs nouvelles inédites de Marc Behm réunies avec d'autres de Paco Ignacio Taïbo II, grand adorateur du dit, Marc Behm.

Des nouvelles qui sont le fruit de deux des voix les plus originales et les plus "anarchistes" du polar. On y retrouve quelques unes des héroïnes de Marc Behm, Paco y ressuscite le héros de Chandler, Philip Marlowe...

Une rencontre insolite, poétique et "décoiffante", à l'image des deux auteurs.

Éditions RIVAGES

Un assassin qui en tue un autre pour se forger une nouvelle identité, ça n'est pas courant... et ça finit mal.

Un tueur en série qui compte parmi ses victimes, la mère d'un commissaire de police, lequel se félicite... d'en être débarrassé, ça n'est pas courant non plus.

Les treize histoires criminelles de ce recueil sont toutes sur ce modèle. Ce sont de véritables nouvelles policières dont la chute vous étonnera et dont l'atmosphère souvent sinistrement quotidienne est parfois tempérée par un clin d'oeil.

Ces nouvelles ont toutes pour cadre le monde ferroviaire où vont et viennent une foule de voyageurs. 

Et chacun d'entre eux est, à un moment ou à un autre, confronté à une mystérieuse affaire criminelle...

Toutes les histoires réunies dans cette anthologie mettent en scène des enfants... 

Mais ce sont des enfants assez singuliers: les uns sont les dignes enfants de Sherlock Holmes ou du commissaire Maigret, les autres... de dangereux assassins !

de Stéphane Bourgoin

Serial killers, ces criminels qui tuent en série, sans mobile évident, pour la plupart poussés au crime par d'irrépressibles pulsions sexuelles, commettent souvent leurs forfaits pendant des mois, voire des années.

La France n'a pas été épargnée par le phénomène et plusieurs affaires de tueurs en série y ont connu un énorme retentissement médiatique au cours de l'année écoulée, qu'il s'agisse du procès de Guy Georges, du suicide du présumé de Sid Ahmed Rezala, des "Disparues de l'Yonne" avec la mise en examen d'Émile Louis, ou encore de la remise au jour de l'affaire des "Disparus de Mourmelon".

La présente anthologie propose un choix de récits épouvantables écrits, pour la plupart, par des maîtres anglo-saxons du policier et de l'horreur.

Et aussi deux textes écrits - en prison ! - par des écrivains "amateurs" : Charles Manson et Stewart Wilken, un serial killer sud-africain, nécrophile, pédophile et cannibale.

Éditions LES BELLES LETTRES

Ces deux petits livres, une réédition en deux tomes: Face A, Face B, comptent chacun sept nouvelles, sinistres et cruelles, brutales et tendres. 

Ce "disque noir" que l'on feuillette pour des "nuits blanches", se veut, selon son auteur, à la fois partition littéraire, manuscrit musical, opéra-musette et symphonie-bastringue de croches assassines et de mots sanglants. 

Du "Concerto pour marteau" au "Meurtre en si bémol", des courts textes orchestrés dans un violent crescendo, la musique, souvent classique en accompagne l'écriture et le lecteur en vient à se demander si la musique adoucit vraiment les moeurs, selon l'adage connu, en tout cas, certainement pas les meurtres...